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N° Revue
Le temps de travail médical : un tabou ? , Gestions hospitalières , 553 , 01/02/2016 , http://gestions-hospitalieres.fr/numero/553/
Type N° Revue
Titre Le temps de travail médical : un tabou ?
Source Gestions hospitalières
553
Date de parution 01/02/2016
URL http://gestions-hospitalieres.fr/numero/553/
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Ouvrage
Les outils pratiques pour réussir la RTT dans la fonction publique hospitalière , CAZENAVE JC , Etudes hospitalières (Les) , 21/04/2001 , 362.CAZ
Type Ouvrage
Titre Les outils pratiques pour réussir la RTT dans la fonction publique hospitalière
Auteurs CAZENAVE JC
Source Etudes hospitalières (Les)
Date de parution 21/04/2001
Cote 362.CAZ
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Dossier thématique
LE TEMPS DE TRAVAIL MEDICAL , Gestions hospitalières , 01/02/2016 , TEMPS DE TRAVAIL / HOPITAL / ORGANISATION / CHU (CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE)
Type Dossier thématique
Titre LE TEMPS DE TRAVAIL MEDICAL
Source Gestions hospitalières
Date de parution 01/02/2016
Mots-clés TEMPS DE TRAVAIL / HOPITAL / ORGANISATION / CHU (CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE)
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N° Revue
Le temps un défi pour le cadre , Soins cadres , 83 , 01/08/2012
Type N° Revue
Titre Le temps un défi pour le cadre
Source Soins cadres
83
Date de parution 01/08/2012
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Article
RTT à l’hôpital : le SNPHAR-E ne voit rien venir , Quotidien du médecin (Le) , 02/05/2012
Type Article
Titre RTT à l’hôpital : le SNPHAR-E ne voit rien venir
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 02/05/2012
Commentaire Les textes d’application de l’accord RTT intervenu il y a deux mois entre les syndicats de PH et le ministère de la Santé se font attendre. Les anesthésistes tirent la sonnette d’alarme. Calendrier en main, le Syndicat national des praticiens hospitaliers anesthésistes-réanimateurs élargi (SNPHAR-E) s’inquiète de ne voir rien venir sur le terrain de la RTT à l’hôpital. Dans un communiqué, l’organisation souligne que, en vertu du protocole signé le 23 janvier dernier par le ministère de la Santé et les représentants des PH, une première échéance – définition des dispositifs de traitement du « stock » de 200 millions de jours de RTT constitués par les médecins hospitaliers et de gestion des futurs « flux » – a été fixée sur ce dossier « au plus tard » à la « fin du premier trimestre 2012 », soit ce samedi. Or rien ne se profile au « Journal officiel ». Le syndicat ne se prive pas de rappeler que, en son temps, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, avait parlé d’un accord « historique » ; et en conclut que « les engagements soit disant forts ne sont que de la poudre aux yeux de ceux qui veulent bien y croire ». Sur le fond, le SNPHAR-E qui a eu connaissance des textes d’application de l’accord – malgré tout en préparation – juge que « la monétisation proposée se situe à un niveau ridicule pour des heures de travail supplémentaires, deux fois moins que ce que les hôpitaux sont prêts à payer aux médecins mercenaires recrutés souvent sans beaucoup d’exigences de qualité ». Il n’est pas plus enthousiaste sur les projets « d’abondements à la retraite », qu’il décrit « ridicules et méprisants ».
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Article
Médecins hospitaliers : nouvelle réunion non conclusive sur les RTT , Le Monde , 12/12/2011
Type Article
Titre Médecins hospitaliers : nouvelle réunion non conclusive sur les RTT
Source Le Monde
Date de parution 12/12/2011
Commentaire Une nouvelle réunion a eu lieu, vendredi 9 décembre au ministère de la santé, sur le problème des journées de RTT accumulées par les médecins hospitaliers, sans qu'un accord soit formellement signé, mais avec des avancées, selon les syndicats. Le gouvernement, qui mène des discussions avec les syndicats de praticiens hospitaliers, doit prendre un décret pour apurer les quelque deux millions de journées de RTT accumulées depuis l'instauration des trente-cinq heures à l'hôpital en 2002. La loi prévoit qu'elles soient soldées au bout de dix ans, soit à partir de 2012. Après de premiers échanges infructueux fin novembre, une réunion avait été reportée lundi dernier à la demande du ministère. Ses services ont organisé des rencontres bilatérales avec les syndicats au cours de la semaine. "LES MEILLEURS DÉLAIS" Le décret en discussion pour régler la question des RTT prévoit trois options : la prise de congé, la monétisation (rachat des jours) et la possibilité de les transformer en points retraite pour avancer l'âge du départ. Quelle que soit l'option retenue, le coût des RTT accumulées par les médecins hospitaliers est de l'ordre de 600 millions d'euros. Six mois de RTT à poser en moins de six semaines. C'est à cette impossible équation qu'une réunion entre le ministre de la santé et les syndicats de médecins hospitaliers a tenté de répondre, mercredi 23 novembre. Au lendemain de cette troisième rencontre depuis la rentrée, le résultat est cinglant : le dossier est bloqué, selon les syndicats. "CRISE DE CONFIANCE" ENTRE MINISTÈRE ET MÉDECINS La réunion, pourtant, commençait sur un accord entre la Direction générale de l'offre de soins (DGOS) du ministère de la santé et les syndicats : "pour la première fois, l'administration validait nos estimations alors que, jusqu'à présent, nous n'avions aucune base documentaire", explique au Monde.fr le Dr François Aubard, président de la Coordination médicale hospitalière (CMH). Comme le plus important syndicat de praticiens, le ministère de la santé constatait les 2,1 millions de jours de RTT acumulés par les 41 000 médecins hospitaliers. Pour chaque médecin, c'est environ six mois de RTT qui ont été stockées sur des comptes épargne-temps (CET) et dont l'échéance arrive le 2 janvier 2012. Une date connue de tous : le dossier est vieux de dix ans, lorsque la loi sur les 35 heures est appliquée aux hôpitaux publics. C'est dans ce contexte que le syndicat a proposé trois pistes mercredi : la "monétisation" ou le paiement d'une partie de ces journées ; l'utilisation de congés ; la transformation de ces CET en point-retraites. Joint par Le Monde.fr, le ministère de la santé affirme que toutes les pistes sont étudiées, avec une "solution mixte" possible, et un prolongement de la date butoir du 2 janvier 2012. Réaction du CMH : tous les médecins sont appelés à poser leurs congés dès janvier 2012. Une forme de menace devant la "crise de confiance" entre le ministère de la santé et les médecins, déplore le Dr François Aubard. Le médecin estime qu'avec un projet de décret incluant les trois solutions, le gouvernement n'agit pas et "repousse le problème". Devant la crainte de perdre ces heures, et afin de garantir leur paiement, le syndicat médecin a même demandé la "sanctuarisation" de ces CET par la Caisse des dépôts et consignations. PAS DE PERSONNEL, PAS DE BUDGET Si, depuis 2002, les journées de RTT s'accumulent, c'est pour deux raisons. D'abord parce que le personnel manque pour remplacer les médecins en congés. Ensuite parce que le budget fait défaut pour payer ces heures de repos qui ne peuvent pas être prises par les praticiens surchargés de travail. Une première fois, en 2008, un remboursement partiel de ces RTT est mis en place : 30 % des stocks sont rachetés. A l'époque, Hervé (son nom a été changé), chirurgien à Marseille, entre en litige avec son établissement. "Les 30 % m'ont été versés de façon parcellaire", commente le médecin "l'hôpital n'avait pas d'argent". Il décide de poursuivre son hôpital au tribunal administratif, pour recevoir la totalité de la somme trois ans plus tard, au printemps 2011. Selon le Dr François Aubard, ce genre de litige est courant, "les engagements de 2008 [n'ayant] pas été tenus". Et trois ans plus tard, Hervé a encore environ 140 journées de récupérations à poser. Une première fois, en 2008, un remboursement partiel des RTT est mis en place : 30 % des stocks sont rachetés.AFP/PATRICE COPPEE Au sein de l'hôpital, la situation des médecins est particulière : le rachat de leur CET est particulièrement cher, 300 euros bruts par journée. A elles seules, les RTT des 41 000 médecins représentent la moitié des heures accumulées par les 411 000 salariés des hôpitaux. Le coût pour l'Etat de cette monétisation s'élèverait ainsi à quelque 600 millions d'euros. Autre spécificité : le métier est caractérisé par une démographie déclinante. "Entre 2010 et 2018, 31 % des praticiens vont partir à la retraite", explique le président du syndicat. Une caractéristique qui rend la transformation des CET en point-retraites peu séduisante pour le gouvernement, et réduit les solutions envisageables. TOUT L'HÔPITAL EN SURPLUS DE RTT A l'hôpital, la question des RTT ne se limite pas aux médecins. Le coût de leurs journées est un peu moins élevé et leur situation se règle généralement chaque année, mais les autres catégories de salariés ont également accumulé un peu moins de deux millions de RTT. "On pensait que ces RTT soulageraient notre charge de travail. Etant donné que nous sommes toujours sur le qui-vive, cela fait du bien d'avoir des jours de repos en plus," commente un aide-soignant en psychiatrie sous réserve d'anonymat, de peur que "sa direction ne lui mette la pression". Car dans les hôpitaux, l'ambiance est pénible, témoignent aide-soignants et infirmiers : les équipes fonctionnent "à flux tendus". L'organisation des plannings est source de tensions et de pressions. En huit mois de travail, cet aide-soignant d'un hôpital de l'ouest de la France a cumulé 90 heures de RTT, essentiellement pendant l'été lorsque le personnel prend ses congés. "J'aimerais qu'on m'en paye la moitié, mais ils ne le feront pas : le budget est trop serré. Nous sommes dans un cul-de sac, mais j'essaierai de me battre pour ne pas perdre ces heures" témoigne l'aide-soignant. A l'hôpital, la question des RTT ne se limite pas aux médecins. AFP/FRED DUFOUR En filigrane, c'est donc le manque de moyens de l'hôpital qui se dessine derrière l'accumulation de RTT. "Les conditions de travail se dégradent, l'hôpital est plein, le personnel démotivé, épuisé", rapporte l'aide-soignant. Dans son service, pendant la période particulièrement tendue de l'été, une infirmière retraitée a été rappelée, avant de revenir pour un contrat de deux mois cet hiver. Un autre salarié a également effectué des remplacements, au pied levé, tandis que des infirmières d'autres services viennent aussi ponctuellement prêter main-forte. Un système qui impacte la qualité des soins : "c'est l'enfer", commente l'aide-soignant, "les remplaçants ne connaissent rien à la psychiatrie et le patients aussi ont peur". "BIDOUILLAGE" GÉNÉRALISÉ Les RTT sont alors prises dans le "bidouillage", hors des échéances et du cadre posés par la loi, explique une infirmière d'un hôpital du nord de la France sous couvert d'anonymat, avec une "négociation" permanente entre les cadres et le personnel. Dans son établissement, l'aide-soignant en psychiatrie évoque "des magouilles", tandis qu'Hervé, le chirurgien, compte cumuler suffisamment de jours de repos pour prendre une année sabbatique. Alors qu'il est demandé aux directeurs d'hôpitaux de présenter un budget en équilibre en 2012, certains craignent que le coût de ces RTT plombe l'assurance maladie. "Les hôpitaux n'ont en provision que l'équivalent de 30 % de ces RTT selon les syndicats, 50 % selon le ministère", estime le Dr François Aubart. Certains hôpitaux sont "face à un vrai problème d'approvisionnement", admet le ministère de la santé. Au ministère, sans s'avancer sur des solutions privilégiées, on n'écarte pas que des fonds soient "débloqués" pour les établissements en difficulté. Pour désamorcer l'explosion des RTT, une quatrième réunion avec les syndicats est prévue avant la fin de l'année, le 5 décembre.
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Article
Le gouvernement espère trouver un accord sur le paiement des RTT à l'hôpital , Le Monde , 15/01/2008
Type Article
Titre Le gouvernement espère trouver un accord sur le paiement des RTT à l'hôpital
Source Le Monde
Date de parution 15/01/2008
Commentaire Alors que les anesthésistes-réanimateurs et les urgentistes s'acheminent vers une grève des soins non urgents, le gouvernement et les syndicats de médecins hospitaliers doivent tenter de trouver, mardi 15 janvier, un accord sur le paiement des journées de RTT accumulées depuis cinq ans. La ministre de la santé, Roselyne Bachelot, réunit les quatre intersyndicats de praticiens hospitaliers – INPH, CMH, CPH et SNAM-HP. La concertation, qui associe également les représentants des personnels non médicaux (infirmières, aides-soignantes...), porte sur 4 millions de jours de congés accumulés dans des comptes épargne-temps (CET) par l'ensemble des salariés de l'hôpital, soit environ 42 jours par praticien et 3,5 par agent hospitalier (infirmières, aides-soignantes, cadres...). Quelque 23 millions d'heures supplémentaires ont également été stockées, faute d'effectifs suffisants. Alors que les hôpitaux ont moins de ressources – deux sur trois sont en déficit –, le gouvernement assure disposer d'environ 700 millions d'euros pour régler la facture. Mais pour la Fédération hospitalière de France (FHF), qui réunit les directeurs d'hôpitaux, comme pour la CGT-Santé, la moitié au moins de cette somme n'est pas gagée, nombre d'établissements ayant "épuisé leurs réserves". La FHF chiffre à environ 1 milliard d'euros le besoin de financement. "LES CET, UN ÉPIPHÉNOMÈNE" Les RTT à l'hôpital constituent un enjeu majeur pour Nicolas Sarkozy et le gouvernement, qui entendent "libérer les contraintes" liées au temps de travail pour relancer le pouvoir d'achat. "Je ne serai pas à la tête d'un Etat capable de demander aux fonctionnaires de faire des heures supplémentaires et qui est dans le même temps incapable de payer ces heures supplémentaires", a prévenu vendredi le chef de l'Etat. Le gouvernement souhaiterait par ailleurs éviter la grève des soins non urgents qu'urgentistes et anesthésistes, déjà en grève symbolique depuis Noël, menacent de lancer à partir de jeudi. D'autant que la CGT-Santé, premier syndicat à l'hôpital, a appelé ses troupes à participer à la grève des fonctionnaires prévue le 24 janvier, que les urgentistes pourraient aussi rejoindre. Reçus lundi soir pour la première fois au ministère de la santé alors qu'ils contestent la représentativité des intersyndicats de praticiens hospitaliers, deux des quatre syndicats grévistes ont estimé que le gouvernement "n'a rien proposé", hormis la création d'un "Conseil national de l'urgence et de la permanence des soins, qui ne pourra pas être opérationnel avant six mois", selon la vice-présidente du SNphar (anesthésistes-réanimateurs), Nicole Smolski. "La grève ne pourra s'arrêter qu'après un accord sur nos revendications par rapport auxquelles la question des CET est un épiphénomène", a ajouté le porte-parole de l'AMUF (urgentistes), Christophe Prudhomme. Les anesthésistes conditionnent la levée de leur préavis de jeudi à l'obtention que "seul le praticien soit habilité à gérer son CET" et décider de ce qu'il veut en faire (monétisation, congés ou conversion pour la retraite). Ils réclament aussi "un texte officiel" concrétisant la promesse de Mme Bachelot de transmettre aux héritiers d'un médecin décédé l'équivalent monétisé de ce qu'il avait accumulé sur son CET. Plus généralement, ces praticiens, qui ont reçu le soutien de l'ordre des médecins, demandent de "freiner la fuite des médecins face à une pénibilité et une absence de reconnaissance révélées par cette grève", notamment via une meilleure rémunération des gardes. Des mesures qui se seront probablement pas envisagées avant le plan sur "les missions de l'hôpital" que doit présenter en avril l'ancien ministre Gérard Larcher.
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Article
Mise en œuvre du compte épargne temps dans les établissements publics de santé , Ministère de l'Emploi et de la Solidarité , 01/07/2007
Type Article
Titre Mise en œuvre du compte épargne temps dans les établissements publics de santé
Source Ministère de l'Emploi et de la Solidarité
Date de parution 01/07/2007
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Article
35 heures, bilan mitigé pour les conditions de travail , Soins psychiatrie , 704 , Dekussche C , 01/04/2006
Type Article
Titre 35 heures, bilan mitigé pour les conditions de travail
Source Soins psychiatrie
704
Auteurs Dekussche C
Date de parution 01/04/2006
Commentaire Dans une étude publiée ce mois-ci sur la “réduction du temps de travail vue par les salariés hospitaliers en 2003” et réalisée en 2003 auprès de 2 712 salariés des établissements de santé publics et privés, la Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (Drees) fait le point sur la RTT. Les 35 heures ont été appliquées en deux temps : en 2000 dans le secteur privé et en 2002 dans le public. Aujourd’hui, 56 % des salariés considèrent qu’ils ont moins de temps pour faire les mêmes tâches et 46 % jugent que la RTT s’est traduite par une dégradation des conditions de travail. Un sentiment plus souvent exprimé par le public et les salariés les plus âgés, mais aussi par les infirmières. « Les principales raisons données à la perception négative de l’évolution des conditions de travail sont l’augmentation du rythme, voire de la charge de travail, les changements d’horaires trop peu perceptibles ou les journées de travail trop peu écourtées », explique la Drees. Côté qualité de vie en revanche, 54 % des salariés reconnaissent que la RTT est une amélioration avec davantage de temps libre, de repos, etc. Étude disponible sur http://www.sante.gouv.fr/drees/etude-resultat/er469/er469.pdf
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Article
Le temps de travail , Soins service , 702 , Ponte C , 01/01/2006
Type Article
Titre Le temps de travail
Source Soins service
702
Auteurs Ponte C
Date de parution 01/01/2006
Commentaire La réglementation du temps de travail fait l'objet de nombreuses questions. Présentation des éléments légaux dont la connaissance est indispensable pour chaque salarié.
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