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N° Revue
Soins Gérontologique – n°164 , ELSEVIER & MASSON , 164 , Nov.-Déc. 2023
Type N° Revue
Titre Soins Gérontologique – n°164
Source ELSEVIER & MASSON
164
Date de parution Nov.-Déc. 2023
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Dossier thématique
LES GRANDS PENSEURS DE L'ÉDUCATION , Sciences humaines , 01/12/2016 , EDUCATION / LITTERATURE GRISE / ECRITURE / INTELLIGENCE / ENSEIGNEMENT / ECOLE / ART
Type Dossier thématique
Titre LES GRANDS PENSEURS DE L'ÉDUCATION
Source Sciences humaines
Date de parution 01/12/2016
Mots-clés EDUCATION / LITTERATURE GRISE / ECRITURE / INTELLIGENCE / ENSEIGNEMENT / ECOLE / ART
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Article
Faut-il avoir peur des films d'horreur? , Santé mentale , 173 , Jardel V , 01/12/2012
Type Article
Titre Faut-il avoir peur des films d'horreur?
Source Santé mentale
173
Auteurs Jardel V
Date de parution 01/12/2012
Commentaire Un groupe cinéma propose chaque semaine aux patients d’un Centre d’accueil thérapeutique à temps partiel (CATTP) de visionner un film choisi par l’un d’entre eux. Mais faut-il sélectionner des films violents ? Question éthique pour l’équipe soignante.
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Article
Art soignant et contexte d’efficience : un enjeu pour le cadre de santé en gériatrie , Soins gérontologie , 95 , 01/05/2012
Type Article
Titre Art soignant et contexte d’efficience : un enjeu pour le cadre de santé en gériatrie
Source Soins gérontologie
95
Date de parution 01/05/2012
Commentaire Contexte socio-économique et nécessité d’efficience du système de santé conduisent-ils aujourd’hui au danger de perdre de vue la finalité traditionnelle de l’acte de soin ? Le cadre de santé occupe un rôle primordial pour valoriser et garantir le sens du soin Dans une perspective d’accroissement de la population âgée et des problématiques de soins s’y associant, la pénurie de soignants en gériatrie inquiète Comment valoriser cet exercice spécifique pour le rendre attractif ?
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Article
Art-thérapie : De la croyance à la connaissance , Quotidien du médecin (Le) , Forestier Richard , 13/06/2007
Type Article
Titre Art-thérapie : De la croyance à la connaissance
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Forestier Richard
Date de parution 13/06/2007
Commentaire L'art-thérapie n'a pas encore de reconnaissance officielle, mais elle a « un avenir professionnel certain », explique Richard Forestier, responsable pédagogique du diplôme universitaire d'art-thérapie (université François-Rabelais, Tours). Les organisateurs de cet enseignement ont souhaité compléter l'information des médecins sur cette discipline, rapidement évoquée dans un récent article du « Quotidien » (12 mars). TRES EN VOGUE, l'art-thérapie. Le moindre son, le plus petit boudin en pâte à modeler deviennent de l'art-thérapie pour peu qu'il y ait un soignant et un patient et, en plus, si « on cause », vous avez atteint le nirvana de la création, le nec plus ultra de la thérapeutique, où le brassage d'air devient une placebothérapie et le patient un faire-valoir du thérapeute. Un peu excessive, cette introduction, pensez-vous. Est-ce sûr ? A grands renforts de «création qui vous crée», de titres et d'agréments ronflants, c'est tout un panel de formations qui s'étale sur le marché français de l'art-thérapie. De la structure commerciale qui monopolise et s'étale sur Internet aux universités laborieuses quasi inconnues, comment faire le tri entre le pire et le meilleur et rendre crédible une discipline thérapeutique naissante ? Tout d'abord, précisons que l'association de l'art et du soin n'est pas nouvelle. C'est dans les années 1950 que cette association s'inscrit dans les activités scientifiques avec les travaux de l'hôpital Sainte-Anne (Paris) et en 1986 qu'elle est enseignée pour la première fois en France, à la faculté de médecine de Tours. Aujourd'hui, sous le libellé art-thérapie, deux orientations principales s'imposent : la psychothérapie à support artistique (1) et l'art-thérapie. Indirectement associées à l'art-thérapie, des activités artistiques dans les lieux de soins existent. En dehors de leur intérêt propre, elles font la confusion entre animation et thérapeutique. En ce qui concerne l'art-thérapie à proprement parler, l'originalité et la spécificité de cette discipline reposent sur la nature même de l'art. L'art a un pouvoir d'entraînement. Mais ce pouvoir n'est qu'éducatif et peut se révéler aussi bien néfaste que faste. En cela, l'art n'est pas naturellement thérapeutique. C'est le professionnel qui sait exploiter ce pouvoir avec un objectif thérapeutique qui devient un professionnel du soin ; il s'agit de l'art-thérapeute. Des fondements scientifiques. Mais qu'en est-il de l'aspect scientifique d'une telle pratique et peut-elle revendiquer une place dans les disciplines thérapeutiques ? Les enseignements de référence pour l'art-thérapie sont les universités de Tours, de Poitiers et l'Afratapem (2), dénommée école d'art-thérapie de Tours par la communauté scientifique. L'art, qui est une activité privilégiée d'expression, impose les connaissances relatives à la transmission et au traitement neurologiques des informations, complétées par l'apport psychologique pour, enfin, trouver avec la psychomotricité et la neuromotricité un champ de connaissances de nature à valider une détermination de sites d'actions thérapeutiques relatifs à l'acte volontaire dirigé et l'expression émotionnelle des patients. Reste à savoir dirigé vers quoi. C'est alors que l'esthétique s'impose comme finalité de l'activité artistique : le beau est ce qui plaît simplement. Chacun cherchant à être heureux, la recherche du plaisir esthétique devient un processeur thérapeutique de nature à restaurer, à raviver, voire à rééduquer la qualité existentielle des patients. En cela, l'art-thérapie n'a pas guéri, mais rendu aux malades leur statut de personne. Ainsi, l'opération artistique (3), étudiée au regard de l'expression volontaire humaine, détermine un champ de connaissances scientifiques de nature à améliorer l'état sanitaire du patient. Reste à valider les objectifs. C'est avec les protocoles thérapeutiques, les observations et les évaluations (4) que des bilans sont réalisés et viennent compléter les bilans réalisés par les autres paramédicaux. Ainsi, sous l'autorité médicale, l'art-thérapie peut s'imposer comme profession paramédicale complémentaire dans l'équipe de soins. Historiquement associée à la psychiatrie, l'art-thérapie s'impose aujourd'hui auprès des traumatisés crâniens, en soins palliatifs ou en oncologie. Forte aujourd'hui des 628 mémoires de fin d'études soutenus à la faculté de médecine de Tours, l'évolution de la profession est contenue dans ces travaux. Des premiers mémoires des années 1988, où les concepts sont imprécis, les pathologies collées aux théories et les études de cas plus passionnelles que raisonnables, aux mémoires de 2006, où la rigueur, les évaluations et les discussions s'imposent, l'art-thérapie est passée de la croyance à la connaissance. Des précautions à prendre. Enfin, un mot sur les enseignements et les formations. L'art-thérapie n'est pas encore dans les conventions collectives et la porte est ouverte à tous les abus en matière de formation. Des précautions sont à prendre. Aucun organisme de contrôle officiel n'existe actuellement et chacun peut revendiquer ce qu'il veut. On comprend alors l'importance aujourd'hui pour l'art-thérapie : d'être sous l'autorité médicale ; d'avoir des études sanctionnées par un diplôme universitaire de haut niveau relevant d'une faculté de médecine ; d'avoir une définition qui fasse bien la distinction entre « processus de création » (psychothérapie) et « opération et potentiel artistiques » (art-thérapie) ; de se référer à un code de déontologie spécifique (5). Peut-être qu'alors le ministère de la Santé acceptera cette discipline thérapeutique comme profession paramédicale. Discipline nouvelle, l'art-thérapie doit s'étoffer de recherches fondamentales spécifiques et se distinguer de la psychothérapie, de l'ergothérapie ou de la psycho- motricité. Aujourd'hui, l'art-thérapie, bien que modeste dans l'équipe, peut intégrer de nombreux services médicaux. Elle répond aux règles des activités paramédicales et les résultats attestés montrent que, d'ici à quelques années, l'art-thérapie, qui est l'exploitation du potentiel artistique dans une visée humanitaire et thérapeutique, trouvera naturellement sa place dans les troubles de l'expression, la communication et la relation, avec, comme objectif principal, de revigorer, de rééduquer ou de restaurer la qualité existentielle des patients.
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Article
Art thérapie : L'effet clown auprès de résidents âgés souffrant d'une maladie d'Alzheimer évoluée ou l'art de "gai-rire" , Revue francophone de gériatrie et de gérontologie (La) , 133 , Roche J , 01/03/2007
Type Article
Titre Art thérapie : L'effet clown auprès de résidents âgés souffrant d'une maladie d'Alzheimer évoluée ou l'art de "gai-rire"
Source Revue francophone de gériatrie et de gérontologie (La)
133
Auteurs Roche J
Date de parution 01/03/2007
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Article
L’art-thérapie, de l’esthétique au soin, une union “phénoménale” , Soins aides soignantes , 713 , PLAISANT C , 01/03/2007
Type Article
Titre L’art-thérapie, de l’esthétique au soin, une union “phénoménale”
Source Soins aides soignantes
713
Auteurs PLAISANT C
Date de parution 01/03/2007
Commentaire Soigner des patients cérébro-lésés, traumatisés crâniens ou douloureux chroniques par l’art, tel est le pari qu’a fait l’équipe paramédicale du service de médecine physique et de réadaptation du centre hospitalier de Blois (41). Réflexions sur cette pratique.
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Article
Art-thérapie et maladie mentale , Quotidien du médecin (Le) , Bauche N , 15/03/2007
Type Article
Titre Art-thérapie et maladie mentale
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Bauche N
Date de parution 15/03/2007
Commentaire Comment l'art peut-il soigner la folie ? Lors d'une intervention à l'occasion du 30e anniversaire de l'Afratapem, Jean-Jacques Giraud a défendu le bien-fondé de l'art-thérapie pour intervenir auprès de patients déments. Comment revoir les pratiques psychiatriques à l'aune de l'art. L'ART-THÉRAPIE pourra-t-elle s'imposer comme une alternative dans les soins de la folie ? C'est en utilisant les productions artistiques des aliénés comme des supports de diagnostic, mais aussi en instrumentalisant la pratique du théâtre, de la musique, etc. chez les patients, que l'art-thérapie «stabilise la maladie mentale, insiste Jean-Jacques Giraud, professeur à la faculté de médecine et de pharmacie de Poitiers et vice-président de l'Afratapem (Association française de recherches et applications des techniques artistiques en pédagogie et médecine), qui a célébré son 30e anniversaire par un congrès international, dont les actes viennent d'être publiés*. Car on ne sait pas guérir la folie, si on entend par là une incapacité totale ou partielle à communiquer et ainsi à s'enfermer dans un délire. Alzheimer, anorexie et autisme compris». Longtemps laissée aux marges des milieux cliniques et psychanalytiques, l'art-thérapie a investi les hôpitaux à la faveur d'accords entre les ministères de la Culture et de la Santé – le programme « Culture à l'hôpital » a été renouvelé en janvier 2006 avec le soutien réitéré des entreprises et des fondations réunies dans le Cercle des partenaires. Certains artistes sont même invités en résidence pendant plusieurs années dans des établissements de soins. Mais cette victoire a été obtenue à l'arrachée : aucune étude statistique n'a été menée jusqu'à maintenant pour déterminer son efficacité sur une population donnée. Alors même que le Conseil national de l'Ordre des médecins exige une preuve de sa validité pour reconnaître l'art-thérapie. «Nous en sommes encore aux balbutiements, analyse le Pr Giraud. Il y a encore très peu d'art-thérapeutes en France.» Et si les hôpitaux sont de plus en plus friands de ces traitements alternatifs, les fonds leur manquent pour embaucher ou former du personnel compétent. La profession souffre ainsi du manque de coordination et de réglementation hexagonale. Le statut d'art-thérapeute n'est pas protégé, ce que tentent de pallier l'Afratapem en délivrant un DU labellisé (deux ans de formation), et la Fédération française des art-thérapeutes en contrôlant les normes de formation et de pratique. La France à la traîne. Mais dans le domaine de l'art-thérapie, la France est à la traîne : dans les années 1950, Marie Revai ouvrait le premier service entièrement dédié à l'art-thérapie à l'hôpital Royal Victoria de Montréal. Comparativement, l'Afratapem pourvoie l'Hexagone de 140 nouveaux art-thérapeutes par an depuis 1976, année de sa création. Le statut scientifique de l'art-thérapie est contesté dès que l'on s'attache au traitement des maladies mentales. On compte, au rang de ses défenseurs, le psychiatre Jean-Pierre Klein, directeur de l'Institut national d'expression, de création, d'art et de thérapie (Paris/Barcelone), qui insiste sur le processus psychothérapeutique en jeu. Grosso modo, l'art-thérapie permet la mise en mouvement de multiples identités du patient à travers des formes artistiques imaginaires (in « l'Art-thérapie », PUF, coll. « Que sais-je ? »). «Une art-thérapeute a fait faire son portrait à une jeune fille anorexique», raconte le Pr Giraud. Ce qui ne convainc guère certains praticiens : «Comment peut-on affecter ces succès à l'art-thérapie?, rétorque une psychanalyste qui préfère garder l'anonymat. Quand on traite des pathologies aussi lourdes que la démence, les soins sont pris dans un processus global. Pour chaque patient, il y a plusieurs interlocuteurs, des psychiatres, des psychomotriciens…» Certains cercles, les psychanalystes en tête, ont du mal à admettre le bien-fondé d'une cure sans la parole. Pourtant, «il existe des cas où le psychologue échoue et où l'art-thérapeute réussit», rappelle le Pr Giraud.
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Article
Atelier d’expression théâtrale à visée thérapeutique , Soins psychiatrie , 247 , Rogez Gaëtan , 01/12/2006
Type Article
Titre Atelier d’expression théâtrale à visée thérapeutique
Source Soins psychiatrie
247
Auteurs Rogez Gaëtan
Date de parution 01/12/2006
Commentaire Personne, a priori, ne peut nier les effets positifs d’un atelier à médiation artistique tels que la danse, la musique, les arts plastiques et le théâtre. Ces ateliers sont un outil supplémentaire dans un processus psychothérapeutique, à condition d’établir un cadre solide, de choisir un dispositif approprié et de dégager des objectifs fiables, pertinents et cohérents. L’art-thérapie est un mot fabriqué parfois mal ou trop souvent utilisé. Il signifie peu de chose s’il est sorti de son contexte. Il est préférable d’utiliser les termes “thérapie à médiation artistique”. Cette pratique couvre une gamme très étendue d’approches théoriques et pratiques. Elle s’inscrit de plus en plus dans un ensemble de prestations éducatives, médico-sociales et, bien sûr, thérapeutiques. L’expérience d’un atelier de théâtre en psychiatrie est une aventure où se mêlent et s’entremêlent l’envie, le doute, la spontanéité, parfois la peur, enfin, la réussite lorsque le groupe de participants demande à l’équipe soignante le jour et l’heure de la « prochaine séance où l’on fait ce que l’on veut. »
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Article
Communiquer avec les patients Alzheimer , Soins gérontologie , 56 , Métais P, Pancrazi MP , 01/03/2006
Type Article
Titre Communiquer avec les patients Alzheimer
Source Soins gérontologie
56
Auteurs Métais P, Pancrazi MP
Date de parution 01/03/2006
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