Bonjour,
Accueil
Se connecter
Recherche rapide
Menu recherche
Recherche Avancée
Dossiers thématiques
Législation
Ethique
Education thérapeutique du patient
Soins palliatifs
Relation Soignant/Soigné
Bienvenue sur Alexandrie !
Classeurs
Tout ajouter au classeur
Créer un classeur
Nom
*
Résultats par nature :
Page : 1 / 4
1
2
3
4
>
>>
N° Revue
La douleur prolongée chez le nouveau-né : étude de cas
,
Recherche en soins infirmiers (ARSI)
,
115
,
01/12/2013
,
https://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2013-4.htm
Type
N° Revue
Titre
La douleur prolongée chez le nouveau-né : étude de cas
Source
Recherche en soins infirmiers (ARSI)
N°
115
Date de parution
01/12/2013
URL
https://www.cairn.info/revue-recherche-en-soins-infirmiers-2013-4.htm
Fermer
N° Revue
Choix thérapeutiques en fin de vie
,
Ethique et santé
,
1
,
01/03/2016
,
http://www.em-consulte.com/revue/ETIQE/13/1/table-des-matieres/
Type
N° Revue
Titre
Choix thérapeutiques en fin de vie
Source
Ethique et santé
N°
1
Date de parution
01/03/2016
URL
http://www.em-consulte.com/revue/ETIQE/13/1/table-des-matieres/
Fermer
Ouvrage
GUIDE PRATIQUE DE PEDIATRIE D'URGENCE PRE-HOSPITALIÈRE
,
Lavaud J
,
SAUVAGEON X
,
Doin
,
25/08/2000
,
618.92/LAV
Type
Ouvrage
Titre
GUIDE PRATIQUE DE PEDIATRIE D'URGENCE PRE-HOSPITALIÈRE
Auteurs
Lavaud J
,
SAUVAGEON X
Source
Doin
Date de parution
25/08/2000
Cote
618.92/LAV
Fermer
Article
Dossier / Les soins individualisés à l'enfant né prématurément
,
Soins pédiatrie puériculture
,
256
,
01/10/2010
Type
Article
Titre
Dossier / Les soins individualisés à l'enfant né prématurément
Source
Soins pédiatrie puériculture
N°
256
Date de parution
01/10/2010
D1269.PDF (1 Mo)
D1270.PDF (2 Mo)
D1271.PDF (1 Mo)
D1272.PDF (1 Mo)
D1273.PDF (1 Mo)
D1274.PDF (2 Mo)
Fermer
(+ 5)
Article
Le généraliste dans la prévention de la prématurité La prématurité reste un problème majeur de santé publique dont l’incidence ne cesse d’augmenter depuis quinze ans (7,2 % des naissances en 2003). De plus, elle constitue toujours la première cause de mortalité néonatale et de handicap de la petite enfance.
,
Quotidien du médecin (Le)
,
12/03/2010
Type
Article
Titre
Le généraliste dans la prévention de la prématurité La prématurité reste un problème majeur de santé publique dont l’incidence ne cesse d’augmenter depuis quinze ans (7,2 % des naissances en 2003). De plus, elle constitue toujours la première cause de mortalité néonatale et de handicap de la petite enfance.
Source
Quotidien du médecin (Le)
Date de parution
12/03/2010
Commentaire
Priorité Les complications de la prématurité sont directement en rapport avec l’âge gestationnel de naissance?; plus l’enfant est prématuré, plus les chances de survie sans séquelles sont faibles. La lutte contre la prématurité est donc une priorité à laquelle le médecin généraliste peut activement participer. Son rôle consistera alors principalement à détecter les patientes à risque afin que la prise en charge soit la plus adaptée possible. En cas d’antécédent En cas d’antécédent d’accouchement prématuré, il peut être directement envisagé un suivi dans une maternité appartenant à un réseau périnatal au sein duquel le transfert dans une maternité adaptée sera facile en cas de récidive. Il est en effet bien démontré que, pour les nouveau-nés prématurés, il existe des bénéfices à naître dans la structure qui les accueillera par la suite, le transport médicalisé après la naissance étant délétère pour les enfants fragiles. De plus, c’est dans une maternité familière à la prise en charge de la prématurité que sera décidé le type de suivi et la mise en place de mesures préventives comme le cerclage du col utérin ou le dépistage d’une vaginose bactérienne. Le médecin doit donc pouvoir orienter ces patientes, idéalement au milieu du premier trimestre de grossesse. Enfin, une grande importance sera donnée aux mesures sociales. L’arrêt de travail sera systématique à partir de 24 SA, plus précoce encore, vers 13-14 SA, en cas de cerclage du col utérin. Des mesures d’aide à domicile pourront être mises en place. En particulier, il faudra s’intéresser à la prise en charge des enfants en bas âge. Absence d’antécédent En l’absence d’antécédent d’accouchement prématuré, le médecin généraliste devra être particulièrement attentif au dépistage des facteurs de risque d’accouchement prématuré. Par la connaissance des antécédents de ses patientes, le médecin généraliste se trouve dans une situation privilégiée pour mener à bien ce dépistage. La pénibilité du travail, des transports, le nombre d’enfants en bas âge, le type d’habitation, le niveau socio-économique global devra alerter. La consommation de tabac et d’autres toxiques devra être découragée. L’existence d’antécédent de maladie chronique doit conduire le médecin généraliste à faire suivre sa patiente dans une maternité spécialisée. En l’absence de tels antécédents, le médecin généraliste peut suivre la grossesse selon une procédure mise en place conjointement avec la maternité où se déroulera l’accouchement. Au cours du suivi, devront systématiquement être recherchées des modifications cervicales, une anomalie de la croissance fœtale par mesure de la hauteur utérine, une hypertension artérielle, une protéinurie. En cas d’apparition de l’un de ces signes, la patiente devra être adressée en milieu spécialisé.
Fermer
Article
Un autre regard sur la prématurité
,
Soins pédiatrie puériculture
,
252
,
01/02/2010
Type
Article
Titre
Un autre regard sur la prématurité
Source
Soins pédiatrie puériculture
N°
252
Date de parution
01/02/2010
Commentaire
En octobre dernier, la 3e Journée de périnatalité du Rhône s’est déroulée à Lyon (69) sur le thème : “Un autre regard sur la prématurité : réalité, enjeux, perspectives”. Deux interventions, en particulier, ont présenté une activité rarement décrite et pourtant couramment utilisée : celle des prises en charges relais. Celles-ci soulignent le rôle capital des réseaux et des professionnels dans l’accompagnement des bébés prématurés.
Fermer
Article
Le prématuré ressent davantage la douleur qu’un enfant à terme
,
Quotidien du médecin (Le)
,
Fourcade M
,
13/10/2009
Type
Article
Titre
Le prématuré ressent davantage la douleur qu’un enfant à terme
Source
Quotidien du médecin (Le)
Auteurs
Fourcade M
Date de parution
13/10/2009
Commentaire
Les nouveaux nés nécessitant des soins en réanimation ont soumis à des gestes invasifs répétés qui engendrent la douleur. La meilleure stratégie pour soulager cette douleur est l’association de moyens pharmacologiques et non pharmacologiques. LA CAPACITÉ du nouveau-né à ressentir la douleur n’est plus remise en question. Non seulement le plus petit prématuré est capable de percevoir, de répondre et probablement de mémoriser une stimulation nociceptive mais en plus il ressent la douleur de façon plus intense, plus diffuse et plus prolongée qu’un enfant à terme. La prise en charge de la douleur chez les nouveau-nés prématurés hospitalisés dans un service de réanimation néonatale fait appel à des moyens non pharmacologiques et à des traitements médicamenteux. Parmi les moyens non médicamenteux, un des plus efficaces est la prévention (utilisation des voies d’abord déjà posées, planification des gestes et de l’analgésie, stratégie pour réduire le nombre des gestes douloureux…). Les autres moyens les plus fréquemment utilisés et qui ont fait la preuve de leur efficacité pour réduire la douleur chez le nouveau-né sont l’administration orale de boissons sucrées à base de saccharose ou de glucose suivie de la succion d’une tétine, le contact peau à peau (nouveau-né et sa mère), la stimulation multisensorielle (massage, voix, contact visuel, parfum), l’allaitement maternel. Le traitement pharmacologique de la douleur sévère chez le nouveau-né fait appel aux morphiniques, analgésiques les plus utilisés chez le nouveau-né gravement malade, à la kétamine et à la crème EMLA pour une anesthésie locale. La morphine est chef de file de cette catégorie de médicaments, mais plusieurs morphiniques synthétiques et semi-synthétiques sont utilisés chez le nouveau-né. Les avantages des morphiniques sont leur puissance analgésique sans effet plafond, leur effet sédatif chez les enfants ventilés, leur effet faible à modéré sur la stabilité hémodynamique (même chez les nouveau-nés dont l’état clinique est instable). En pratique, explique le Dr Elisabeth Walter (hôpital Trousseau Paris) il est habituel de donner une sédation analgésie de fond aux nouveau-nés ventilés afin de diminuer le stress, améliorer la synchronisation de la ventilation, éviter une instabilité physiologique. Les médicaments les plus utilisés sont la morphine, le fentanyl et le midazolam. Toutefois la revue Cochrane ne recommande pas l’utilisation systématique de morphine chez tous les nouveau-nés en ventilation mécanique et recommande que son utilisation soit faite sur des critères cliniques et en utilisant une évaluation de la douleur
Fermer
Article
Précarité et prématurité
,
Journal de pédiatrie et de puériculture
,
8
,
01/12/2008
Type
Article
Titre
Précarité et prématurité
Source
Journal de pédiatrie et de puériculture
N°
8
Date de parution
01/12/2008
Fermer
Article
Prise en charge du nouveau-né prématuré
,
Journal de pédiatrie et de puériculture
,
5/6
,
Amri F
,
Negra S
,
01/08/2008
Type
Article
Titre
Prise en charge du nouveau-né prématuré
Source
Journal de pédiatrie et de puériculture
N°
5/6
Auteurs
Amri F
,
Negra S
Date de parution
01/08/2008
Fermer
Article
Nés trop tôt
,
Ecole des parents (L')
,
572
,
Guardiola I
,
01/09/2008
Type
Article
Titre
Nés trop tôt
Source
Ecole des parents (L')
N°
572
Auteurs
Guardiola I
Date de parution
01/09/2008
Fermer
1
2
3
4
>
>>
Connexion
Identifiant
Mot de passe
Catégorisation par Type
Article (195)
N° Revue (27)
Ouvrage (25)
Mémoire - Rapport (24)
Dossier thématique (6)
Mots-clés
PREMATURITE (33)
NEONATOLOGIE (14)
ENFANT (8)
PARENT (7)
PEDIATRIE (7)
ATTACHEMENT (5)
SANTE PUBLIQUE (3)
TRAVAIL ECRIT (3)
CONTACT PEAU A PEAU (3)
ENQUETE (2)
Liens utiles
Annuaire des sites
Lieux de ressources
Emploi
Centre Hospitalier Départemental Stell
A la semaine prochaine !