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Ouvrage
L'INFIRMIERE AUJOURD'HUI - ET DEMAIN? Questions de formation, d'identité, évolutions et perspectives , PETRUS-KRUPSY M , Seli arslan , 18/11/2020 , 610.73Pro/PET
Type Ouvrage
Titre L'INFIRMIERE AUJOURD'HUI - ET DEMAIN? Questions de formation, d'identité, évolutions et perspectives
Auteurs PETRUS-KRUPSY M
Source Seli arslan
Date de parution 18/11/2020
Cote 610.73Pro/PET
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N° Revue
Évolution des métiers de la santé : coopérations entre professionnels , Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP) , 70 , 01/03/2010 , https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=110
Type N° Revue
Titre Évolution des métiers de la santé : coopérations entre professionnels
Source Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP)
70
Date de parution 01/03/2010
URL https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=110
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Ouvrage
Age, générations et contrat social - L'Etat-providence face aux changements démographiques. Les cahiers de l'INED , Véron Jacques , INED , 8/04/2004 , 310.VER
Type Ouvrage
Titre Age, générations et contrat social - L'Etat-providence face aux changements démographiques. Les cahiers de l'INED
Auteurs Véron Jacques
Source INED
Date de parution 8/04/2004
Cote 310.VER
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Dossier thématique
L’HÔPITAL DE DEMAIN VU PAR LES MÉDECINS , Gestions hospitalières , 01/10/2016 , MEDECIN / DEMOGRAPHIE / ORGANISATION / MANAGEMENT / GHT (GROUPEMENT HOSPITALIER DE TERRITOIRE)
Type Dossier thématique
Titre L’HÔPITAL DE DEMAIN VU PAR LES MÉDECINS
Source Gestions hospitalières
Date de parution 01/10/2016
Mots-clés MEDECIN / DEMOGRAPHIE / ORGANISATION / MANAGEMENT / GHT (GROUPEMENT HOSPITALIER DE TERRITOIRE)
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Dossier thématique
L’HÔPITAL AU RAPPORT 2015 , Gestions hospitalières , 01/10/2015 , RAPPORT / HOPITAL / DEMOGRAPHIE / DGOS / T2A - TARIFICATION A L'ACTIVITE
Type Dossier thématique
Titre L’HÔPITAL AU RAPPORT 2015
Source Gestions hospitalières
Date de parution 01/10/2015
Mots-clés RAPPORT / HOPITAL / DEMOGRAPHIE / DGOS / T2A - TARIFICATION A L'ACTIVITE
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Ouvrage
La santé à travers les sciences humaines et sociales , HOUTAUD D', A , MASSON , 1999 , 301/HOU
Type Ouvrage
Titre La santé à travers les sciences humaines et sociales
Auteurs HOUTAUD D', A
Source MASSON
Date de parution 1999
Cote 301/HOU
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Article
L’espérance de vie des Français reste parmi les meilleures d’Europe... avec des inégalités , Quotidien du médecin (Le) , 13/02/2015
Type Article
Titre L’espérance de vie des Français reste parmi les meilleures d’Europe... avec des inégalités
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 13/02/2015
Commentaire L’état de santé des Français est « favorable » dans l’ensemble, malgré des disparités sociales, territoriales et environnementales, selon la 6e édition du rapport de la direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques (DREES), rédigé en s’appuyant sur 200 indicateurs, et avec l’aide de 19 structures françaises dont l’InVS, l’INSERM, l’INCa, la DGS et l’Agence de biomédecine. Même si les Français souffrent plus qu’avant de pathologies chroniques, et d’incapacité fonctionnelle liée au vieillissement de la population, ils vivent plus longtemps. « L’espérance de vie à 65 ans est toujours parmi les plus élevées en Europe, tant pour les femmes que pour les hommes », note la DREES. Des disparités selon le genre Pas de surprise : les femmes ont globalement une meilleure espérance de vie que les hommes. En 2014, celle-ci était de 85,4 ans pour les femmes, contre 79,2 ans pour les hommes, une différence de 6,2 années. L’écart s’est comblé en 20 ans, puisqu’il était de 8,2 années en 1994. Les auteurs du rapport notent également une différence de causes de mortalité entre les hommes et les femmes. Les maladies de l’appareil respiratoire correspondent aux premières causes de décès chez les femmes, juste devant les tumeurs, et inversement chez l’homme. Enfin, les chercheurs rapportent une consommation d’alcool et de drogues illicites déséquilibrée entre les deux sexes, à savoir : l’homme consomme quotidiennement trois fois plus d’alcool que la femme. Des disparités sociales « Tous les indicateurs, que ce soit l’état général de santé déclaré, la mortalité, la mortalité prématurée, l’espérance de vie, la morbidité déclarée ou mesurée, ou le recours aux soins, font apparaître un gradient selon la catégorie professionnelle ou le niveau d’études », expliquent les auteurs. La population la moins favorisée, aux revenus faibles et peu diplômée, cumule plusieurs facteurs de risques pour la santé. Ainsi, l’écart d’espérance de vie à 35 ans, entre cadres et ouvriers, diffère de 6,3 ans pour les hommes et 3 ans pour les femmes. Autre exemple de disparité : L’obésité chez les enfants et adolescents est estimée à 4,5 % dans les familles ouvrières et 1,2 % chez les familles de cadres. Les disparités socio-économiques auraient également un retentissement sur la participation au dépistage des cancers. Par exemple, les femmes avec un niveau d’études et de revenus faibles sont moins enclines que les autres à réaliser un dépistage du cancer du sein. « Il est probable que d’autres indicateurs de santé pourraient également témoigner de ces inégalités mais les informations sociales sont souvent absentes des systèmes d’information en santé même si cette situation, soulignée dans différents rapports du Haut Conseil de santé publique (HCSP), connaît une certaine évolution », souligne la DREES. Des disparités territoriales « Disparités territoriales et sociales sont étroitement liées : les inégalités sociales constituent un déterminant important des inégalités territoriales de santé, du fait de la variabilité des catégories sociales au sein d’un territoire », expliquent les auteurs, qui s’appuient sur les chiffres enregistrés dans les Départements d’Outre Mer (DOM) pour illustrer ces inégalités. La mortalité infantile y est de 5 points supérieure à celle de la métropole. La mortinalité périnatale et néonatale, la prématurité ainsi que les petits poids de naissance sont aussi plus élevés dans les DOM. Des efforts à poursuivre contre les maladies nosocomiales La dernière enquête ENEIS sur les événements iatrogènes en cours d’hospitalisation, réalisée en 2009, confirme une stabilité de la fréquence des événements indésirables graves (EIG). Elle rapporte 6 EIG pour 1 000 journées d’hospitalisation. « Au cours de la même période, plusieurs modifications, de nature à accroître le nombre d’EIG, sont intervenues, notamment l’augmentation de l’âge moyen des patients hospitalisés et de la complexité technique des actes et des prises en charge », notent les auteurs. Des progrès ont été réalisés, « suggérant un impact positif des programmes de lutte contre les infections nosocomiales », mais les efforts doivent se poursuivre.
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Article
Démographie : le défi du vieillissement , Sciences humaines , 12/2011
Type Article
Titre Démographie : le défi du vieillissement
Source Sciences humaines
Date de parution 12/2011
Commentaire L’Europe des 27 a franchi en 2009 le cap des 500 millions d’habitants. Elle connaît un vieillissement durable qui devrait s’accentuer. Cependant, une natalité en léger rebond depuis une décennie et une immigration régulière redonnent du souffle à sa démographie, notamment dans les pays du Nord-Ouest. L'Europe du papy-boom Chute de la natalité, allongement continu de l’espérance de vie, arrivée à la retraite des générations baby-boom, tous ces facteurs concourent au vieillissement de la population européenne. Aujourd’hui, deux Européens sur trois ont entre 15 et 64 ans. Un sur six a plus de 65 ans, âge auquel on ne fait généralement plus partie de la population active. Dans cinquante ans, cette part aura doublé?: près d’un tiers des Européens aura plus de 65 ans. Le vieillissement ne touche cependant pas uniformément tous les États membres?: il est aigu en Allemagne et en Europe du Sud (Italie, Portugal, Grèce…), mais moins marqué dans les pays de l’Ouest et du Nord. Natalité, vers la fin du déclin Depuis le milieu des années 1960, la fécondité européenne est en chute drastique. Le nombre moyen d’enfants par femme (l’indice de fécondité) de l’Union à 25 est passé de 2,72 en 1964 à 1,42 en 1999. Mais après trente années d’hiver démographique, la natalité européenne semble connaître un relatif printemps. Depuis une dizaine d’années, l’indice de fécondité s’est stabilisé autour de 1,5 et le taux de natalité dans l’Europe à 27 est passé de 10,6 à 10,9 pour 1?000 entre 2000 et 2008. L'immigration, moteur de la démographie européenne Depuis la fin des années 1990, l’immigration est le moteur de la croissance démographique de l’Union. Entre 2002 et 2008, le solde migratoire de l’Union (les immigrations moins les émigrations) est positif de 12,6 millions d’habitants, soit davantage que la population de la Grèce. Le solde migratoire contribue aujourd’hui à près de 80?% de la croissance démographique, contre seulement 20?% pour le solde naturel (les naissances moins les décès).
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Dossier thématique
Statistiques sanitaires mondiales 2013 , Organisation Mondiale de la Santé (OMS) , 01/2014 , ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE / SANTE PUBLIQUE / DEMOGRAPHIE / ESPERANCE DE VIE
Type Dossier thématique
Titre Statistiques sanitaires mondiales 2013
Source Organisation Mondiale de la Santé (OMS)
Date de parution 01/2014
Mots-clés ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTE / SANTE PUBLIQUE / DEMOGRAPHIE / ESPERANCE DE VIE
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Article
« Mangez des insectes » plaide l’ONU dans une campagne sur la sécurité alimentaire , Quotidien du médecin (Le) , AFP , 13/05/2013
Type Article
Titre « Mangez des insectes » plaide l’ONU dans une campagne sur la sécurité alimentaire
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs AFP
Date de parution 13/05/2013
Commentaire Élément nutritionnel peu cher, écologique et de surcroît... « délicieux ». La FAO lance ce lundi un programme pour encourager l’élevage à grande échelle des insectes. Deux milliards d’êtres humains, dans les cultures traditionnelles, en consomment déjà, mais le potentiel de consommation est bien plus vaste, juge l’agence l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture. « Notre message est : mangez des insectes, les insectes sont en abondance, ils sont une source riche en protéines et en minéraux », a plaidé Eva Ursula Müller, directrice du département des politiques économiques des forêts, en présentant un rapport (disponible en ligne) à l’occasion d’une conférence sur les forêts au service de la sécurité alimentaire et de la nutrition qui se déroule à Rome (13 au 15 mai). Les milliards d’insectes, qui se reproduisent sans cesse sur terre, dans l’air et dans les eaux, « présentent des taux de croissance et de conversion alimentaire élevés et ont un faible impact sur l’environnement pendant tout leur cycle de vie », ont relevé les experts. Selon leurs calculs, quelque 900 espèces d’insectes sont comestibles. Teneur élevée en protéines, matières grasses et minéraux À la FAO, on énumère les avantages d’une production d’insectes à grande échelle : ainsi deux kilogrammes d’aliments sont nécessaires pour produire un kilogramme d’insectes, tandis que les bovins en exigent 8 kilogrammes pour produire 1 kilogramme de viande. En outre, les insectes « sont nutritifs, avec une teneur élevée en protéines, matières grasses et minéraux » et « peuvent être consommés entiers ou réduit en poudre ou pâte et incorporés à d’autres aliments ». L’élevage des insectes est facile car il peut se faire à partir des déchets organiques comme par exemple les déchets alimentaires, et aussi à partir de compost et de lisier.Les insectes sont très écolo-compatibles: ces « messieurs propres » de la nature utilisent moins d’eau et produisent moins de gaz à effet de serre que le bétail. La consommation d’insectes, qui porte le nom savant d’entomophagie, est déjà répandue depuis toujours dans les cultures traditionnelles de certaines régions d’Afrique, d’Asie et d’Amérique Latine. « Un tiers de la population mondiale mange des insectes, et c’est parce qu’ils sont délicieux et nutritifs », a plaidé Eva Ursula Müller. « Des insectes sont en vente sur les marchés de Kinshasa, sur ceux de Thaïlande ou encore du Chiapas au Mexique, et ils commencent à apparaître dans les menus de restaurants en Europe », a-t-elle fait valoir. Une des bases de la médecine traditionnelle Certains éleveurs sur divers continents ont d’ailleurs su comprendre très tôt l’avantage à en tirer : ils ont commencé à utiliser les insectes comme ingrédients alimentaires, notamment pour l’aquaculture et l’élevage de volailles. Selon Mme Müller, ils apportent en fait bien plus que de la simple nourriture. Ils sont utilisés aussi pour la colorer et forment une des bases de la médecine traditionnelle dans de nombreux pays. Pour assurer la nutrition des animaux, les insectes sont susceptibles d’offrir un complément aux autres ressources utilisées comme le soja et les farines de poisson. Gabril Tchango, ministre des forêts du Gabon, pays forestier d’Afrique centrale, a vanté la consommation d’insectes qui « fait partie de la vie quotidienne »: « les termites grillés sont considérés comme des mets de choix de nos forêts », a-t-il déclaré à la tribune de la FAO, en estimant que les insectes, toutes catégories confondues, contribuent à environ 10% des protéines animales consommées par la population gabonaise. 9 milliards d’individus nourris aux insectes en 2030 Selon la FAO, « d’ici 2030, plus de 9 milliards de personnes devront être nourries, tout comme les milliards d’animaux élevés chaque année » pour satisfaire divers besoins, au moment où « la pollution des sols et de l’eau dus à la production animale intensive et le surpâturage conduisent à la dégradation des forêts ». Autre argument en faveur de l’élevage des insectes: ils « peuvent être récoltés à l’état naturel, cultivés, transformés et vendus par les plus pauvres de la société, comme les femmes et les paysans sans terre. Les insectes peuvent être collectés directement et facilement à l’état naturel. Les dépenses ou investissements exigés pour la récolte sont minimes ».
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