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Ouvrage
L’hôpital en mouvement : changements organisationnels et conditions de travail , MOATTY F, GHEORGHIU MD , Editions ASH , 16/12/2013 , 362.GHE
Type Ouvrage
Titre L’hôpital en mouvement : changements organisationnels et conditions de travail
Auteurs MOATTY F, GHEORGHIU MD
Source Editions ASH
Date de parution 16/12/2013
Cote 362.GHE
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Ouvrage
La crise de confiance hospitalière : constat - causes - réformes , CLEMENT J-M , Etudes hospitalières (Les) , 03/2003 , 362.CLE
Type Ouvrage
Titre La crise de confiance hospitalière : constat - causes - réformes
Auteurs CLEMENT J-M
Source Etudes hospitalières (Les)
Date de parution 03/2003
Cote 362.CLE
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Ouvrage
Risques et vigilances sanitaires : Organisation et coordination dans les établissements de santé , JEZEQUEL N , Etudes hospitalières (Les) , 11/04/2003 , 362.JEZ
Type Ouvrage
Titre Risques et vigilances sanitaires : Organisation et coordination dans les établissements de santé
Auteurs JEZEQUEL N
Source Etudes hospitalières (Les)
Date de parution 11/04/2003
Cote 362.JEZ
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Ouvrage
Demain sera meilleur... Hôpital et utopies , Assistance Publique - Hôpitaux de Paris , Assistance Publique Hôpitaux de Paris , 09/2001 , HOP-4-APHP
Type Ouvrage
Titre Demain sera meilleur... Hôpital et utopies
Auteurs Assistance Publique - Hôpitaux de Paris
Source Assistance Publique Hôpitaux de Paris
Date de parution 09/2001
Cote HOP-4-APHP
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Article
Proximité, précarité, différences culturelles... L’exemple du CH de Saint-Denis , Gestions hospitalières , 543 , 02/2015
Type Article
Titre Proximité, précarité, différences culturelles... L’exemple du CH de Saint-Denis
Source Gestions hospitalières
543
Date de parution 02/2015
Commentaire Au cœur d’un impératif sanitaire et social croissant, le CH de Saint-Denis répond à sa mission de service public en développant depuis plusieurs années une stratégie d’établissement complète et ambitieuse pour lui permettre de jouer son rôle d’établissement de proximité. L’établissement s’investit aussi pour renforcer ses créneaux de compétences spécialisées et développer son offre de soins, notamment en améliorant son organisation et en augmentant ses partenariats. Dans ce contexte, l’enjeu majeur pour répondre à ces objectifs est de tenir au mieux un équilibre budgétaire.
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Article
L'approche client, une voie humaniste pour les soins , Revue de l'infirmière , 201 , Phaneuf M , 05/2014
Type Article
Titre L'approche client, une voie humaniste pour les soins
Source Revue de l'infirmière
201
Auteurs Phaneuf M
Date de parution 05/2014
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Article
Martin Hirsch, d’Emmaüs à l’AP-HP, le parcours atypique d’un symbole de l’ouverture à gauche , Quotidien du médecin (Le) , de Saint Roman H , 14/11/2013
Type Article
Titre Martin Hirsch, d’Emmaüs à l’AP-HP, le parcours atypique d’un symbole de l’ouverture à gauche
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs de Saint Roman H
Date de parution 14/11/2013
Commentaire À bientôt 50 ans, Martin Hirsch n’est plus à un paradoxe près. Durant ses études de médecine déjà, il avait attendu la 6e année pour abandonner la filière et se tourner vers l’ENA (il est également diplômé de l’École normale supérieure et titulaire d’un DEA de neurobiologie). Classé à gauche, ancien membre des cabinets de Bernard Kouchner et Martine Aubry (mais jamais encarté PS), il doit pourtant son seul portefeuille à Nicolas Sarkozy, qui en avait fait le symbole de l’ouverture en le nommant en 2007 Haut-commissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté. Au gouvernement, Martin Hirsch avait mis en œuvre, non sans difficultés, son projet phare, le revenu de solidarité active (RSA). Il démissionnera en 2010, préférant retrouver sa liberté d’action et de parole. Les mauvaises langues assurent que Nicolas Sarkozy, jugeant l’homme difficile à gérer, et un brin opportuniste, lui aurait demandé de quitter le gouvernement à l’occasion du remaniement ministériel. L’humanitaire en bandoulière Le tout nouveau patron de l’AP-HP (il a été nommé ce mercredi officiellement en conseil des ministres) fait partie de cette mouvance énarchique qui investit les cabinets ministériels au milieu des années 90. Ses amis de l’époque se nomment Didier Tabuteau (premier directeur général de l’Agence du Médicament) ou Philippe Lamoureux, ex-conseiller de Martine Aubry et Bernard Kouchner, avant de devenir en 2008 directeur du LEEM (syndicat patronal de l’industrie pharmaceutique). C’est dire que le monde compliqué de la santé n’est pas étranger à Martin Hirsch qui a également dirigé la pharmacie centrale des hôpitaux de Paris entre 95 et 97 ou encore l’Agence française pour la sécurité sanitaire des aliments (AFSSA) de 1999 à 2005. Autre corde à son arc, l’humanitaire. Martin Hirsch a été président de l’Union centrale des communautés d’Emmaüs de 1995 à 2002 avant de prendre les manettes d’Emmaüs France entre 2002 et 2007. Une activité bénévole, jure l’intéressé qui assure avoir dirigé l’organisation « sur mes RTT ». Depuis 2010, il préside l’Agence du service civique, dont il est le fondateur. Le nœud gordien de l’Hôtel-Dieu Souvent qualifié d’« homme de réseaux » plutôt que de manager à poigne, Martin Hirsch devra piloter une énorme entité de 37 hôpitaux qui compte plus de 90 000 salariés dont 22 000 médecins (pour 7 milliards d’euros de budget). Ironie de l’histoire : lors de son entrée dans le gouvernement Fillon en 2007, certains à gauche n’avaient pas eu de mots assez durs pour qualifier son attitude. Marisol Touraine avait estimé qu’il était « l’alibi social » de l’équipe au pouvoir, ajoutant que Martin Hirsch se faisait « des illusions en pensant que son travail pourrait être jugé indépendamment de l’action du gouvernement Sarkozy ». C’est la même Marisol Touraine qui vient de le nommer à la tête de l’AP-HP où il devra en priorité trancher le nœud gordien du projet de nouvel Hôtel-Dieu, principale cause de l’éviction de Mireille Faugère. Les syndicats des hôpitaux parisiens ont prévenu à cet égard qu’il n’y aurait pas d’état de grâce. Dans un communiqué suivant sa nomination, l’USAP-CGT juge « indispensable que le nouveau directeur de l’AP-HP arrive avec une nouvelle feuille de route et stoppe tous les projets ».
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Article
Saturés, les services d’urgences en mal de traitement efficace , Quotidien du médecin (Le) , DUPUIS C , 21/05/2013
Type Article
Titre Saturés, les services d’urgences en mal de traitement efficace
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs DUPUIS C
Date de parution 21/05/2013
Commentaire Des médecins urgentistes épuisés qui crient leur colère. Des paramédicaux formés...par des militaires pour « gérer » les patients agressifs à la porte des hôpitaux. Des remèdes gouvernementaux qui tardent ou ne convainquent pas, à l’instar des « bed managers » promis par Marisol Touraine. Réceptacle des souffrances, les services d’urgences craquent en attendant des réformes structurelles : réorganisation de l’hôpital et du premier recours. Et desserrement de la contrainte budgétaire. Saturés, les services d’urgences toujours en mal de traitement efficace La PROMESSE de campagne de François Hollande est connue : assurer à chaque Français un accès aux soins urgents en moins de 30 minutes. Cette garantie territoriale s’adressait surtout à l’opinion publique. Il y a un an exactement, Marisol Touraine prenait un engagement complémentaire, cette fois devant la communauté de l’urgence hospitalière réunie en congrès : « désengorger » des services saturés (à l’entrée comme à la sortie). Évoquant les patients âgés et fragiles qui restent sur des brancards des journées entières, la ministre de la Santé dénonçait une « forme d’indignité » à laquelle il convient de « mettre un terme ». Le temps du diagnostic. Un an plus tard, les remèdes efficaces se font attendre, laissant les malades dans les couloirs et les professionnels de l’urgence désemparés ou exaspérés. Démissions avec fracas, menaces de grèves, lettres ouvertes dénonçant les conditions de travail...: de Roubaix à Grenoble, en passant par Paris, Thonon-les-Bains, Tours ou Strasbourg, le malaise des urgentistes a éclaté ces derniers mois sous des formes diverses. Sur ce dossier qui a fait soupirer tous les ministres de la Santé au rythme de plus en plus endiablé des passages aux urgences (12 millions par an au début des années 2000, près de 18 millions en 2012), Marisol Touraine a pris le temps d’un nouveau diagnostic précis avec un objectif : le parcours optimal du patient, chaque acteur étant à sa place. Une mission ad hoc a été confiée au Pr Pierre Carli (lire ci-dessous), à la tête du conseil national de l’urgence hospitalière (CNUH). Et la DREES, service « études et statistiques » des ministères sociaux prépare une enquête nationale sur les urgences hospitalières (juin 2013), qui analysera notamment les motifs de recours, la précédente datant de 2002. Des mesures sont attendues à l’automne. L’amont et l’aval : un problème, deux clés. Relever le défi des urgences suppose non seulement la réorganisation interne de l’hôpital (comment gérer les flux de patients non programmés et les soins qui vont avec) mais aussi une coordination plus étroite, hors les murs, avec les acteurs libéraux de premier recours supposément mieux structurés demain pour absorber la demande de soins non vitaux (maisons médicales de garde, exercice regroupé, nouveaux protocoles). À l’automne, Marisol Touraine a annoncé ses axes de travail. Pour favoriser l’accès aux soins urgents, elle a promis de nouveaux SMUR (ou antennes), la rénovation du statut de médecins correspondants du SAMU, l’optimisation du transport héliporté ou encore la coopération accrue entre services d’urgences. Quant au désengorgement des services eux-mêmes, il passe en amont par le renforcement des équipes de soins de ville en partie rémunérées au forfait sur des engagements précis (horaires élargis par exemple). Il faudra davantage que des mesures cosmétiques. L’accueil mitigé réservé au lancement fin avril par Marisol Touraine d’un programme national de gestion des lits (ou « bed management ») auprès de 150 hôpitaux témoigne de l’ampleur des attentes. Beaucoup d’urgentistes y ont vu un coup marketing. Lorsque le ministère met en avant l’efficience managériale (délais d’admission réduit, temps libéré), les hospitaliers concernés dénoncent la fermeture de lits (médecine, soins de suite) et les suppressions de postes. La FHF elle-même a salué du bout des lèvres une annonce qui « ne saurait à elle seule régler la situation des urgences hospitalières qui devient critique dans nombre de villes ». Le message est simple : la bonne gestion ne suffit pas, il faut aussi des moyens supplémentaires.
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Article
Des "gestionnaires de lits" pour sauver les urgences , Le Monde , 10/04/2013
Type Article
Titre Des "gestionnaires de lits" pour sauver les urgences
Source Le Monde
Date de parution 10/04/2013
Commentaire Comment sauver les services d'urgence de l'engorgement alors que les caisses sont vides ? A défaut d'annoncer la création de nouveaux lits, la ministre de la santé, Marisol Touraine, a expliqué le 4 mars en présentant son pacte de confiance pour l'hôpital la nécessité de s'attaquer aux questions d'organisation, prenant comme exemple de bonne pratique la mise en place de "gestionnaires de lits". Ce poste, aussi appelé "bed manager", doit permettre d'optimiser l'organisation des hospitalisations. Il est là pour gérer les lits et les patients comme un aiguilleur du ciel gère les décollages et atterrissages d'avions sur un aéroport. En contact avec tous les services, il a une vision à court et moyen terme des entrées et sorties et répartit les lits – dits d'aval – au mieux en fonction des demandes et des contraintes de chacun. FORTES DISPARITÉS D'UN ÉTABLISSEMENT À L'AUTRE Quelques établissements l'ont déjà mis en place, comme à Lens (Pas-de-Calais) ou à Pontoise (Val-d'Oise) et plusieurs réfléchissent à le faire. En 2010, avec de fortes disparités d'un établissement à l'autre, les urgences ont représenté en moyenne 32 % du total des hospitalisations. "C'est un outil de la gestion prévisionnelle des lits, pas une solution en soi", souligne Emmanuelle Combes, responsable de ce programme à l'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (ANAP). A partir de septembre, l'agence va accompagner 150 site...
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Article
Vers une évolution du service public hospitalier , Soins aides soignantes , 767 , Héron Myriam , 01/07/2012
Type Article
Titre Vers une évolution du service public hospitalier
Source Soins aides soignantes
767
Auteurs Héron Myriam
Date de parution 01/07/2012
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