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Ouvrage
GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE Soins infirmiers , BENACHI A, PRESSE M, VINCHANT M , ELSEVIER & MASSON , 12/01/2022 , 618.BEN
Type Ouvrage
Titre GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE Soins infirmiers
Auteurs BENACHI A, PRESSE M, VINCHANT M
Source ELSEVIER & MASSON
Date de parution 12/01/2022
Cote 618.BEN
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Ouvrage
LE SEIN , CASTRO A , Arnette , 01/1989 , 618.CAS
Type Ouvrage
Titre LE SEIN
Auteurs CASTRO A
Source Arnette
Date de parution 01/1989
Cote 618.CAS
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Ouvrage
GYNECOLOGIE DE L'ADOLESCENTE , BLANC B, SULTAN C , Editions ESKA , 23/07/1998 , 618.BLA
Type Ouvrage
Titre GYNECOLOGIE DE L'ADOLESCENTE
Auteurs BLANC B, SULTAN C
Source Editions ESKA
Date de parution 23/07/1998
Cote 618.BLA
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Ouvrage
De l'autre côté de la barrière , ERALDI-FINOT P , Société des Ecrivains , 05/10/2012 , R/ERA
Type Ouvrage
Titre De l'autre côté de la barrière
Auteurs ERALDI-FINOT P
Source Société des Ecrivains
Date de parution 05/10/2012
Cote R/ERA
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Article
Cancer du sein : Diagnostic express sans stress , Infirmière magazine (L') , 352/353 , Mignot S
Type Article
Titre Cancer du sein : Diagnostic express sans stress
Source Infirmière magazine (L')
352/353
Auteurs Mignot S
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Article
Forte hausse des cancers du sein dans le monde , Quotidien du médecin (Le) , 13/12/2013
Type Article
Titre Forte hausse des cancers du sein dans le monde
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 13/12/2013
Commentaire « En 2012, le fardeau mondial du cancer s’élève à 14,1 millions de nouveaux cas et à 8,2 millions de décès », selon le dernier bilan du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Par rapport à 2008, l’incidence est en hausse de 11 % et la mortalité de 8,4 %. Toujours en 2012, les estimations de prévalence indiquent que 32,6 millions de personnes vivantes, âgées de plus de 15 ans, ont eu un diagnostic de cancer au cours des cinq dernières années. Le bilan du CIRC, agence de l’Organisation mondiale de la santé basée à Lyon, est réalisé à partir de la nouvelle version de la base de données en ligne GLOBOCAN 2012, qui donne les estimations les plus récentes pour 28 types de cancers dans 184 pays. Poumon, sein, côlon Les cancers les plus fréquents dans le monde sont ceux du poumon (1,8 million de cas, soit 13 % du total), du sein (1,7 million de cas, 11,9 % du total) et le cancer colorectal (1,4 million de cas, 9,7 % du total). Les causes de décès par cancer le plus souvent retrouvés sont : les cancers du poumon (1,6 million de décès, 19,4 % du total des décès), du foie (0,8 million de décès, 9,1 %) et de l’estomac (0,7 million de décès, 8,8 %). L’OMS souligne la « forte hausse des cancers du sein dans le monde entier ». L’incidence du cancer du sein a augmenté de 20 % depuis 2008 pour une hausse de la mortalité de 14 %. Chaque année, 1,7 million de femmes ont un diagnostic de cancer du sein. En 2012, 6,3 millions de femmes vivaient avec un cancer du sein diagnostiqué au cours des cinq dernières années précédentes. Un cancer sur 4 diagnostiqués chez la femme est un cancer du sein qui est aussi la cause la plus fréquente de décès par cancer chez les femmes (522 000 décès). « Le cancer du sein est aussi l’une des principales causes de décès par cancer dans les pays les moins développés. C’est en partie parce que l’évolution des modes de vie est à l’origine d’une augmentation de l’incidence, mais aussi en partie parce que les progrès cliniques enregistrés contre la maladie ne profitent pas aux femmes vivant dans ces régions », explique le Dr Forman, chef de la section « Données du cancer » du CIRC. Cancer du col, 4e cancer chez les femmes Le cancer du col utérin est le quatrième cancer le plus fréquent chez les femmes dans le monde, après les cancers du sein, colorectal et du poumon. Environ 528 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Il est également la quatrième cause la plus fréquente de décès par cancer (266 000 décès en 2012) chez les femmes dans le monde. L’OMS note que 70 % du fardeau mondial pèse sur les régions à faibles revenus. Le cancer du col, notamment, est une « cause non justifiée de décès chez les femmes en Afrique subsaharienne ». Chaque année, le cancer du col est diagnostiqué chez 34,8 femmes sur 100 000 dans cette région pour une mortalité de 22,5 pour 100 000. Ces chiffres sont à comparer à 6,6 diagnostics et 2,5 décès pour 100 000 femmes en Amérique du Nord. « Ces différences dramatiques peuvent s’expliquer par le manque d’accès à un dépistage efficace et de services de détection précoce et de traitement », relève l’OMS qui souligne l’importance de la vaccination contre le HPV.
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Article
Dossier / Le cancer du sein , Soins aides soignantes , 776 , Héron Myriam , 01/06/2013
Type Article
Titre Dossier / Le cancer du sein
Source Soins aides soignantes
776
Auteurs Héron Myriam
Date de parution 01/06/2013
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Article
Accompagnement après cancer du sein : Pour « réapprendre à vivre » , Quotidien du médecin (Le) , Durand de Bousingen D , 10/10/2012
Type Article
Titre Accompagnement après cancer du sein : Pour « réapprendre à vivre »
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Durand de Bousingen D
Date de parution 10/10/2012
Commentaire Le Centre régional de lutte contre le cancer Paul Strauss de Strasbourg a développé un programme d’éducation thérapeutique et d’accompagnement pour les femmes ayant suivi un traitement contre le cancer du sein. Ses premiers résultats montrent que les patientes qui y ont participé se réinsèrent plus facilement dans leur vie quotidienne, familiale et professionnelle. SOUTENU par l’Agence Régional de la Santé (ARS), le programme d’éducation thérapeutique mis en place au centre Paul Strauss, répond aux objectifs du Plan Cancer II en matière de prise en charge et d’accompagnement social de l’après-cancer. Organisé autour de 8 ateliers, il permet aux femmes d’échapper au « grand vide » qui suit l’arrêt des traitements et les aide à mieux préparer leur retour à une vie normale tout en abordant le suivi au long cours de la maladie, dont l’hormonothérapie et ses conséquences. Initié par le Pr Thierry Petit, chef de du département de médecine du Centre, le programme associe des médecins, des pharmaciens, des kinésithérapeutes, des diététiciennes et des psychologues, qui suivent les patientes à l’issue de leurs traitements. Dix heures par semaine. Les programmes durent trois mois, à raison d’une dizaine d’heures par semaine réparties sur trois jours, et constituent aussi, au-delà de leur contenu, un retour à une activité régulière pour les femmes qui y participent. S’il existe déjà quelques programmes de ce genre, celui de Strasbourg est le premier spécifiquement centré sur le cancer du sein. Les premières sessions ont eu lien en avril 2011, et se renouvellent désormais trois fois par an. Quarante quatre (44) patientes y ont déjà participé activement, mais une centaine ont refusé de s’y inscrire, essentiellement à cause de leur éloignement du Centre et des problèmes de transports non pris en charge, ou pour des raisons de reprise d’activité professionnelle ou de garde d’enfants. Par contre, toutes les participantes se sont déclarées très satisfaites du programme. Selon elles, il leur permet d’abord de rompre l’isolement et d’ échanger des expériences, puis de « réapprendre à vivre », de retrouver confiance en elles et d’adopter un mode de vie qui réduit le risque de récidive, notamment par l’activité physique et une meilleure alimentation.
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Article
Quelles compétences peuvent être mobilisées par des patientes atteintes de cancer du sein durant leur parcours de soin ? , Education thérapeutique du patient , 1 , Gagnayre R , 01/01/2012
Type Article
Titre Quelles compétences peuvent être mobilisées par des patientes atteintes de cancer du sein durant leur parcours de soin ?
Source Education thérapeutique du patient
1
Auteurs Gagnayre R
Date de parution 01/01/2012
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Article
Il y aurait dix types de cancer du sein , Quotidien du médecin (Le) , Nguyen Véronique , 25/04/2012
Type Article
Titre Il y aurait dix types de cancer du sein
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Nguyen Véronique
Date de parution 25/04/2012
Commentaire Une nouvelle stratification moléculaire des cancers du sein, comprenant de nouveaux sous-groupes de tumeurs ayant une évolution clinique distincte, vient d’être établie par une équipe internationale qui a analysé l’architecture génomique et transcriptomique de 2?000 échantillons de cancers du sein. Cette classification décrit le cancer du sein comme dix maladies différentes. Cette étude pourrait avoir un immense impact dans les années à venir pour le diagnostic et le traitement du cancer. « CETTE ÉTUDE phare porte sur une collection de près de 2?000 échantillons de cancers du sein. Chaque tumeur a été analysée pour ses mutations ADN, et celles-ci ont été examinées ensuite afin de déterminer comment elles altèrent l’expression génique », explique au Quotidien le Pr Sohrab Shah (University of British Columbia, Canada), un des chercheurs de l’équipe internationale. Les chercheurs ont analysé le nombre de copies et l’expression génique dans une première série de 997 échantillons tumoraux congelés (groupe de découverte), puis dans une autre série de 995 échantillons tumoraux congelés (groupe de validation)?; le suivi clinique à long terme des patients correspondants était connu. « L’analyse moléculaire détaillée et la grande taille de l’étude ont abouti à la nouvelle description de 10 sous-types de cancer du sein ayant une signification pronostique, ainsi qu’à l’identification de nouveaux gènes du cancer du sein qui pourraient être responsables du développement et de la progression du cancer du sein. » « Actuellement en pratique clinique, les patientes sont classées sur la base de 3 protéines récepteurs - le récepteur à l’estrogène (ER), le récepteur à la progestérone (PR) et l’HER2 - qui sont exprimées ou non par leur cancer du sein. Les classes les plus fréquentes sont ER-positif, HER2-positif et triple-négatif (ces tumeurs n’expriment aucun des 3 récepteurs) et les traitements administrés sont différents. Les cancers ER-positifs sont traités par hormonothérapie (tamoxifène ou inhibiteurs de l’aromatase), et les cancers HER2-positifs sont traités par trastuzumab (herceptine). Dans les quinze dernières années, le profil moléculaire basé sur les études d’expression génique a révélé environ cinq sous-groupes stables qui divisent les cancers ER-positifs en deux classes différentes. » Des caractéristiques moléculaires distinctes. « Notre étude établit de nouveaux sous-groupes des cancers du sein, chacun ayant des caractéristiques moléculaires distinctes. Elle améliore la sous-classification clinique actuelle, et procure des indices moléculaires pour expliquer pourquoi certains patients dans certains sous-groupes cliniques actuels ont une évolution favorable tandis que d’autres non. » « En particulier, nous avons découvert un groupe ER-positif ayant un taux de morbidité élevé qui est caractérisé par un profil moléculaire distinct des tumeurs ER-positif ayant un pronostic plus favorable. Cela fournit les raisons fondées, et des cibles moléculaires, pour privilégier de nouvelles thérapeutiques ou réorienter les thérapeutiques existantes pour ce groupe dans le contexte d’essais cliniques. » « Nous avons aussi identifié un groupe de 17 % des cancers du sein qui ne semblent pas avoir d’altérations ADN au niveau de résolution de notre étude. Cela suggère une " classe " différente de cancers du sein qui pourraient être sensibles à des traitements plus personnalisés et justifie des analyses moléculaires plus approfondies qui sont complémentaires aux expériences que nous avons effectuées. » Les prochains objectifs. « Nos prochaines étapes seront d’étudier la fonction des nouveaux gènes du cancer que nous avons identifiés. Nous savons qu’ils sont importants mais nous ne savons pas encore précisément comment ils agissent dans le contexte de la biologie moléculaire des tumeurs. » « Nous continuons aussi à analyser la séquence ADN de certains sous-types, afin d’identifier les mutations précises qui s’associent à ces sous-groupes. » « Enfin, nous continuons d’analyser les données pertinentes afin de construire des éléments de classification moléculaire robustes du cancer du sein et d’évaluer leur importance pour prédire la réponse au traitement dans les contexte des essais cliniques. » Avant d’introduire dans la pratique clinique cette classification en 10 sous-groupes, les chercheurs devront prouver qu’elle procure un bénéfice supplémentaire pour les patientes affectées de cancer du sein. Cela devrait prendre entre trois et cinq ans.
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