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Ouvrage
L'INFIRMIERE AUJOURD'HUI - ET DEMAIN? Questions de formation, d'identité, évolutions et perspectives , PETRUS-KRUPSY M , Seli arslan , 18/11/2020 , 610.73Pro/PET
Type Ouvrage
Titre L'INFIRMIERE AUJOURD'HUI - ET DEMAIN? Questions de formation, d'identité, évolutions et perspectives
Auteurs PETRUS-KRUPSY M
Source Seli arslan
Date de parution 18/11/2020
Cote 610.73Pro/PET
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Ouvrage
L'infirmière et l'exercice libéral : Missions, droits et devoirs , CLAUSTRES L , LAMARRE , 01/04/2016 , 610.73Pro/CLA
Type Ouvrage
Titre L'infirmière et l'exercice libéral : Missions, droits et devoirs
Auteurs CLAUSTRES L
Source LAMARRE
Date de parution 01/04/2016
Cote 610.73Pro/CLA
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Ouvrage
DROIT, ETHIQUE ET DEONTOLOGIE DES SOINS INFIRMIERS , HAOULIA N , Etudes hospitalières (Les) , 01/09/2014 , 174.HAO
Type Ouvrage
Titre DROIT, ETHIQUE ET DEONTOLOGIE DES SOINS INFIRMIERS
Auteurs HAOULIA N
Source Etudes hospitalières (Les)
Date de parution 01/09/2014
Cote 174.HAO
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Ouvrage
PRECIS DE LEGISLATION, ETHIQUE ET DEONTOLOGIE , MAUFOUX-IMMERGOUT R, Devers G, BADIANE DEVERS K , LAMARRE , 07/05/2012 , 174.MAU
Type Ouvrage
Titre PRECIS DE LEGISLATION, ETHIQUE ET DEONTOLOGIE
Auteurs MAUFOUX-IMMERGOUT R, Devers G, BADIANE DEVERS K
Source LAMARRE
Date de parution 07/05/2012
Cote 174.MAU
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Article
L’Ordre infirmier toujours dans la tourmente , Revue de l'infirmière , 171
Type Article
Titre L’Ordre infirmier toujours dans la tourmente
Source Revue de l'infirmière
171
Commentaire La secrétaire d’État en charge de la santé juge « partielle et bien tardive » la décision du conseil national de l’Ordre infirmier de ramener le montant de la cotisation ordinale à 30 euros pour les infirmiers salariés. Le conseil départemental de l’Ordre de Paris demande, pour sa part, la démission du bureau national et la mise en place d’un réel plan d’économie.
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Article
Entretien avec Dominique Le Bœuf, présidente de l’Ordre national des infirmiers , Soins cadres , 69 , 01/02/2009
Type Article
Titre Entretien avec Dominique Le Bœuf, présidente de l’Ordre national des infirmiers
Source Soins cadres
69
Date de parution 01/02/2009
Commentaire Élue le 14 janvier dernier lors de la première réunion du conseil national par 38 voix sur les 48 suffrages exprimés, la présidente de l’Ordre national des infirmiers est désormais l’interlocutrice officielle et privilégiée des autorités pour la profession infirmière. Première rencontre et entretien exclusif avec Dominique Le Bœuf dans ses toutes premières heures de présidence. Soins – À partir de quelles valeurs allez-vous inviter les infirmiers à se rassembler autour de leur Ordre ? • Dominique Le Bœuf : Lors de la première réunion du conseil national, les élus ont exprimé leur souhait de rendre visibles les soins infirmiers dans toutes leurs dimensions. J’ai entendu une forte demande pour définir et montrer la réalité du travail effectué par les infirmières qui réalisent de multiples activités sur des terrains extrêmement variés, avec bien sûr une haute technicité mais aussi une vraie dimension relationnelle. Nous allons mettre en lumière toutes ces valeurs soignantes, notamment au travers du code de déontologie qui les posera clairement. Ainsi, ces valeurs jusqu’alors “silencieuses” vont pouvoir s’exprimer et porter l’identité infirmière. Être infirmier aujourd’hui est une profession à risques qui demande un fort engagement individuel sur le terrain mais également sociétal et collectif. Rassemblés autour des valeurs soignantes, y compris au sein de l’Ordre, nous dégagerons une force nouvelle et une meilleure reconnaissance. Soins – Sur quoi l’Ordre va-t-il commencer concrètement à travailler ? DLB : La montée en charge sera forte ! Début février, s’est déroulée la première séance plénière du Conseil national de l’Ordre des infirmiers (CNOI) (encadré ci-contre). Cette première séance fondatrice a réuni les conseillers ordinaux autour des valeurs qui animent l’Ordre : assurer à la population des soins infirmiers de qualité, adaptés aux besoins de santé de la population, et réalisés par des personnels qualifiés et compétents, et garantir aux infirmiers une réelle place d’acteur responsable dans la politique de santé. Dans le cadre fort de ces engagements, le CNOI s’est donné deux priorités pour les mois à venir : l’élaboration du code de déontologie, qui permettra à chacun de se fédérer autour d’une colonne vertébrale. Pour y travailler, nous mobiliserons l’expertise des autres ordres et notamment les ordres paramédicaux afin de nous appuyer sur leur expérience ; le règlement intérieur, qui permettra de dégager une impulsion nationale en matière de fonctionnement interne. Il sera validé par les départements. Concernant la question de la cotisation, l’assemblée des départements sera consultée et le conseil national votera sans doute lors du prochain conseil qui aura lieu début avril. Et puis il nous faudra très vite réfléchir en termes de budget, pour avoir plus de visibilité. Le fait d’établir une communication directe avec tous est aussi une de mes priorités. Enfin, aller à la rencontre des infirmiers sur leurs terrains d’exercice me semble essentiel et je me déplacerai donc dans les régions et les départements pour rencontrer les élus ordinaux. Soins – Quelles commissions ou groupes de travail prévoyez-vous d’installer en priorité ? DLB : La commission système d’information se mettra au travail très vite afin de développer la plate-forme informatique qui permettra un partage sécurisé et interactif d’informations avec les différents conseils. Les départements ayant déjà reçu des demandes relevant de la conciliation, la cellule juridique du conseil national doit également être opérationnelle rapidement. Il faudra par ailleurs instaurer une commission finance autour des questions budgétaires. Enfin, la commission démographie me semble prioritaire afin d’élaborer le paysage exact de notre profession. C’est sur cette base que nous pourrons, par la suite, recenser et définir précisément tous les champs d’activités infirmiers pour mieux les valoriser et les faire évoluer en fonction des besoins de santé. Ils sont si riches et si variés, mais si dispersés aussi. C’est leur mise en lumière qui révélera tout l’intérêt et l’attractivité de la profession. C’est grâce à cela que nous pourrons créer des passerelles entre les activités, développer la diversité des parcours et fidéliser les infirmiers. Évidemment cette liste n’est pas exhaustive et lors du prochain conseil nous ferons le point sur ce qui est nécessaire et urgent en sachant que nous installerons prioritairement toutes les commissions prévues par la loi du 21 décembre 20061. Soins – Le montant de la cotisation ordinale a suscité de nombreuses discussions, voire des craintes. Que pouvez-vous en dire ? DLB : Nos critères de réflexion pour fixer le montant de la cotisation doivent d’une part permettre à l’Ordre d’être en mesure de tenir les engagements pris envers la profession et, d’autre part, veiller à ce que cette cotisation soit économiquement acceptable vis-à-vis des infirmières. C’est lors de l’assemblée des départements que cette question sera débattue pour être votée par le conseil national ensuite. Mais je tiens à rappeler que la cotisation servira à assurer l’indépendance de l’Ordre, à faire fonctionner ses conseils et leur permettre de remplir leurs missions. Soins – Quel pourrait être, dans les prochaines semaines, le rôle de l’Ordre sur les principaux dossiers en cours ? DLB : Le cabinet de la ministre, qui est venu introduire l’élection du bureau du conseil national, a exprimé le besoin d’interlocuteurs pour discuter sur les dossiers en cours. Nous serons donc très vite associés dans des réunions de travail et saisis sur les dossiers relatifs à l’organisation des soins. Concernant la loi “Hôpital, patients, santé et territoires”, certains conseils départementaux et régionaux ont élaboré des demandes d’amendements à propos du maintien de la commission des soins infirmiers au sein du conseil de surveillance et demandé d’introduire dans l’article L 4011-2 l’avis obligatoire des Ordres dans tous les protocoles de coopérations entre professionnels de santé. L’Ordre national a désormais toute légitimité pour porter ces demandes d’amendements auprès de la ministre, mais aussi des parlementaires et notamment du rapporteur de la loi. Cette question sera décidée en conseil national. Pour ce dernier, la réforme de la formation initiale est un dossier prioritaire, compte tenu du calendrier. Sur ce point et bien que le contenu de la formation initiale ne relève pas des missions ordinales, l’Ordre a cependant une légitimité de parole puisque garant des compétences infirmières. Nous espérons être saisis sur ce sujet et notamment sur le contenu des masters et, à partir de là, mettre en perspective les évolutions professionnelles pour affirmer une position forte de l’Ordre sur la filière universitaire infirmière jusqu’au doctorat, comme cela est le cas dans de nombreux pays européens. Soins – Sur quoi comptez-vous travailler avec les autres Ordres professionnels ? DLB : Cette collaboration est déjà formalisée, en particulier au travers du Comité de liaison inter-Ordres (Clio). Ce comité travaille notamment sur la question du possible élargissement aux Ordres paramédicaux du Répertoire partagé des professions de santé (RPPS). Ce dossier a une incidence sur l’élaboration de notre plateforme technique informatique qui devra probablement anticiper des applications en lien avec la carte professionnelle, l’enregistrement des professionnels et des étudiants en soins infirmiers de troisième année, la veille sanitaire en cas de pandémie par exemple… Une réflexion est également en cours sur l’harmonisation et l’allongement des mandats ordinaux à trois ans ainsi que sur le statut des ordinaux. L’Ordre des infirmiers va intégrer le Clio et je ne doute pas que nous soyons aussi amenés à parler des coopérations entre professionnels de santé avec les autres Ordres du secteur santé. Soins – Quel pourrait être l’apport de l’Ordre dans les réflexions menées sur la scène internationale ? DLB : Au niveau européen, l’Ordre va trouver très vite toute sa place dans les consultations que mène la commission européenne. Par exemple, l’Europe a lancé en décembre dernier un appel à consultation publique sur l’avenir des professions de santé2. Ce dossier a déjà été évoqué en réunion plénière à Bruxelles au mois de décembre à laquelle participait la Fédération européenne des associations infirmières (EFN) mais aussi le ministère de la Santé français par l’intermédiaire du sous-directeur des professions paramédicales et l’Ordre des médecins. Nous nous devons de participer à cette consultation ; c’est important notamment dans le contexte des dossiers en cours de discussion en France dans un souci d’harmonisation. En fait, nous allons recenser toutes les institutions européennes et mondiales auxquelles l’Ordre se doit de siéger pour les besoins de représentation de la profession infirmière et pour bâtir l’avenir des jeunes diplômés. Soins – Avez-vous un message à transmettre aux professionnels sur le terrain ? DLB : Je leur dirais qu’ils ne se rendent peut-être pas encore bien compte qu’une révolution est en train de se produire pour la profession infirmière. Je leur demande de ne pas douter de l’impact que cela aura sur le terrain et leurs activités, même si cela n’est pas visible immédiatement. Pour ces derniers, la mise en œuvre de l’Ordre s’exprimera en termes de reconnaissance, de valorisation, de capacité à défendre la qualité et la sécurité des soins infirmiers et ce, partout où il y a des infirmières. L’Ordre se construira évidemment pas à pas et avec les professionnels sur le terrain. Je sais d’avance qu’il faudra un peu de temps pour que chaque infirmier puisse considérer l’Ordre comme un outil de promotion de sa profession et non pas comme une nouvelle structure désincarnée. Soins – Quelle est votre ambition pour la profession infirmière au travers de l’Ordre ? DLB : Je suis infirmière et j’ai une très haute estime pour ma profession à la fois pour les qualités humaines qu’elle véhicule, mais aussi pour sa forte technicité. Mon ambition au travers de l’Ordre est donc d’exprimer toute cette richesse professionnelle avec une politique de valorisation des savoirs, des compétences et des expertises infirmières. Je souhaite aussi être dans l’anticipation, notamment au travers d’une approche fine de la démographie et des évolutions des besoins de santé. Ainsi, nous pourrons développer une politique de formation réaliste, construire des réponses appropriées, novatrices en lien avec les impératifs de qualité et de sécurité des soins. Des nouveaux rôles infirmiers émergent. Certains existaient déjà de façon informelle, ils doivent être valorisés. Il en est ainsi, par exemple, des consultations infirmières pour lesquelles je vais tout mettre en œuvre pour leur reconnaissance. Mais je pense aussi au secteur des soins palliatifs, ou encore à la santé publique. L’Ordre va se positionner sur ces sujets de société pour lesquels les infirmières ont une place centrale. Plus l’Ordre sera capable d’anticiper, plus il sera en mesure de se positionner. De beaux défis et beaucoup de travail en perspective ! Coordonnées (adresse provisoire) Ordre national des infirmiers, 116, rue de la Convention, 75015 Paris Haut de page Dominique Le Bœuf en quelques dates 1982 : obtention du diplôme d’État infirmier (Ifsi de Pontoise, 95). 1982-1990 : exercice professionnel au Centre hospitalier de Versailles (78) dans différents services (médecine interne, soins intensifs respiratoires, soins intensifs de cardiologie). 1990 : obtention du diplôme de cadre (École des cadres de Poissy, 78). 1990-1998 : encadrement de l’équipe soignante d’une unité de neurologie toujours au CH de Versailles. Création d’une unité d’hématologie clinique puis d’onco-hématologie. 1998 : préparation d’un DESS en évaluation dans la filière sciences de l’éducation (mémoire sur le thème des réseaux de soins). 1999 : préparation d’un DEA de sociologie de l’action organisée, sous la direction de Michel Crozier, à Sciences Po Paris. Réalisation d’un mémoire de recherche intitulé “Hôpital local, médecine générale, professionnels de santé et territoires”. 2000 : intégration de l’Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (Anaes – aujourd’hui Haute Autorité de santé, HAS). 2003 : mission nationale sur “les modalités d’évaluation des compétences des professionnels de santé”. Participation à la création de Cap réseau Bretagne, association régionale des professionnels de santé libéraux en Bretagne. Depuis 2003 : travaille sur divers dossiers dont l’évaluation des pratiques professionnelles, les référentiels des médecins généralistes, de plusieurs spécialités médicales et des sages-femmes en lien avec tous les ordres professionnels. 2008 : élue secrétaire générale du conseil départemental de l’Ordre des infirmiers des Yvelines, puis vice-présidente du conseil régional de l’Ordre des infirmiers d’Ile-de-France. 14 janvier 2009 : élue présidente de l’Ordre national des infirmiers. Haut de page Le bureau national de l’Ordre des infirmiers Les 52 conseillers nationaux de l’Ordre des infirmiers se sont réunis le 14 janvier 2009 pour procéder à l’élection du bureau du conseil national de l’Ordre des infirmiers et de son président. Ont ainsi été élus à l’issue de cette réunion la présidente et les huit membres suivants : Présidente : Dominique Le Bœuf, également secrétaire générale de l’Ordre des infirmiers des Yvelines et vice-présidente du conseil régional de l’Ordre des infirmiers d’Île-de-France. Vice-présidents : Dominique Coves, collège des infirmiers exerçant à titre libéral (Paca) ; David Vasseur, collège des salariés du secteur privé (Nord-Pas-de-Calais) ; Didier Borniche, collège du secteur public (Normandie). Secrétaire générale : Myriam Petit, collège des infirmiers exerçant à titre libéral (Île-de-France). Secrétaires adjoints : Karim Mameri, collège du secteur public (Normandie) ; Bruno Le Du, collège des infirmiers exerçant à titre libéral (Languedoc-Roussillon). Trésorier général : Christophe Bodin, collège du secteur public (Poitou-Charentes). Trésorier adjoint : Corinne Bourseaud-Laporte, collège des infirmiers exerçant à titre libéral (Auvergne). 1 Loi n° 2006-1668 du 21 décembre 2006 portant création d’un Ordre national des infirmiers [ http://www.legifrance.gouv.fr
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Ouvrage
Ordre infirmier français : enjeux et perspectives , DELMAS P, Sliwka C , LAMARRE , 01/10/2007 , LEG-001
Type Ouvrage
Titre Ordre infirmier français : enjeux et perspectives
Auteurs DELMAS P, Sliwka C
Source LAMARRE
Date de parution 01/10/2007
Cote LEG-001
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Article
Construire son ordre infirmier , Objectif Soins & Management , 165 , DELMAS P , 01/04/2008
Type Article
Titre Construire son ordre infirmier
Source Objectif Soins & Management
165
Auteurs DELMAS P
Date de parution 01/04/2008
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Article
Une identité professionnelle commune… , Soins aides soignantes , 719 , Fabrégas B , 01/10/2007
Type Article
Titre Une identité professionnelle commune…
Source Soins aides soignantes
719
Auteurs Fabrégas B
Date de parution 01/10/2007
Commentaire Savoir d’où l’on vient pour comprendre où l’on en est et envisager sereinement vers quoi l’on va… Cette seule phrase pourrait à elle seule résumer la teneur de la conférence d’ouverture des 29es sessions nationales de l’Association française des infirmiers de dialyse, transplantation, néphrologie (AFIDTN), les 13, 14 et 15 juin dernier à Marseille.
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Article
Ordre infirmier et prescription infirmière , Soins cadres , 62 , Capelle M , 01/05/2007
Type Article
Titre Ordre infirmier et prescription infirmière
Source Soins cadres
62
Auteurs Capelle M
Date de parution 01/05/2007
Commentaire Le décret n° 2007-552 du 13 avril 2007 relatif à la composition, aux modalités d’élection et au fonctionnement des conseils de l’Ordre des infirmiers a été publié au Journal officiel du 14 avril dernier. Le texte, qui subordonne désormais l’exercice de la profession d’infirmier à l’inscription au tableau de l’Ordre, précise également qu’il sera composé de 52 membres, dont 12 représentants du secteur libéral, 16 représentants du secteur privé et 24 du secteur public. Si le gouvernement avait initialement évoqué la possibilité d’un Ordre composé de 39 membres, il n’a pas choisi de revenir sur la répartition entre les différents secteurs. Par ailleurs, « l’Ordre [qui] concernera près de 460 000 infirmiers aura pour mission d’élaborer un code de déontologie, de défendre les intérêts de la profession et sera l’interlocuteur des pouvoirs publics », précise le ministère de la Santé dans un communiqué du 14 avril dernier. En outre, un arrêté du 13 avril 2007 fixe la liste des dispositifs médicaux que les infirmiers sont autorisés à prescrire (paru au JO du 14 avril 2007). Il les autorise désormais « à prescrire à leur patient certains dispositifs médicaux, leur permettant d’exercer leur activité sans que le patient n’ait systématiquement à retourner consulter son médecin traitant. Il s’agit par exemple de pansements, compresses, aiguilles, de dispositifs médicaux pour perfusion à domicile, etc. Cette disposition a été adoptée par le Parlement dans le cadre de la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2007. […] Afin de garantir la coordination des soins, cette prescription devra s’accompagner d’un retour d’information vers le médecin traitant du patient pour les dispositifs médicaux qui le nécessitent (bandes élastiques, chaussures compensées par exemple) ».
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