La Grande Guerre, par l’utilisation d’armes nouvelles, cause plus de 3 500 000 blessés (dont 500 000 de la face), plus nombreux que ceux liés aux maladies (tuberculose, grippe, typhoïde) ou aux conditions climatiques
La prise en charge chirurgicale de la plaie de guerre connaît alors une évolution majeure par l’usage de l’asepsie et des antiseptiques
La mortalité baisse, ouvrant la voie à la réhabilitation physique et psychologique du blessé de guerre.