Bonjour,

Recherche rapide

Menu recherche

Bienvenue sur Alexandrie !

Page : 1 / 4
Ouvrage
Besoins Affectifs Et Sexualité des personnes âgées en Institution , HOLSTENSSON L , MASSON , 15/01/2000 , 618.9/HOL
Type Ouvrage
Titre Besoins Affectifs Et Sexualité des personnes âgées en Institution
Auteurs HOLSTENSSON L
Source MASSON
Date de parution 15/01/2000
Cote 618.9/HOL
Fermer Fermer
Ouvrage
La nouvelle tarification des établissements pour personnes agées , BRAMI G , Berger-Levrault , 02/2000 , 618.9/BRA
Type Ouvrage
Titre La nouvelle tarification des établissements pour personnes agées
Auteurs BRAMI G
Source Berger-Levrault
Date de parution 02/2000
Cote 618.9/BRA
Fermer Fermer
Ouvrage
VOYAGE AU PAYS DE LA GEROUSIE , Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, NARDINI A , AP-HP (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris) , 01/11/2007 , 618.9/APH
Type Ouvrage
Titre VOYAGE AU PAYS DE LA GEROUSIE
Auteurs Assistance Publique - Hôpitaux de Paris, NARDINI A
Source AP-HP (Assistance Publique - Hôpitaux de Paris)
Date de parution 01/11/2007
Cote 618.9/APH
Fermer Fermer
Dossier thématique
EXPÉRIENCES ÉTRANGÈRES , Gestions hospitalières , 01/08/2016 , MAISON DE RETRAITE / DANEMARK / TOURISME / MAROC / CANADA / ETATS-UNIS
Type Dossier thématique
Titre EXPÉRIENCES ÉTRANGÈRES
Source Gestions hospitalières
Date de parution 01/08/2016
Mots-clés MAISON DE RETRAITE / DANEMARK / TOURISME / MAROC / CANADA / ETATS-UNIS
Fermer Fermer
Article
La prise en charge des BMR en Ehpad , Revue de l'infirmière , 192 , 01/07/2013
Type Article
Titre La prise en charge des BMR en Ehpad
Source Revue de l'infirmière
192
Date de parution 01/07/2013
Commentaire L’application des précautions standard et parfois complémentaires d’hygiène concerne aussi les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), afin de prévenir la transmission de bactéries multirésistantes aux antibiotiques (BMR). Si un résident est porteur ou infecté par une BMR, les soins devront être organisés en conséquence mais le confinement géographique n’est que rarement adapté.
Fermer Fermer
Article
Quelles priorités pour les EHPAD ? Les revendications de FO Services publics et santé , Editions ASH , 25/05/2013
Type Article
Titre Quelles priorités pour les EHPAD ? Les revendications de FO Services publics et santé
Source Editions ASH
Date de parution 25/05/2013
Commentaire Dans une enquête rendue publique jeudi 23 mai, au cours d'une conférence organisée à Paris sur le thème "Quel EHPAD pour demain ?", la Fédération des personnels des services publics et de santé Force ouvrière confirme que "le ratio d'encadrement reste notoirement trop bas" dans les maisons de retraite médicalisées, tandis que "la tendance à l'accroissement du degré de dépendance des personnes accueillies se confirme". Ces éléments confortent les constats déjà dressés dans la précédente édition de cette étude, qui remonte à 2009, souligne l'organisation syndicale, qui a choisi pour cette nouvelle mouture de se focaliser sur plusieurs points-clefs : le nombre de places, le nombre d'agents, leur répartition en "catégories professionnelles", le GIR, le Pathos, la date de la dernière convention tripartite et le prix de journée hébergement. Objectiver les situations A noter cependant que cette enquête est à relativiser, comme le fait d'ailleurs la fédération FO-Services publics et santé, puisqu'elle ne porte pas sur un panel établi scientifiquement mais constitué d'établissements qui ont bien voulu répondre au questionnaire qui leur a été adressé (soit 135 d'entre eux, aboutissant à 127 réponses exploitables). "De sorte qu'il y a une surreprésentation des établissements de province et une nette prépondérance du public hospitalier" dans ces résultats, présentés au cours d'une conférence à laquelle participaient, entre autres, le président de l'Association des directeurs au service des personnes âgées (AD-PA), Pascal Champvert, et celui du Syndicat national de gérontologie clinique, Michel Salom. L'enquête publiée à cette occasion avait "pour finalité d'objectiver les situations", afin d'appuyer les revendications de la Fédération des personnels des services publics et de santé FO, qui portent notamment sur le taux d'encadrement des personnes âgées dépendantes accueillies dans ces établissements. A taille humaine A cet égard, l'enquête met en évidence des structures-types restant "à taille humaine", avec 127 places en moyenne (dans une fourchette allant de 15 à 662 places). En revanche, en additionnant l'ensemble des personnels travaillant auprès des personnes, tous grades, fonctions et qualifications confondus, "le compte n'y est pas", par rapport aux préconisations du plan solidarité grand âge ou du plan Alzheimer, avec un ratio d'encadrement moyen de 0,63, déplore l'organisation syndicale. Elle renouvelle donc sa revendication de longue date de parvenir à "un agent au lit du résident", en augmentant les effectifs, sans oublier d'améliorer les équipes intervenant auprès des personnes âgées en institution, en renforçant la pluridisciplinarité. Au vu de "la faiblesse des personnels médico-techniques", par ailleurs, qui affiche un taux moyen de 0,17 ETP, "la 'misère médico-technique' apparaît dans toute sa dramatique dimension", affirme encore le syndicat, qui dénonce "une indigence - si on confronte les besoins réels avec les moyens mobilisés - installée et difficilement justifiable si on la rapproche avec les pétitions de principe, les déclarations successives et les ambitions proclamées depuis des années". Alléger le reste à charge "Un processus de conventionnement en panne", un parc immobilier vieillissant complètent le tableau, sans oublier "un prix d'hébergement trop bas pour les structures, trop élevé pour les familles" (50,64 euros par jour en moyenne, contre 45,82 euros en 2009). Mais si cette hausse peut paraître importante, elle s'inscrit cependant dans un contexte d'inflation monétaire et d'accueil de personnes qui "présentent des pertes d'autonomie et des pathologies de plus en plus lourdes et nécessitent, de ce fait, plus de personnels d'accompagnement, plus d'adaptations des bâtiments", souligne FO. D'où une conclusion qui "se tire d'elle-même : ce n'est pas tant la facture qui est élevée que son remboursement ou sa prise en charge qui est trop faible". En découle logiquement une autre revendication de l'organisation syndicale qui est "d'alléger le reste à charge" des familles et d'améliorer le reste à vivre des résidents, qui revient à "réinterroger la prise en charge de la dépendance par un financement de solidarité nationale, c'est-à-dire par la sécurité sociale". Il faut enfin promouvoir et soutenir une politique de relance des investissements dans les établissements médico-sociaux relevant du grand âge, ajoute encore FO, qui réclame également "la fin de la convergence tarifaire qui n'a jusqu'ici produit qye des effets négatifs", et une application plus conforme à leur objectif de départ des outils GIR et Pathos, "ce qui signifie une mesure juste (c'est-à-dire impartiale et non pas au plus juste) des besoins des personnes accueillies, une prise en compte au réel des soins requis et donc des moyens à y consacrer"
Fermer Fermer
Article
Spécificités de l'exercice en EHPAD , Soins gérontologie , 01/03/2013
Type Article
Titre Spécificités de l'exercice en EHPAD
Source Soins gérontologie
Date de parution 01/03/2013
Fermer Fermer
Article
La vie en EHPAD, un enfer pour les dents , Quotidien du médecin (Le) , Bilhaut D , 05/03/2013
Type Article
Titre La vie en EHPAD, un enfer pour les dents
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Bilhaut D
Date de parution 05/03/2013
Commentaire Chez les personnes âgées, « la vie en institution peut être considérée comme une barrière pour le recours au chirurgien-dentiste », conclut une nouvelle étude publiée dans le BEH. Cosignée par Sophie Thiébaut, Laurence Lupi-Pégurier, Alain Paraponaris et Bruno Ventelou (de l’Observatoire régional de la santé Provence - Alpes-Côte d’Azur), l’étude a comparé le recours à un chirurgien-dentiste chez les personnes âgées de 60 ans et plus, institutionnalisées (en EHPAD ou maisons de retraite) et chez celles vivant à domicile, à partir d’un sous-échantillon de 3 358 sujets issu de l’enquête Handicap-Santé conduite en 2008-2009 par l’INSEE et la DREES. D’après cette étude, « alors que près de la moitié des résidents déclarent avoir perdu toutes leurs dents ou presque, ou porter un dentier », nécessitant un suivi régulier, « la vie en institution réduirait le recours au chirurgien-dentiste de près de 25 % ». Le statut de l’établissement a son importance puisque « les pensionnaires d’établissements publics et privés à but lucratif ont 30 % de chances de moins de recourir à un chirurgien-dentiste par rapport aux personnes qui vivent à domicile ». L’âge joue aussi un rôle avec une probabilité de recours à chirurgien-dentiste « nettement diminuée pour les personnes de plus de 85 ans ». Ainsi, « les sujets de plus de 85 ans ont notamment 2 fois moins de chances d’accéder aux soins bucco-dentaires que ceux de 60 ans ». Pour les auteurs de l’étude, ce moindre niveau de recours aux soins bucco-dentaires s’expliquerait en partie par « l’absence de personne accompagnante prête à conduire les seniors chez le dentiste » ou par « un certain fatalisme vis-à-vis de la santé orale, jugée comme moins importante que la santé générale ». Créer des réseaux adaptés En outre, les troubles cognitifs affectant les personnes résidant en institution sont également susceptibles de les rendre « moins conscients de leurs besoins et, dès lors, moins demandeurs de soins ». Certaines personnes peuvent aussi manifester une volonté de ne pas subir de soins bucco-dentaires perçus comme pénibles. Enfin, le personnel infirmier a tendance à sous-estimer l’importance de la santé orale et « se montre souvent réticent vis-à-vis des soins de bouche, perçus comme peu gratifiants », résument les auteurs de l’étude. Rappelant que « l’hygiène bucco-dentaire doit être assumée au quotidien par les soignants (…) tandis que les autres actes relèvent obligatoirement de la compétence d’un chirurgien-dentiste », les auteurs considèrent que l’organisation de ces soins « passe probablement par la mise en place de réseaux adaptés et par l’intégration de chirurgiens-dentistes aux réseaux gérontologiques ».
Fermer Fermer
Article
Maîtriser les risques dans les établissements de santé , Soins gérontologie , 99 , 01/01/2013
Type Article
Titre Maîtriser les risques dans les établissements de santé
Source Soins gérontologie
99
Date de parution 01/01/2013
Commentaire La gestion d’un établissement de santé génère par elle-même des risques. Gérer ces risques est une démarche qui s’intègre dans le processus global de management de la sécurité et dans la réflexion stratégique des hôpitaux gériatriques.
Fermer Fermer
Article
Bientraitance : la HAS donne des outils aux établissements et EPHAD , Quotidien du médecin (Le) , GARRE C , 25/10/2012
Type Article
Titre Bientraitance : la HAS donne des outils aux établissements et EPHAD
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs GARRE C
Date de parution 25/10/2012
Commentaire La Haute autorité de santé (HAS), en collaboration avec la Fédération des organismes régionaux et territoriaux pour l’amélioration des pratiques en santé (FORAP), publie un guide pour accompagner les établissements de santé et les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) dans une démarche de bientraitance. « Nous remarquons dans nos missions régionales que cette notion émerge depuis 5 ans et que les professionnels travaillent dessus depuis 3 ans », explique le Dr Philippe Michel, médecin de santé publique et président de la FORAP. Bientraitance n’est pas le contraire, stricto sensu, de la maltraitance. « C’est une démarche globale de prise en charge des patients et de leur entourage », explique Véronique Ghadi, responsable du projet pour la HAS, et co-auteure avec Claire Compagnon d’un précédent rapport sur la maltraitance ordinaire. « Il faut avoir un œil sur ce type de maltraitance. Mais la bientraitance est un questionnement collectif et individuel plus large, une responsabilité partagée entre établissements et professionnels, avec la participation des usagers » poursuit-elle. Un changement de paradigme Le kit de 7 outils proposé par la HAS a été élaboré dans la perspective d’un changement de culture. Une première enquête a été conduite dans les 123 établissements et EPHAD de 6 régions, afin de connaître leurs besoins. Puis chaque région a travaillé sur un outil, expérimenté par une autre région. Au final, 2 fiches portent sur l’évaluation et aident à établir un bilan de l’organisation de l’établissement et des pratiques des professionnels de santé. Deux autres concernent la prévention avec notamment une « cartographie des risques » de maltraitance. Enfin, les 3 derniers visent le management, via l’animation d’équipe, l’élaboration d’un cahier des charges, et la déclinaison d’une charte. « Ce sont des aides, pas des recommandations », précise le Dr Florence Saillour-Glénisson, responsable du projet pour la FORAP. « Nous constatons les limites de la HAS : les recommandations n’ont pas entraîné la bientraitance. Il faut un changement pratique et un accompagnement des professionnels : nous sommes dans la pédagogie avant la certification qui interviendra en 2014 » renchérit Véronique Ghadi. Le kit est pensé en complémentarité avec le programme MobiQual, destiné à l’amélioration de la qualité dans le médico-social. Des formations à la clé Les usagers devraient avoir toute leur place dans le processus d’amélioration de la bientraitance, « afin de ne pas retomber dans le paternalisme du gentil docteur face au malade passif », explique Mme Ghadi. Le collectif interassociatif sur la santé (CISS) milite pour une forte implication des Commission des relations avec les usagers et de la qualité de la prise en charge (CRUQPC) et des conseils de la vie sociale dans la réflexion et sensibilisation des professionnels de santé. « Ces instances doivent lancer le débat et n’avoir pas pour unique rôle de recueillir les plaintes », demande Françoise Antonini, présidente du CISS Pays-De-Loire. Pour « éviter que ce soit un guide de plus sur l’étagère », la HAS et la FORAP organiseront 3 journées de formation au guide auprès des fédérations hospitalières, des EPHAD et des associations de patients, début 2013, a expliqué Mme Ghadi.
Fermer Fermer

Connexion

Identifiant
Mot de passe
A la semaine prochaine !