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N° Revue
Ethique et soins: pratiques des médecines généralistes en matière de prévention , Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP) , 77 , 01/12/2011 , https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=117
Type N° Revue
Titre Ethique et soins: pratiques des médecines généralistes en matière de prévention
Source Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP)
77
Date de parution 01/12/2011
URL https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=117
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Dossier thématique
Crise économique et santé , Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP) , 01/06/2017 , crise / ECONOMIE / ACCES AU SOIN / PRECARITE / BURN OUT / SUICIDE / PROTECTION SOCIALE / SYSTEME DE SANTE / ECONOMIE DE LA SANTE
Type Dossier thématique
Titre Crise économique et santé
Source Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP)
Date de parution 01/06/2017
Mots-clés crise / ECONOMIE / ACCES AU SOIN / PRECARITE / BURN OUT / SUICIDE / PROTECTION SOCIALE / SYSTEME DE SANTE / ECONOMIE DE LA SANTE
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Ouvrage
ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN VILLE ET SUR LE TERRITOIRE , TRAYNARD P-Y, Gagnayre R , Maloine , 13/03/2013 , 613.TRA
Type Ouvrage
Titre ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN VILLE ET SUR LE TERRITOIRE
Auteurs TRAYNARD P-Y, Gagnayre R
Source Maloine
Date de parution 13/03/2013
Cote 613.TRA
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Article
L’accès aux soins hospitaliers : la démarche du CH de Guéret , Gestions hospitalières , 547 , 07/2015
Type Article
Titre L’accès aux soins hospitaliers : la démarche du CH de Guéret
Source Gestions hospitalières
547
Date de parution 07/2015
Commentaire Le centre hospitalier de Guéret est l’établissement public de santé de référence du département de la Creuse. Il a donc un rôle pivot dans l’accès aux soins hospitaliers pour tous les publics, notamment vulnérables et accueillis en institution. Animée par la volonté d’améliorer les parcours de santé, l’accessibilité aux soins pour tous, la qualité de l’accueil à l’hôpital, la direction a souhaité s’inscrire dans une démarche partenariale avec les autres structures d’hébergement creusoises. Dans ce contexte, un axe prioritaire a été défini visant à améliorer l’accessibilité aux soins des personnes en situation de handicap. Ainsi, le CH de Guéret a pris des engagements pour améliorer l’accès aux soins des personnes empêchées.
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Article
Promouvoir l'hygiène bucco-dentaire auprès des familles et enfants roms , Revue de l'infirmière , 07/2015
Type Article
Titre Promouvoir l'hygiène bucco-dentaire auprès des familles et enfants roms
Source Revue de l'infirmière
Date de parution 07/2015
Commentaire L’association Médecins du Monde œuvre, avec ses Missions France, pour améliorer l’état de santé des populations précaires sur le territoire national. Pour ces personnes, elle cherche à favoriser l’accès aux soins, aux droits et à la prévention. Dans ce cadre, une Mission Bidonville a été créée à Nantes, à l’attention des familles Roms. Un jeune infirmier hospitalier témoigne ici de sa pratique bénévole en santé publique, au niveau de l’hygiène bucco-dentaire.
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Article
Un accès aux soins facilité pour les personnes handicapées en institution , Editions ASH , 01/06/2015
Type Article
Titre Un accès aux soins facilité pour les personnes handicapées en institution
Source Editions ASH
Date de parution 01/06/2015
Commentaire Si le problème de l'accès aux soins est bien documenté pour les personnes en situation de handicap vivant à domicile, il l'est en revanche beaucoup moins pour celles qui sont accueillies en institution. Un manque que vient de combler une étude de l'Institut de recherche et documentation en économie de la santé (IRDES), établie à partir des données des enquêtes Handicap-Santé Ménages (HSM, 2008) et Institutions (HSI, 2009) réalisées par la DREES et par l'INSEE, et qui a permis de comparer le recours aux soins des personnes en situation de handicap résidant en ménage ou en institution pour trois soins courants (dentaires, ophtalmologiques et gynécologiques) et quatre actes de prévention et de dépistage (dépistage des cancers du sein, du col de l'utérus, colorectal et vaccination contre l'hépatite B). Des disparités selon les actes "Les soins analysés dans cette étude ont été sélectionnés en raison des enjeux d'accès qu'ils représentent", souligne l'IRDES. Par ailleurs, la définition du handicap retenue comprend les personnes qui ont déclaré des restrictions d'activité pour la réalisation de soins personnels ou de la vie domestique. "Sélectionnées sur la base de ce même critère, les populations en ménage et en institution se différencient toutefois sur de nombreux paramètres (structure par âge et par sexe, niveau social...)", pointe l'étude. En premier lieu, "des disparités de recours apparaissent en fonction des soins analysés" : si l'écart n'est "pas significativement différent" entre les deux populations pour les soins ophtalmologiques, gynécologiques ainsi que pour le dépistage du cancer colorectal, il est en revanche accru pour les soins dentaires (+ 9 points pour les personnes en institution) et la vaccination contre l'hépatite B (+ 13 points). Il est au contraire réduit pour le dépistage des cancers du col de l'utérus (- 19 points) et du sein (- 16 points). Ces différentiels concernant le dépistage des cancers féminins "peuvent être la conséquence du degré de handicap plus important des femmes résidant en institution, la réalisation de ces actes étant particulièrement difficile chez [celles] présentant des troubles importants, qu'ils soient physiques ou mentaux", analyse l'IRDES. Améliorer l'information à domicile Ces premiers enseignements ont été précisés en comparant "le recours de chaque personne handicapée en institution à celui d'une personne handicapée en ménage semblable, en fonction de variables d'appariement". Les résultats ainsi obtenus "mettent en évidence, pour tous les soins considérés, une probabilité de recours augmentée pour les personnes hébergées en institution par rapport aux personnes en ménage présentant les mêmes caractéristiques, à l'exception du dépistage du cancer du sein dont le résultat n'est pas significatif". Ce différentiel, faible pour le dépistage du cancer du côlon et les soins ophtalmologiques, est plus élevé pour les frottis et pour les soins gynécologiques, et il "atteint un niveau encore plus accentué pour la vaccination contre l'hépatite B (+ 17 points) et pour les soins dentaires (+ 18 points)". L'IRDES avance plusieurs "hypothèses organisationnelles" susceptibles d'expliquer une probabilité de recours aux soins et à la prévention supérieure pour les personnes handicapées résidant en institution : tout d'abord un accès facilité à l'information sur les professionnels et structures de soins externes, mais aussi des locaux "pouvant potentiellement accueillir des professionnels de ville", ou encore une logistique permettant le transport des personnes handicapées vers les cabinets des professionnels de ville. "Enfin, la prise en charge peut être facilitée par la présence d'un professionnel de l'institution jouant le rôle d'intermédiaire entre le médecin et le patient handicapé". Il est donc "vraisemblable qu'un meilleur accès aux soins des personnes handicapées en ménage passe par une meilleure information sur les professionnels de santé et les structures à même de les accueillir", pointe l'IRDES. "Cette information peut être relayée par les acteurs de santé du territoire (institutions, maisons départementales des personnes handicapées, réseaux de santé...) susceptibles de faire naître des actions communes sur la thématique de l'accès aux soins des personnes handicapées, qu'elles résident en institution ou non". En conclusion, l'étude souligne que cette amélioration de la diffusion de l'information devra nécessairement s'accompagner d'une réflexion sur la façon dont les établissements peuvent répondre à cette demande d'accès aux soins des personnes à domicile .
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Article
Soins aux détenus et effectivité des droits , Droit déontologie et soin , 4 , 12/2014
Type Article
Titre Soins aux détenus et effectivité des droits
Source Droit déontologie et soin
4
Date de parution 12/2014
Commentaire S’agissant du sort, souvent précaire, des détenus malades, la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme fournit un ensemble de références sur la protection de la santé et les obligations positives des États, la notion de traitement inhumain ou dégradant dans le contexte carcéral (2) et le droit à recours.
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Article
L'accès aux soins des personnes en situation de précarité , Soins , 790 , 11/2014
Type Article
Titre L'accès aux soins des personnes en situation de précarité
Source Soins
790
Date de parution 11/2014
Commentaire L’hôpital est la porte d’entrée privilégiée d’une partie grandissante de la population en situation de précarité économique et sociale C’est pourquoi il est important que les soignants comprennent ces difficultés afin d’optimiser leurs interventions.
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Article
Assurance maladie : une note du CAE propose notamment la gratuité des soins à l'hôpital , Editions ASH , 07/04/2014
Type Article
Titre Assurance maladie : une note du CAE propose notamment la gratuité des soins à l'hôpital
Source Editions ASH
Date de parution 07/04/2014
Commentaire Dans une note du Conseil d'analyse économique (CAE), appelant à Refonder l'assurance maladie, trois économistes de la santé avancent des propositions radicales pour en finir avec l'organisation actuelle qui "entraîne des coûts de gestion élevés et favorise la hausse des prix de soins", tout en produisant "des inégalités dans l'accès à l'assurance et aux soins". Parmi leurs propositions, figurent ainsi la gratuité des soins à l'hôpital, à l'exception d'un forfait journalier de 8 euros, et la contractualisation de l'offre de soins entre les professionnels de santé et les financeurs, c'est-à-dire les agences régionales de santé (ARS) et les assurances complémentaires. Un système mixte La situation actuelle repose en effet sur la mixité du système d'assurance maladie à la française, qui comprend deux types d'opérateurs pour la couverture des mêmes soins : la sécurité sociale et les organismes complémentaires, rappellent Brigitte Dormont, de l'université Paris-Dauphine, membre du CAE, Pierre-Yves Geoffard, de l'Ecole d'économie de Paris, CNRS et EHESS et Jean Tirole, de la Toulouse school of echonomics, également membre du CAE. Certes, "une réforme de court terme de l'assurance respecterait les périmètres d'intervention de la sécurité sociale et des complémentaires" admettent plus loin les auteurs. "Mais, à terme, il nous semble impératif de mettre fin à ce système mixte d'assurance", assènent-ils, en suggérant "un financement des soins unifié sur un mode public décentralisé ou sous la forme d'une concurrence régulée entre caisses d'assurance". Car "la dépense de santé est plus élevée en France que dans beaucoup d'autres pays développés alors que les performances du système de santé ne sont pas exceptionnelles, notamment en ce qui concerne les inégalités sociales de santé". Un forfait journalier à 8 euros Or la maîtrise de la dépense de soins est moins à attendre du côté des patients, qui n'ont qu'une marge de décision limitée sur leurs dépenses en la matière, en particulier à l'hôpital, que "d'une réelle contractualisation avec les offreurs de soins", autrement dit les professionnels de santé. D'où la première proposition de cette note du CAE, qui suggère "de couvrir à 100 % les soins hospitaliers à l'exception d'un forfait journalier ramené à 8 euros, et de remplacer le ticket modérateur et les diverses participations financières en place pour les soins ambulatoires par une franchise et un co-paiement". L'ensemble ne devrait pas être couvert par les assurances mais plafonné, sachant qu'il pourrait "être modulé ou supprimé pour les personnes à bas revenu". Le manque à gagner induit par cette réforme s'élèverait à 458 millions d'euros (sur la base du nombre de journées d'hospitalisation observées en 2010), mais serait couvert par l'économie obtenue par l'arrêt des subventions accordées aux contrats collectifs. Participation des patients en ambulatoire Pour ce qui est des dépenses ambulatoires, en revanche, en médecine de ville et si l'on excepte les personnes atteintes de maladies chroniques, la logique est différente puisque plus de 80 % des assurés "connaissent des dépenses de faible ampleur et récurrentes". Dans ce cas, "faire participer le patient aux dépenses permet de limiter la surconsommation". La forme de cette participation reste soumise à discussion, selon la note du CAE, mais dans tous les cas, elle "doit être réduite à la sphère de l'ambulatoire". Parallèlement, "la proposition de supprimer le ticket modérateur à l'hôpital doit s'accompagner de mécanismes pour limiter la demande induite", souligne cette publication, en ajoutant que "le dispositif doit être maîtrisé du côté de l'offre". Les experts tablent, cette fois, sur la responsabilisation des professionnels de santé, en accordant aux financeurs, en l'occurrence les agences régionales de santé (ARS) et les complémentaires, le pouvoir de "contractualiser avec les offreurs de soins". Les contrats conclus devraient "spécifier les types de paiement, le niveau des prix, la localisation des médecins, les horaires, le respect de recommandations de bonnes pratiques diffusées par la Haute Autorité de santé et la prise en charge des objectifs de santé publique", précise le CAE. A l'hôpital, cette contractualisation doit permettre de "rompre avec la pratique actuelle qui consiste à ajuster les tarifs pour piloter l'offre de soins", ce qui "crée des rentes qui favorisent les comportements de demande induite", soulignent les auteurs. Le pilotage de l'offre de soins hospitaliers, enfin, "doit être conçu en lien avec les ARS, dans la perspective des parcours de soins", tandis que "des subventions spécifiques doivent compenser les surcoûts qui seraient imposés aux établissements pour répondre à des missions de service public". Refonder l'assurance maladie, Brigitte Dormont, Pierre-Yves Geoffard et Jean Tirole, à télécharger sur le site du CAE. Article rédigé par Anne Simonot
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Article
Accès aux soins : un quart des 50-65 ans renonce à consulter un spécialiste , Quotidien du médecin (Le) , 06/12/2013
Type Article
Titre Accès aux soins : un quart des 50-65 ans renonce à consulter un spécialiste
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 06/12/2013
Commentaire Face aux difficultés d’accès aux soins, les « seniors » de 50 à 65 ans se tournent sans réticence vers la télémédecine et l’e-santé, selon les résultats du baromètre Santé Humanis 2013, en partenariat avec Harris Interactive et des chercheurs universitaires (Paris Dauphine et Toulouse III). Six personnes sur 10 témoignent de difficultés à trouver un « bon médecin généraliste » et 7 sur 10 ont l’impression de devoir payer davantage pour un même niveau de soins. Les seniors ne sont pas épargnés par le phénomène de renoncement aux soins, notamment pour les spécialistes (un quart des 50-65 ans), les soins dentaires (30 %), les soins en optique (21 %). Ils déplorent le montant financier des consultations, mais aussi le manque de disponibilité, les délais d’attente, l’éloignement, la pénurie de professionnels. Réseaux plébiscités Pour pallier ces difficultés, les seniors sont ouverts à l’innovation. Neuf personnes sur 10 plébiscitent les réseaux de soins dès lors qu’ils permettent des gains sur les prix sur des matériels optiques, dentaires ou auditifs, et un accès prioritaire aux professionnels de santé. Ils ont aussi souvent recours à Internet : 22 % visitent au moins une fois par mois des sites santé ou bien-être, 64 % se disent intéressés par une consultation à distance avec leurs médecins dans le cadre d’un suivi médical à long terme et 75 % jugent intéressant le suivi à distance des systèmes vitaux dans le cadre d’une hospitalisation à domicile. Enfin 80 % des seniors se déclarent intéressés par l’accès à leur dossier médical en ligne et 82 % par le partage de leurs données personnelles entre les professionnels de santé.
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