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Ouvrage
Tout sur les soins infirmiers en fiches mémos
,
BENCHIMOL P
,
BENMESBAH S
,
ABBADI K
,
SUP FOUCHER
,
19/05/2021
,
610.7/BEN
Type
Ouvrage
Titre
Tout sur les soins infirmiers en fiches mémos
Auteurs
BENCHIMOL P
,
BENMESBAH S
,
ABBADI K
Source
SUP FOUCHER
Date de parution
19/05/2021
Cote
610.7/BEN
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Dossier thématique
COMMUNIQUER POUR TOUS: LES ENJEUX DE LA LITTÉRATIE EN SANTÉ
,
SANTÉ EN ACTION (LA)
,
01/06/2017
,
INFORMATION
/
SANTE PUBLIQUE
/
HANDICAP
/
MEDIATION
/
COMMUNICATION NON VERBALE
/
COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
/
PREVENTION
/
BELGIQUE
Type
Dossier thématique
Titre
COMMUNIQUER POUR TOUS: LES ENJEUX DE LA LITTÉRATIE EN SANTÉ
Source
SANTÉ EN ACTION (LA)
Date de parution
01/06/2017
Mots-clés
INFORMATION
/
SANTE PUBLIQUE
/
HANDICAP
/
MEDIATION
/
COMMUNICATION NON VERBALE
/
COUVERTURE MALADIE UNIVERSELLE
/
PREVENTION
/
BELGIQUE
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Article
Les précautions complémentaires contact
,
Soins aides soignantes
,
65
,
08/2015
Type
Article
Titre
Les précautions complémentaires contact
Source
Soins aides soignantes
N°
65
Date de parution
08/2015
Commentaire
L’émergence de micro-organismes résistants et hautement résistants aux antibiotiques exige la mise en œuvre des recommandations de prévention de la transmission croisée de ces micro-organismes lors des soins. Ces recommandations comportent des précautions complémentaires de type contact qui s’ajoutent aux précautions standard. L’isolement géographique des patients colonisés ou infectés et le renforcement des mesures d’hygiène sont des mesures barrière afin d’éviter la transmission de ces germes à des personnels, à des visiteurs, et surtout à d’autres patients.
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Article
Un Collectif diabète pour améliorer le dépistage et la prévention
,
Soins
,
793
,
03/2015
Type
Article
Titre
Un Collectif diabète pour améliorer le dépistage et la prévention
Source
Soins
N°
793
Date de parution
03/2015
Commentaire
Depuis 2004, la création d’un Collectif diabète, dans l’Aude, a permis la mise en œuvre de près de 150 journées de dépistage et d’information sur la pathologie. Formé de professionnels et de bénévoles associatifs, celui-ci inclut le travail de près de 30 partenaires. Il intervient sur l’ensemble des territoires et permet un accès au dépistage et à la prévention en milieu rural.
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Article
Enthousiasmer son personnel par une stratégie d'information
,
Gestions hospitalières
,
528
,
01/09/2013
Type
Article
Titre
Enthousiasmer son personnel par une stratégie d'information
Source
Gestions hospitalières
N°
528
Date de parution
01/09/2013
Commentaire
La création d'une unité de pédopsychiatrie hospitalière de soins, la mise en place d'une prise en charge clinique peu développée et la gestion d'une nouvelle équipe pluri?disciplinaire ont amené l'auteur, chef soignant, à renforcer l'envoi d'informations qui accompagnent le plan mensuel de travail. C'est face aux questions sur l'importance et l'impact du partage des informations dans une réalité souvent difficile et complexe que l'outil ICP (Informations complémentaires aux plans mensuels de travail) a été développé. Il s'agit d'un déploiement d'informations précises avec une structuration et une réflexion autour de la communication qui vise à créer des points de références pour les professionnels et implique la notion de valeurs.
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Article
L'information sur les droits des malades laisse encore à désirer, selon le CISS
,
Editions ASH
,
22/04/2013
Type
Article
Titre
L'information sur les droits des malades laisse encore à désirer, selon le CISS
Source
Editions ASH
Date de parution
22/04/2013
Commentaire
Globalement satisfaits de leur niveau d'information dans les situations courantes, les usagers du système de santé s'estiment cependant moins bien informés sur les aspects pratiques de la démarche de soins et sur leurs droits dans certains cas spécifiques, comme le recours au dispositif AERAS, constate le Collectif interassociatif sur la santé (CISS) dans la sixième vague de son baromètre sur les droits des malades, rendue publique vendredi 19 avril. Près de la moitié des personnes interrogées dans le cadre de ce sondage (46 %), et déclarant avoir été confrontés ou témoins de difficultés d'accès à un emprunt ou à une proposition d'assurance en lien avec l'état de santé (32 % du total), ignoraient en effet l'existence du dispositif créé par la convention AERAS (S'assurer et emprunter avec un risque aggravé de santé). La convention AERAS méconnue "La proportion de personnes ayant déjà fait face – ou dont un proche a déjà fait face – à un refus d'assurance en raison d'un handicap ou d'une maladie est de 20 %", précise le CISS, le refus d'assurance étant logiquement plus fréquent chez les personnes atteintes d'une ALD (32 %). C'est sensiblement la même proportion en cas de proposition d'assurance avec exclusion de garanties : 19 % des Français ont vécu cette situation (35 % parmi les personnes atteintes d'une ALD), et 18% des sondés se sont vus proposer une assurance avec surprime (28 % parmi les personnes atteintes d'une ALD). Plus généralement, près de 30 % des patients consultés se sentent mal informés concernant le coût des soins et des médicaments, et leur prise en charge. C'est aussi le cas de 35 % d'entre eux pour les modalités d'accès à leur dossier médical et de 39 % pour les recours et démarches possibles en cas de problème grave lié aux soins. Des voies de recours ? D'ailleurs, "seuls 37 % des usagers du système de santé disent avoir déjà entendu parler de l'un des deux dispositifs de recours que sont les commissions d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) ou des commissions des relations avec les usagers dans les établissements de santé (CRUQPC)", rapporte encore le CISS, au vu des résultats de ce sondage (réalisé en mars dernier auprès d'un échantillon d'un millier de personnes). "On comprend ainsi que leur satisfaction de prime abord repose sur la confiance accordée aux professionnels de santé et au premier rang desquels le médecin traitant (94 % lui font confiance, et même 97 % chez les personnes en affection longue durée, ALD)", souligne le collectif dans un communiqué, mais que cette confiance "s'estompe naturellement lorsqu'il s'agit de thématiques sur lesquelles les médecins ne sont pas les plus à même de se faire les relais de l'information". Une confiance limitée dans les services en ligne A cet égard, si Internet est souvent perçu comme un outil utile, il souffre néanmoins "d'un gros défaut de confiance", puisque les services de santé en ligne n'inspirent confiance qu'à 33 % des Français interrogés "en tant que source d'information, et même seulement 24 % concernant les services de santé qu'on peut y trouver (comme par exemple la consultation de médecins en ligne ou les carnets de santé électroniques)". Certains droits des usagers du système de santé sont même carrément ignorés de près d'un quart d'entre eux, dans des situations où, pourtant, "l'avis et la volonté personnels de la personne malade sont particulièrement déterminants" : 24 % des personnes interrogés disent ne pas avoir connaissance du droit à refuser ou interrompre un traitement, 25 % ne pas savoir qu'il est possible d'engager un recours en cas de problème grave lié aux soins, et respectivement 28 % et 31 % ignorent "le droit à désigner une personne de confiance pour être accompagné tout au long d'une prise en charge, ou à rédiger des souhaits pour sa fin de vie dans le cas où on ne serait plus en mesure de les exprimer"
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Article
Un Français sur 2 a déjà utilisé Internet pour des informations sur la santé
,
Quotidien du médecin (Le)
,
10/04/2013
Type
Article
Titre
Un Français sur 2 a déjà utilisé Internet pour des informations sur la santé
Source
Quotidien du médecin (Le)
Date de parution
10/04/2013
Commentaire
Un Français sur deux a déjà utilisé Internet pour rechercher des informations médicales. C’est ce qui ressort d'un sondage TNS Sofres destiné à appréhender leurs pratiques, leurs usages et leurs attentes sur Internet en termes de santé. Ce sondage réalisé pour LauMa communication et Patients E Web et Doctissimo) a été réalisé par interviews téléphoniques du 4 au 16 février dernier auprès de 1 002 personnes de plus de 18 ans représentatifs de la population française. On constate que 49 % des Français ont déjà utilisé Internet pour rechercher des informations médicales ou sur la santé soit pour eux, soit pour leur entourage. Les recherches réalisées par les « internautes santé » portent essentiellement sur une maladie ou un problème de santé (92 %). Les recherches, dans plus de la moitié des cas, concernent des pathologies chroniques (diabète, cancer, insuffisance rénale...). Pour mieux prendre en charge leur santé On constate que les recherches s’orientent non seulement vers les traitements, les médicaments (63 %) mais également vers les témoignages d’autres internautes sur leur vécu de telle ou telle pathologie. Notons également que 56 % des internautes utilisent le Web pour trouver un médecin, une clinique, un hôpital. Pour 61 % des utilisateurs, ces démarches sur les sites santé, dont les informations données sont jugées claires, visent à mieux prendre en charge leur santé, ou celle de leurs proches (61 %). Ces recherches, réalisées avant une consultation (19 %) permettent de mieux comprendre ce que le médecin va dire (63 %), de poser les bonnes questions, de discuter le traitement (53 %). Pour les internautes réalisant les recherches après une consultation (34 %), celles-ci sont plutôt destinées à trouver des informations complémentaires sur leur maladie (72 %), sur les traitements, sur les médicaments prescrits (44 %). Tous ces internautes santé estiment que chercher sur Internet rend la relation médecin-patient plus positive car cela rend les échanges plus riches : « Le Web est vécu comme un dispositif facilitateur de la consultation médicale. » Dans cette étude TNS Sofres, on constate que tous les Français n’utilisent pas le web santé : certains parce qu’ils ne sont pas connectés (21 %) ou ne servent pas ou peu d’Internet (3 %), d’autres parce qu’ils ne parlent de leur santé qu’avec leur médecin ou leur pharmacien (54 %). Différentes catégories Divers profils d’usagers se dessinent : les « déconnectés » (15 %) surtout des seniors, très distants des informations d’Internet, se fiant surtout à leur médecin, les « méfiants » (24 %) qui ont une confiance relative dans les informations divulguées sur le Web, les « occasionnels » qui n’utilisent que ponctuellement le Web pour s’informer et qui souhaiteraient l’utiliser pour accéder aux résultats d’analyse médicale, aux prises de rendez-vous, à des informations garanties par des professionnels de santé. Les « adeptes » (13 %) ressemblent aux précédents, mais leurs attentes sont plus grandes : utilisant fréquemment le Web pour s’informer sur la santé, pour rester en bonne santé, ils souhaitent des informations validées par des professionnels, la possibilité d’échanger avec eux par email… Enfin les « communicants » (13 %), en général très adeptes de l’automédication, allant très fréquemment (au moins 2 ou 3 fois par semaine) sur le Web pour chercher des informations médicales, pour communiquer avec d’autres patients, avec des médecins, échanger en visioconférence, en visiophonie avec leur médecin. Internet et malades chroniques Une autre étude menée par Doctissimo met en évidence que les malades chroniques sont de grands adeptes d’Internet santé. Ils participent à des chats, des forums pour y rechercher des informations, des témoignages, sur le vécu de leur maladie, sur leur maladie... Ils vivent Internet comme un lieu d’éducation, d’échange. Ils souhaitent avoir des formations sur la gestion de leur pathologie ou celle d’un proche. Leurs attentes sont grandes et s’orientent vers l’éducation thérapeutique, vers la possibilité de suivre des conférences traitant de leur pathologie. En conclusion, ces études montrent que pour 50 % des Français de nouvelles attitudes vis-à-vis de l’Internet santé se mettent en place. Le médecin garde une place prédominante, un acteur incontournable de leur relation au Web santé. Plus de 33 % des internautes souhaitent qu’ils les aident à les orienter vers des sites précis, fiables.
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Article
Une décision de justice pas à pas. Défaut d’information sur les conséquences d’un geste chirurgical mutilant
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Droit déontologie et soin
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4
,
01/12/2012
Type
Article
Titre
Une décision de justice pas à pas. Défaut d’information sur les conséquences d’un geste chirurgical mutilant
Source
Droit déontologie et soin
N°
4
Date de parution
01/12/2012
Commentaire
Le défaut d’information sur toutes les conséquences d’un geste chirurgical mutilant, et ce même si l’abstinence opératoire était à déconseiller, engage la responsabilité.
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Article
Information du patient : recommandation de bonne pratique de l’HAS de mai 2012 et jurisprudence de référence
,
Droit déontologie et soin
,
4
,
01/12/2012
Type
Article
Titre
Information du patient : recommandation de bonne pratique de l’HAS de mai 2012 et jurisprudence de référence
Source
Droit déontologie et soin
N°
4
Date de parution
01/12/2012
Commentaire
La publication de l’importante recommandation de la Haute Autorité de santé (HAS) sur l’information du patient est l’occasion de faire le point sur la jurisprudence de référence… qui trouve sa source dans un arrêt de 1942 ; ce qui montre l’ancienneté de ces problématiques.
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Article
La santé s'impose sur Internet et les réseaux sociaux
,
Le Figaro
,
28/11/2012
Type
Article
Titre
La santé s'impose sur Internet et les réseaux sociaux
Source
Le Figaro
Date de parution
28/11/2012
Commentaire
Grâce à Internet et aux réseaux sociaux, les malades deviennent acteurs de leur santé, a constaté un colloque français sur l'e-santé. Près de 60 % des Français se tournent en priorité vers Internet pour rechercher des informations en santé. Une révolution qui n'a pas échappé au Conseil national de l'Ordre des médecins (Cnom) qui organisait le 14 novembre dernier une table ronde sur «le Dr Google et les cyberpatients» dans le cadre de sa Journée d'éthique. Pour le Cnom, le «Dr Google», autrement dit cette inépuisable source d'information via les moteurs de recherche à portée de clic des patients, doit respecter deux exigences: la protection de la confidentialité des données personnelles de santé et la déontologie médicale. Un rappel utile, car désormais, les malades ne se contentent pas de chercher de l'information santé sur Internet, mais ils n'hésitent plus à partager les résultats de leurs bilans et analyses avec une communauté, virtuelle, sur les forums et réseaux sociaux (type Twitter ou Facebook). Le Dr Michel Legmann, président du Cnom, invite toutefois à la prudence: «Ces données sont des informations dont l'exploitation inappropriée pourrait avoir des conséquences fâcheuses si elles étaient divulguées sans contrôle». Mais l'irruption d'Internet dans la relation médecin-malade est aussi une chance selon le Dr Jacques Lucas, vice-président du Cnom et délégué général aux Systèmes d'information en santé, car «il ne faudrait pas avoir la nostalgie d'une consultation idyllique qui n'a jamais existé». Sans aller jusqu'à mettre le patient au même niveau d'expertise que le médecin, il est indéniable que l'outil permet désormais d'élargir les connaissances du malade sur sa maladie. «Il est plus facile d'avoir une discussion avec son médecin lorsque l'on est informé», explique Catherine Cerisey, patiente engagée dans le développement de la e-santé, «l'intérêt est d'être partenaire dans le parcours de soin», ajoute-t-elle. Un type de partenariat nouveau, selon l'oncologue Franck Chauvin, professeur de santé publique: «Internet fait passer la relation médecin-malade d'un modèle extrêmement paternaliste et complètement asymétrique à une relation beaucoup plus équilibrée». Un échange nouveau entre patients et médecinsPour le Dr Lucas, «le médecin connaît la maladie mais le malade l'éprouve dans sa chair. C'est dans cet espace là que peut se construire un rapport fructueux même si la relation restera asymétrique car les savoirs ne sont pas les mêmes». De fait, il serait plus judicieux de parler de patient-expérimenté, au sens du vécu de la maladie, plutôt que de patient-expert, même si certains en viennent à posséder une véritable expertise de leur maladie. Les discussions entre malades sont aussi à double tranchant car ce qui était vrai pour un malade dans une situation donnée et à une époque particulière ne l'est pas forcément pour un autre, atteint par exemple d'un cancer de profil génétique différent ou ayant d'autres priorités dans sa vie quotidienne. Cette fois, c'est bien l'expérience du médecin, qui a connu d'autres malades atteints de la même maladie, qui va permettre d'individualiser au mieux les options qui s'offrent au patient. Moins présents que les patients sur les forums, les médecins sont en revanche très ouverts aux applications médicales: «Près d'un tiers d'entre eux utilise son smartphone en consultation pour prescrire. Avec une priorité pour la consultation de bases médicamenteuses et des interactions médicamenteuses», souligne Lucie Tesquier spécialiste des réseaux sociaux en santé. Selon elle, les applications destinées à améliorer l'observance et le suivi du patient entre deux consultations vont se développer dans les années à venir: «On estime qu'il y aura 500 millions d'utilisateurs d'applications santé en 2015». Autre tendance de fond, pointée par l'experte, le développement des «serious game», ces jeux qui permettent de transmettre un message pédagogique de façon ludique. Il en existe déjà, par exemple, pour sensibiliser les jeunes à une consommation excessive d'alcool ou aider les malades à repérer les facteurs déclenchant de crises allergiques.
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