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N° Revue
Perspective soignante Septembre 2017 , Perspective soignante , 59 , 01/09/2017
Type N° Revue
Titre Perspective soignante Septembre 2017
Source Perspective soignante
59
Date de parution 01/09/2017
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Vidéo
Quand le cocon vole en éclats! , OLLIVIER A M , 2006 , 618.92/MAU
Type Vidéo
Titre Quand le cocon vole en éclats!
Auteurs OLLIVIER A M
Date de parution 2006
Cote 618.92/MAU
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Ouvrage
Micaël, Julie et ls autres... L'accompagnement des enfants hospitalisés , Long Nicolas , Ouverture , 01/01/1996 , 618.92/LON
Type Ouvrage
Titre Micaël, Julie et ls autres... L'accompagnement des enfants hospitalisés
Auteurs Long Nicolas
Source Ouverture
Date de parution 01/01/1996
Cote 618.92/LON
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Article
Démystifier l’hôpital : Les carabins à l’école des nounours Tous les étudiants de deuxième et troisième année de la faculté libre de médecine de Lille ont été invités cette année à un stage pratique de pédiatrie dans le cadre de l’opération « Hôpital des nounours ». Une expérience instructive. , Quotidien du médecin (Le) , Quille F , 03/04/2009
Type Article
Titre Démystifier l’hôpital : Les carabins à l’école des nounours Tous les étudiants de deuxième et troisième année de la faculté libre de médecine de Lille ont été invités cette année à un stage pratique de pédiatrie dans le cadre de l’opération « Hôpital des nounours ». Une expérience instructive.
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Quille F
Date de parution 03/04/2009
Commentaire STAGE PRATIQUE de pédiatrie pour tous les étudiants. La Faculté libre de médecine de Lille participe à l’opération « hôpital des nounours » et les élèves de deuxième et troisième année sont d’astreinte. Douceur et langage simple de rigueur : les petits patients ont entre 3 et 5 ans et viennent ici apprivoiser leur peur des blouses blanches. Ils sont accompagnés de leur nounours malade. Lancée en Allemagne en 2000, l’initiative a été reprise en France quatre ans plus tard, par l’ANEMF (association nationale des étudiants en médecine de France). Chaque année, une quarantaine de facultés de médecine organisent dans leurs locaux un hôpital des nounours pour démystifier l’hôpital et réduire l’angoisse des jeunes enfants face aux soignants. Un parcours découverte. À la faculté libre de Lille, les étudiants ont reconstitué le parcours effectué par un malade reçu aux urgences, depuis l’enregistrement du dossier au secrétariat jusqu’à la salle radio puis le bloc, en passant par les cabinets médicaux, le poste de soins infirmiers, la pharmacie, et la visite de l’ambulance stationnée devant la fac. Une reconstitution très fidèle, jusqu’aux files d’attente dans le couloir du bloc?! « C’est le seul moment où nous pouvons être vraiment en contact avec des enfants », apprécie Anaïs. Cette année, seuls quatre étudiants ont un stage en pédiatrie. Pour les autres, l’expérience est très instructive : « Pour les rassurer, nous devons expliquer tous les gestes que nous pratiquons, et nous mettre à leur portée : pendant nos études, nous utilisons souvent un jargon incompréhensible. » « Ils sont beaucoup mieux informés que je ne le pensais, s’étonne Martin. En rentrant de l’école, beaucoup regardent Grey’s anatomy à la télé ou les séries Urgences. Du coup, ils sont déjà familiarisés avec l’univers hospitalier. Un bambin de quatre ans savait déjà comment faire fonctionner le masque à oxygène ». Familiarisation en douceur. « C’est intéressant d’avoir leur vision de la maladie, remarque Adeline, en troisième année. Ils sont déjà bien documentés sur les allergies ou certaines pathologies. Et cela m’invite à les associer davantage à la consultation, lorsque j’exercerai. Ils sont très attentifs et à même de comprendre beaucoup de choses. » En maternelle, les petits patients associent souvent maladie et douleur. D’où l’importance de cette familiarisation en douceur, par le biais des nounours. Certains « gardent une peur panique des piqûres. Et ceux qui ont déjà eu affaire à l’hôpital en restent marqués. Un petit garçon qui s’était cassé la jambe l’an dernier n’a pas voulu franchir la porte de notre hôpital des nounours. » Dédramatiser, expliquer, montrer, les vertus pédagogiques de cette expérience concernent autant les étudiants que les enfants. Un élève de troisième année a avoué être monté pour la première fois dans une ambulance… grâce à l’hôpital des nounours?!
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Article
Un outil d'évaluation de la satisfaction des enfants hospitalisés , Soins pédiatrie puériculture , 231 , 01/09/2006
Type Article
Titre Un outil d'évaluation de la satisfaction des enfants hospitalisés
Source Soins pédiatrie puériculture
231
Date de parution 01/09/2006
Commentaire Une étude menée directement auprès des enfnats, dans des services hospitaliers en suisse romande, montre qu'ils ont des compétences pour exprimer leur avis et préférences sur différents aspects de la prise en charge et de leur séjour à l'hôpital. Ils peuvent donc contribuer au développement de la qualité des soins. Des outils appropriés pour récolter le point de vue des enfnats doivent être développés et validés.
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Article
Internet pour les enfants hospitalisés , Quotidien du médecin (Le) , 11/05/2006
Type Article
Titre Internet pour les enfants hospitalisés
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 11/05/2006
Commentaire FORTE de son expérience de terrain de l’utilisation des nouvelles technologies par les enfants hospitalisés, l’association L’enfant@l’hôpital lance un groupe d’experts sur les dangers d’Internet dans ce milieu vulnérable. Pour répondre aux inquiétudes des médecins, des parents et des enseignants et trouver des solutions pour la meilleure utilisation possible de ces outils. Cela fait en effet vingt ans que l’association intervient à la demande des services pédiatriques pour lutter contre l’isolement des enfants hospitalisés par des activités utilisant l’informatique. Aujourd’hui, l’association est présente dans une cinquantaine d’hôpitaux et accompagne plus de 3 000 enfants grâce à ses bénévoles et à 4 élèves polytechniciens en stage de formation humaine. La mise en place d’un groupe d’experts conseillé par Michael Stora, psychologue clinicien, fondateur de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, répond aux demandes du terrain confrontées à la violence de certains échanges pendant les « chats » (conversations en ligne), au risque de dépendance, au problème des téléchargements, au soin à apporter au matériel. Le programme ludo-éducatif Kolibri installé sur les ordinateurs propose déjà un accès contrôlé au Net. La Fondation des hôpitaux, l’association Sparadrap et l’association e-enfance cautionnent cette initiative. Le groupe sera constitué d’un représentant du ministère de l’Education nationale, de représentants du personnel médical (pédopsychiatre, infirmière), d’enseignants, de parents d’enfants malades, de stagiaires polytechniciens, de représentants d’IBM, partenaire de l’enfant@l’hôpital depuis dix ans, ainsi que de l’institut Curie où l’association intervient depuis cinq ans.
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Article
Dossier / La musique et l'enfant à l'hôpital , Soins pédiatrie puériculture , 226 , Thibault P , 01/10/2005
Type Article
Titre Dossier / La musique et l'enfant à l'hôpital
Source Soins pédiatrie puériculture
226
Auteurs Thibault P
Date de parution 01/10/2005
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Article
Les docteurs Rêves au chevet des enfants hospitalisés : Théodora souffle ses cinq bougies , Quotidien du médecin (Le) , 7824 , Convers J , 18/10/2005
Type Article
Titre Les docteurs Rêves au chevet des enfants hospitalisés : Théodora souffle ses cinq bougies
Source Quotidien du médecin (Le)
7824
Auteurs Convers J
Date de parution 18/10/2005
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Article
Dossier / La présence des parents à l'hôpital, en France et ailleurs , Soins pédiatrie puériculture , 224 , Gervaise S , 01/06/2005
Type Article
Titre Dossier / La présence des parents à l'hôpital, en France et ailleurs
Source Soins pédiatrie puériculture
224
Auteurs Gervaise S
Date de parution 01/06/2005
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Article
Les Maisons de parents, un lien indispensable avec l'hôpital , Quotidien du médecin (Le) , Hunsinger V , 21/04/2005
Type Article
Titre Les Maisons de parents, un lien indispensable avec l'hôpital
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Hunsinger V
Date de parution 21/04/2005
Commentaire La fédération des Maisons de parents, qui rassemble une centaine de structures de ce type dans toute la France, a tenu son 20e congrès à Suresnes, avec le soutien des Laboratoires GlaxoSmithKline. Trente ans après leurs débuts, les Maisons sont toujours vivement soutenues par les soignants. LA PREMIERE MAISON de parents est née au Kremlin-Bicêtre en 1976 à l'initiative du Pr Alagille. Aujourd'hui, il existe aujourd'hui en France une centaine de ces structures qui permettent d'héberger les familles des enfants hospitalisés. D'autres maisons ont aussi été créées en Belgique et au Maroc sur ce même modèle. La plupart sont gérées par des associations créées spécialement ou par des grandes organisations comme la Croix-Rouge, le Secours catholique ou des fondations, dont certaines sont soutenues par des laboratoires pharmaceutiques. Pour son 20e congrès, la fédération des Maisons de parents s'est réunie à Suresnes sous l'égide de la Maison de parents de Ferdinand-Foch. Cet hôpital de la région parisienne accueille en particulier des enfants de tous les pays opérés par le Dr Darina Krastinova, responsable de l'unité de chirurgie cranio-orbito-palpébrale et des jeunes atteints de la mucoviscidose qui y bénéficient de greffe de poumons. « La maison est ouverte tous les jours de l'année, grâce en particulier à la présence d'une vingtaine de bénévoles qui y assurent des permanences par demi-journée », explique Marie-Noëlle Delalle, directrice de la Maison de Suresnes, créée en 1995 et située juste en face de l'hôpital. Si les parents sont en principe les premiers concernés par l'accompagnement d'un enfant hospitalisé, la Maison peut aussi accueillir la famille au sens large : frères et sœurs ou grands-parents par exemple. La Maison de Ferdinand-Foch bénéficie d'un soutien de la Cramif et de l'aide du laboratoire GlaxoSmithKline. Ce qui permet de limiter le prix de la nuitée pour les familles entre 6,25 euros et 30 euros en fonction de leurs revenus. La Maison compte 18 chambres doubles et 6 chambres individuelles. Outre l'hébergement, les familles peuvent y faire la cuisine et y prendre leurs repas. L'écoute et le partage. Parmi les patients du Dr Dominique Grenet, pneumologue et responsable du centre de référence sur la mucoviscidose, un tiers vivent hors de l'Ile-de-France : « Les conditions d'accueil dans cette maison sont chaleureuses. Elles permettent l'écoute et le partage entre les familles qui y séjournent. » Ce que confirme Jean-Yves Quinio, membre actif de l'association Vaincre la mucoviscidose et papa d'un enfant atteint aujourd'hui décédé. « Nous avons toujours voulu que notre enfant puisse avoir une existence aussi normale que possible », explique-t-il. Quand le jeune homme a dû subir une greffe à l'âge de 21 ans, à Suresnes, sa famille découvre la Maison des parents. « Nous avons trouvé ici un endroit pour nous reposer, pour discuter et surtout qui nous a permis de prendre des points de repère par rapport à la vie de l'hôpital. » Cette proximité avec un enfant malade est très importante pour tous les membres de la famille. Quand l'enfant arrive en fin de vie, elle est absolument indispensable.
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