Il est communément admis de faire référence aux comportements anorexiques et/ou boulimiques des adolescentes, lorsque sont abordés les troubles des conduites alimentaires.
C'est un fait que leur fréquence et leur gravité les situent parmi l'une des priorités de santé publique : les différentes études épidémiologiques s'accordent à considérer que 1 à 2 % de la population générale souffrent de perturbations des conduites alimentaires.