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Ouvrage
CANCEROLOGIE - Bien débuter , LEBOZEC G, HALLOUËT P, SIRE C , ELSEVIER & MASSON , 28/11/2018 , 616.99/LEB
Type Ouvrage
Titre CANCEROLOGIE - Bien débuter
Auteurs LEBOZEC G, HALLOUËT P, SIRE C
Source ELSEVIER & MASSON
Date de parution 28/11/2018
Cote 616.99/LEB
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N° Revue
L'occlusion intestinale, une urgence thérapeutique , Revue de l'infirmière , 217 , 01/01/2016 , http://www.em-consulte.com/revue/REVINF/65/217/table-des-matieres/
Type N° Revue
Titre L'occlusion intestinale, une urgence thérapeutique
Source Revue de l'infirmière
217
Date de parution 01/01/2016
URL http://www.em-consulte.com/revue/REVINF/65/217/table-des-matieres/
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Ouvrage
L'infirmière de bloc opératoire Tome 2: Orthopédie, Traumatologie - Urologie - Gynécologie Chirurgie thoracique , Samama G , Maloine , 01/12/2003 , 610.73Pro/SAM
Type Ouvrage
Titre L'infirmière de bloc opératoire Tome 2: Orthopédie, Traumatologie - Urologie - Gynécologie Chirurgie thoracique
Auteurs Samama G
Source Maloine
Date de parution 01/12/2003
Cote 610.73Pro/SAM
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Ouvrage
CHECKLISTS DE MEDECINE: GASTRO-ENTEROLOGIE , LUX G , MATEK W , Vigot , 01/03/1995 , 616.3/LUX
Type Ouvrage
Titre CHECKLISTS DE MEDECINE: GASTRO-ENTEROLOGIE
Auteurs LUX G , MATEK W
Source Vigot
Date de parution 01/03/1995
Cote 616.3/LUX
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Ouvrage
PATHOLOGIE MEDICALE: Gastro-entérologie, Hépatologie, Hématologie Tome 4 , BOUVENOT G, DEVULDER B , MASSON , 01/10/1995 , 616.3/BOU
Type Ouvrage
Titre PATHOLOGIE MEDICALE: Gastro-entérologie, Hépatologie, Hématologie Tome 4
Auteurs BOUVENOT G, DEVULDER B
Source MASSON
Date de parution 01/10/1995
Cote 616.3/BOU
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Ouvrage
Diarrhées constipations et douleurs abdominales de l'enfant , MAURAGE C , Doin , 22/09/1999 , 616.3/MAU
Type Ouvrage
Titre Diarrhées constipations et douleurs abdominales de l'enfant
Auteurs MAURAGE C
Source Doin
Date de parution 22/09/1999
Cote 616.3/MAU
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Ouvrage
Gastro-entérologie : Soins infirmiers , PERLEMUTER G, GUIMBAUD R , MASSON , 18/08/2005 , 616.3/PER
Type Ouvrage
Titre Gastro-entérologie : Soins infirmiers
Auteurs PERLEMUTER G, GUIMBAUD R
Source MASSON
Date de parution 18/08/2005
Cote 616.3/PER
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Article
L’aspirine pourrait devenir un traitement ciblé du cancer colorectal , Quotidien du médecin (Le) , Nguyen Véronique , 25/10/2012
Type Article
Titre L’aspirine pourrait devenir un traitement ciblé du cancer colorectal
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Nguyen Véronique
Date de parution 25/10/2012
Commentaire La prise régulière d’aspirine après le diagnostic du cancer colorectal est associée à une survie plus longue chez les patients ayant un cancer avec mutation PIK3CA, a la différence de ceux ayant un cancer sans mutation PIK3CA. Si ces résultats sont confirmés dans de larges études prospectives, la mutation PIK3CA dans le cancer colorectal pourrait procurer un biomarqueur utile pour décider de l’intérêt du traitement adjuvant par aspirine. LE CANCER colorectal constitue la seconde cause de mortalité par cancer en France. La prise régulière d’aspirine après le diagnostic du cancer colorectal a été associée à une baisse de la mortalité dans plusieurs études. Ainsi, dans l’étude prospective de Chan et coll. (1?239 patients ayant un stade 1, 2 ou 3), l’aspirine est associée à une baisse de 29 % de la mortalité par cancer colorectal (« JAMA », 2009). Une sous-analyse précisait que le bénéfice de l’aspirine était confiné aux patients ayant un cancer surexprimant la PTGS2 (prostaglandine-endopéroxide synthase) mesurée par méthode immunohistochimique. Toutefois, vu la difficulté à standardiser un test immunohistochimique de la PTGS2, d’autres biomarqueurs sont nécessaires pour identifier les patients pouvant bénéficier d’une thérapie adjuvante par aspirine. Une étude de Liao et coll. rapporte maintenant l’identification d’un biomarqueur potentiel : la mutation PIK3CA dans le cancer colorectal. Les chercheurs savaient que des mutations du gène PIK3CA (gène encodant la sous-unité active de la PI3K ou phosphatidylinositol-3-kinase) majorant l’activité PI3K sont présentes dans 15 à 20 % des cancers colorectaux?; ces mutations, en augmentant l’activité de la PTGS2 (prostaglandine-endopéroxide synthase), inhibent l’apoptose des cellules cancéreuses. Or l’aspirine pourrait supprimer la croissance des cellules cancéreuses et induire leur apoptose en inhibant la PTGS2 et bloquant de ce fait la voie PI3K. Liao et coll. ont donc émis l’hypothèse selon laquelle que des mutations PIK3CA acquises somatiquement dans la tumeur pourraient influencer l’effet de la thérapie adjuvante par aspirine. Pour tester cette hypothèse, ils ont analysé les données portant sur 964 patients atteints de cancer colorectal enrôlés dans deux études de cohortes prospectives (enrôlés en 1976 dans la Nurses’ Health Study et en 1986 dans la Health Professionals Follow-up Study). Ces données comprenaient notamment la prise ou non d’aspirine après le diagnostic, et la présence ou absence de mutation PIK3CA dans la tumeur. Leurs résultats montrent que chez les patients ayant un cancer avec mutation PIK3CA, la prise d’aspirine après le diagnostic est associée à une réduction de 46 % de la mortalité globale et une réduction de 82 % de la mortalité par cancer colorectal. En revanche, chez les patients ayant un cancer sans mutation PIK3CA, la prise d’aspirine n’affecte pas la mortalité globale ou la mortalité par cancer colorectal. Cette association apparaît indépendante de la prise d’aspirine avant le diagnostic. L’effet le plus important de la prise d’aspirine est observé chez les patients dont les tumeurs hébergent à la fois la mutation PIK3CA et l’expression PTGS2. « Bien que ces résultats soient intéressants et intrigants, ils doivent être considérés comme préliminaires et devront être confirmés dans des études prospectives », estime dans un éditorial le Dr Boris Pasche (Université d’Alabama à Birmingham). Si ces résultats sont confirmés, la mutation PIK3CA dans le cancer colorectal deviendra un biomarqueur utile pour guider le traitement adjuvant. « Puisque plus d’une tumeur colorectale sur six héberge des mutations PIK3CA, l’emploi ciblé de l’aspirine adjuvante pourrait avoir un effet majeur sur le traitement du cancer colorectal. L’aspirine pourrait bien devenir l’un des plus vieux médicaments à être utilisé comme une thérapie ciblée du XXIe siècle », note le Dr Pasche.
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N° Revue
Cancer colorectal et parcours de soins , Revue de l'infirmière , 181 , 01/05/2012
Type N° Revue
Titre Cancer colorectal et parcours de soins
Source Revue de l'infirmière
181
Date de parution 01/05/2012
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Article
Les hépato-gastro-entérologues se mobilisent , Quotidien du médecin (Le) , COINTE C , 22/03/2011
Type Article
Titre Les hépato-gastro-entérologues se mobilisent
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs COINTE C
Date de parution 22/03/2011
Commentaire LE CANCER colorectal tue 17 400 patients par an, soit un Boeing qui s’écrase par semaine. Un fléau qui motive le gouvernement, qui a lancé une campagne pour le dépistage (« le Quotidien » du 3 mars) mais aussi sociétés savantes. Le 29 mars, le Club de réflexion des cabinets et groupes d’hépato-gastro-entérologues (CREGG) et la Société française d’endoscopie digestive (SFED) proposent des consultations gratuites, sur rendez-vous, et des réunions d’information sur la prévention du cancer colo-rectal*. But de l’opération ? Sensibiliser le grand public et particulièrement les personnes à risque élevé, comme l’explique le Dr Jean-Christophe Létard (voir ci-dessous). Les médecins communiqueront également sur la prévention des cancers oeso-gastro-duodénaux, responsables de 10 000 décès annuels. Déterminer son propre niveau de risque. Les salles d’attente des établissements hospitaliers et cabinets médicaux qui participent à l’opération affichent actuellement un questionnaire. Le document sensibilise les sujets à risque élevé, ciblés pour une coloscopie : un parent proche au 1er degré qui a eu un cancer du colon ou a été suivi pour des polypes, un antécédent de cancer du colon ou de polypes du colon, une maladie inflammatoire, la présence de sang dans les selles ou sur le papier toilette, des modifications inhabituelles et persistantes du transit, des douleurs abdominales récentes, prolongées et inexpliquées, une anémie inexpliquée par carence en fer découverte par le médecin généraliste. Au total, 10 % des plus de 50 ans sont concernés. Pour eux, l’Hémoccult est inapproprié. Pour garder un colon intact. Selon les experts, pour abaisser la mortalité du cancer colo-rectal par deux, il faudrait augmenter le nombre de coloscopies de 30 %. Elles restent l’acte le plus fiable pour détecter un cancer du colon ou un polype. Chaque année, environ 1 million de coloscopies permettent d’enlever des polypes chez un tiers des patients opérés. « Quatre-vingt pour cent des lésions diagnostiquées font moins de 1 cm », avance le Dr Jean-Marc Canard, membre du CREGG et ancien président de la Société française d’endoscopie digestive, qui insiste sur l’impact d’une colectomie chez un patient non diagnostiqué à temps. Cette journée de prévention n’a pas encore un large impact, faute de participants. En 2010, environ 250 gastro-entérologues ont participé à l’opération, sur 3?200 en exercice. Le 29 mars prochain, les organisateurs espèrent augmenter la mobilisation de leurs confrères.
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