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N° Revue
Soigner en unité hospitalière spécialement améngée , Revue de l'infirmière , 189 , 01/03/2013 , http://www.em-consulte.com/revue/REVINF/62/189/table-des-matieres/
Type N° Revue
Titre Soigner en unité hospitalière spécialement améngée
Source Revue de l'infirmière
189
Date de parution 01/03/2013
URL http://www.em-consulte.com/revue/REVINF/62/189/table-des-matieres/
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Ouvrage
LA SANTE EN PRISON : Les enjeux d'une véritable réforme de santé publique , CHAUVIN I , ESF Sciences Humaines , 01/01/1999 , 353.CHA
Type Ouvrage
Titre LA SANTE EN PRISON : Les enjeux d'une véritable réforme de santé publique
Auteurs CHAUVIN I
Source ESF Sciences Humaines
Date de parution 01/01/1999
Cote 353.CHA
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Ouvrage
INFIRMIER EN MILIEU CARCERAL : Accompagner, Soigner, Réinsérer , MIGLIORINO R-E , MASSON , 11/03/2009 , 610.7Pro/MIG
Type Ouvrage
Titre INFIRMIER EN MILIEU CARCERAL : Accompagner, Soigner, Réinsérer
Auteurs MIGLIORINO R-E
Source MASSON
Date de parution 11/03/2009
Cote 610.7Pro/MIG
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Dossier thématique
ET SI ON CHANGEAIT TOUT? , Sciences humaines , 01/01/2017 , MALADIE / PRISON / ENVIRONNEMENT
Type Dossier thématique
Titre ET SI ON CHANGEAIT TOUT?
Source Sciences humaines
Date de parution 01/01/2017
Mots-clés MALADIE / PRISON / ENVIRONNEMENT
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Mémoire - Rapport
LA COMPLEXITÉ DU SOIN INFIRMIER EN MILIEU CARCÉRAL : DES DÉTENUS COMME PATIENTS , IFSI-RUEIL-MALMAISON CHD STELL , DRAME W , 16/12/2016
Type Mémoire - Rapport
Titre LA COMPLEXITÉ DU SOIN INFIRMIER EN MILIEU CARCÉRAL : DES DÉTENUS COMME PATIENTS
Source IFSI-RUEIL-MALMAISON CHD STELL
Auteurs DRAME W
Date de parution 16/12/2016
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Article
Un caf gourmand avec des mineures incarcres , Santé mentale , 212 , 11/2016
Type Article
Titre Un caf gourmand avec des mineures incarcres
Source Santé mentale
212
Date de parution 11/2016
Commentaire Une psychiatre et une psychologue animent un groupe de parole pour des jeunes mineures incarcres. Une sance tourne l'affrontement entre bandes rivales, provoquant une crise dans le binme soignant.
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Article
La prison rend-elle fou ? , Sciences humaines , 272 , 07/2015
Type Article
Titre La prison rend-elle fou ?
Source Sciences humaines
272
Date de parution 07/2015
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Article
Soins aux détenus et effectivité des droits , Droit déontologie et soin , 4 , 12/2014
Type Article
Titre Soins aux détenus et effectivité des droits
Source Droit déontologie et soin
4
Date de parution 12/2014
Commentaire S’agissant du sort, souvent précaire, des détenus malades, la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme fournit un ensemble de références sur la protection de la santé et les obligations positives des États, la notion de traitement inhumain ou dégradant dans le contexte carcéral (2) et le droit à recours.
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Article
La santé en prison garde des zones d’ombre : L’InVS fait état de la situation en France et à l’étranger , Quotidien du médecin (Le) , Drogou Irène , 19/06/2014
Type Article
Titre La santé en prison garde des zones d’ombre : L’InVS fait état de la situation en France et à l’étranger
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Drogou Irène
Date de parution 19/06/2014
Commentaire Malgré la vulnérabilité reconnue des personnes détenues, il n’existe encore aucun système de surveillance épidémiologique spécifique au milieu carcéral en France. À la demande du Ministère de la santé, l’InVS dresse un état des connaissances sur le sujet à partir des données existantes en France et à l’étranger. Certaines pathologies pressenties sont documentées et effectivement surreprésentées dans ces populations, quand d’autres a priori problématiques restent sous-documentées et peu suivies. Pouvait-il en être autrement ? L’état de santé des personnes détenues n’est pas celui de la population générale. Troubles psychiatriques, addictions, maladies infectieuses, le milieu carcéral concentre des problématiques difficiles et intriquées en matière de santé. Mais ce sont loin d’être les seules à considérer, comme en témoigne un rapport de l’InVS sur l’état des connaissances sur la santé des personnes détenues en France et à l’étranger. Dans ce rapport demandé par le ministère de la santé dans le cadre du plan national visant la «Politique de santé pour les personnes placées sous main de justice» afin «d’assurer la même qualité et continuité des soins qu’en population générale», l’institution pointe aussi du doigt les maladies chroniques, le handicap et les déficiences sensorielles, intellectuelles et motrices, ou encore d’autres thématiques comme les traumatismes. Avant même leur incarcération, les personnes détenues cumulent de nombreuses difficultés sanitaires et sociales et que l’entrée en prison ne fait qu’accentuer. L’état de santé global reste mal connu pour autant, puisqu’il n’existe aucun dispositif de remontée des données épidémiologiques spécifiques au milieu pénitentiaire. «Afin d’identifier les besoins sanitaires à couvrir», l’InVS s’est ainsi vu confier la tâche préalable de dresser un état des connaissances. Pour cela, l’InVS a effectué une revue de la littérature internationale en langue française et anglaise, totalisant 277 références pour 83 sélectionnées au final. Deux publics spécifiques ont fait l’objet d’une recherche particulière, les seniors et les femmes. En France, quatre études d’échelle nationale se sont dégagées, l’enquête «HID-prison» sur le handicap, l’enquête «Cemka-Eval» sur la santé mentale, celle de la Drees et l’enquête Prévacar sur le VIH, du VHC et la consommation d’opiacés. Un trio en surreprésentation Concernant les thématiques les mieux documentées et les plus fréquentes, à savoir les troubles psychiatriques, les addictions et les maladies infectieuses, «les données nationales de référence sont convergentes avec la littérature interantionale». L’InVS souligne qu’en matière de troubles psychiatriques, il est bien difficile «voire impossible» de faire la part entre les «troubles importés (antécédents et troubles mentaux déjà présents au moment de l’incarcération) de ceux développés en cours de détention». Les troubles psychotiques, comme à l’international, ont une prévalence 5 à 10 fois supérieure à celle de la popualtion générale, de l’ordre de 10-20%. Les troubles de la personnalité ont une prévalence de 40-65%, la dépression majeure de 10-14% l’anxiété généralisée de 12-15%. Les troubles de la personnalité sont ainsi les troubles psychiatriques plus fréquents, touchant «la moitié des femmes et les deux tiers des hommes incarcérés». Les troubles psychiatriques concernent davantage les femmes, hormis les troubles de la personnalité de type antisocial. Chez les sujets âgés, si «la santé mentale ne semble pas plus dégradée que chez les jeunes», la nature des troubles diffère avec davantage de psychoses et moins de personnalité antisociale. Des questions non résolues Plus de la moitié des sujets incarcérés consomment trop d’alcool ou fument. La situation française est comparable à celle à l’international avec 78% de fumeurs, 30,9% de consommateurs abusifs d’alcool et près de 10% de sujets dépendants aux drogues. Si les hommes sont plus dépendants à l’alcool que les femmes, elles le sont davantage aux drogues. Les maladies infectieuses ont été également très étudiées du fait de leur caractère transmissible, des pratiques à risque et des conditons d’hygiène. La prévalence du VIH atteint en moyenne 2% en milieu carcéral, la prévalence des hépatites de 3 à 10% à l’international, avec en France une prévalence de 0,4% pour le VHB et moins de 5% pour le VHC. En France, l’incidence de la tuberculose active est près de 5 fois celle de la population générale. Concernant les maladies chroniques, telles que le diabète, l’hypertension artérielle, l’asthme ou les dyslipidémies, «les résultats sont peu probants et encore divergents». Même si ces prévalences ne sont pas toujours supérieures à celles de la population générale, entre 25 à 50%, l’InVS souligne que «les premiers résultats mettent en évidence l’importance de certaines pathologies en détention». Compte-tenu du vieillissement de la population carcérale, l’InVS estime que «de nouvelles investigations apparaissent nécessaires». Certaines pathologies semblent plus rares, comme les cancers et les maladies neurologiques, peut-être du fait d’une prise en charge en milieu hospitalier et d’une population plus jeune moins exposée. Alors que les travaux sur d’autres thématiques de santé, telles que «la santé bucco-dentaire, les pathologies ostéo-articulaires, dermatologiques, digestives, génito-urinaires ou encore les traumatismes», sont peu conclusifs, l’InVS remarque qu’ils reflètent la préoccupation à ce sujet de professionnels de santé et pointent «la nécessité de mieux connaître les besoins réels». Le turn-over en détention ne cessant d’augmenter ainsi que le nombre de personnes concernées, puisque plus de 66000 personnes incarcérées au 1er janvier 2013 et plsu de 88000 entrées en prison la même année, l’InVS souligne l’importance de développer la surveillance de la santé des détenus. Deux pistes sont proposées: la mise en œuvre d’un dispositif de collecte des données de santé en routine ou la réalisation régulière d’enquêtes épidémiologiques de grande envergure.
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Dossier thématique
Prévention et promotion de la santé en milieu pénitentiaire , INPES , 25/03/2013 , PRISON / SANTE PUBLIQUE / LEGISLATION
Type Dossier thématique
Titre Prévention et promotion de la santé en milieu pénitentiaire
Source INPES
Date de parution 25/03/2013
Mots-clés PRISON / SANTE PUBLIQUE / LEGISLATION
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