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Article
Pour sensibiliser aux violences conjugales , Quotidien du médecin (Le) , 23/11/2012
Type Article
Titre Pour sensibiliser aux violences conjugales
Source Quotidien du médecin (Le)
Date de parution 23/11/2012
Commentaire À l’occasion de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes, le 25 novembre prochain, un film réalisé à l’initiative de la Fédération nationale solidarité femmes (FNSF) sera diffusé sur plusieurs médias*. L’occasion de mobiliser le grand public, mais aussi les professionnels de santé pour accompagner les femmes dans leurs démarches vers la sortie de la violence. Physiques, verbales, sexuelles, économiques (privation de ressources, interdiction de travailler...) ou administratives (confiscation des papiers...), les violences faites aux femmes peuvent revêtir différentes formes. Depuis 40 ans, la Fédération nationale solidarité Femmes (FNSF) accompagne ces dernières dans leurs multiples démarches pour sortir de leur situation et se reconstruire, petit à petit. Dans ce cadre, la fédération a notamment créé en 1992 Violences conjugales Info (le 3919), une plate-forme téléphonique (gratuite et anonyme depuis un téléphone fixe) d’écoute des femmes victimes de violences. Adossée à un réseau d’associations, cette dernière se compose d’une équipe pluridisciplinaire (assistantes de service social, conseillères familiales, psychologues, éducatrices, juristes...) chargée d’écouter et d’orienter les femmes vers des réponses (économiques, sociales, juridiques...) adaptées à leur situation. « Pour la majorité des femmes qui appellent le 3919, il s’agit d’un premier contact. Ces dernières verbalisent pour la première fois la violence qu’elles vivent. Certaines femmes appellent parfois pour des questions de mise en sécurité car elles se sentent en danger de mort. Nous pouvons parfois les orienter vers nos centres d’hébergement dédiés mais nous ne disposons que de 1 500 places sur le plan national, ce qui n’est pas suffisant pour accueillir toutes les femmes violentées en situation de danger extrême », souligne Françoise Brié, vice-présidente de la FNSF. Un million d’appels en vingt ans Le film, « Le souffle » met d’abord en scène plusieurs hommes faisant preuve de violences (verbale, physique, sexuelle...) et s’achève sur une femme qui souffle sur tous ces hommes pour les éloigner. « Cette femme souffle sur la violence pour donner de l’espoir à toutes les victimes. Elles soufflent sur une bougie : c’est aussi une manière, pour nous, de fêter les 20 ans d’existence du 3919 », note Françoise Brié. Depuis sa création, le 3919 a reçu un demi-million d’appels (entre 170 et 270 par jour, en 2011). Ils concernent en majorité les violences conjugales (76 %), la victime est le plus souvent une femme et l’auteur, un homme (96 %). Les appelantes ont entre 30 et 50 ans (47 %), travaillent (52 %) et ont au moins un enfant (86 %). Les violences psychologues (88 % des appels) et verbales (72 %) (injures, harcèlement menaces) restent très importantes. Les violences physiques (79 %), quant à elles, peuvent avoir des conséquences graves : en 2011, 2 374 victimes déclarent avoir eu une atteinte physique temporaire (contusion, brûlure, fracture, trouble sensoriel...) et 140, une atteinte définitive (maladie chronique, perte partielle de l’audition, handicap). Repérer les patientes victimes de violences « Les médecins doivent être davantage sensibilisés aux violences faites aux femmes : ils doivent apprendre à repérer ces patientes en consultation en leur posant des questions appropriées, à les orienter vers les services adéquats. Mais aussi, à rédiger correctement les certificats médicaux : cela accélère et facilite les suites judiciaires pour ces victimes. Nous pouvons aider les professionnels de santé à œuvrer dans ce sens en les formant au repérage et à la prise en charge des femmes victimes de violences. Nous avons déjà mené des formations, avec succès, dans les services d’urgences et les maternités de Colombes (92), de Dijon et de Marseille », indique Maryvonne Bin-Heng, présidente de la FNSF. Outre, la sensibilisation des professionnels de santé, la FNSF demande au gouvernement davantage de moyens financiers, de centres d’accueils dédiés, une politique plus efficace contre les violences faites aux femmes. Et milite, enfin, pour que le 3919 puisse être accessible aux victimes 7 jours sur 7, 24 heures sur 24.
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Article
Le téléphone portable, nouvel objet transitionnel ? , Soins pédiatrie puériculture , 269 , 01/11/2012
Type Article
Titre Le téléphone portable, nouvel objet transitionnel ?
Source Soins pédiatrie puériculture
269
Date de parution 01/11/2012
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Article
Les pathologies rhumatismales de l’enfant , Soins pédiatrie puériculture , 269 , 01/11/2012
Type Article
Titre Les pathologies rhumatismales de l’enfant
Source Soins pédiatrie puériculture
269
Date de parution 01/11/2012
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Article
Les difficultés diagnostiques en rhumatologie pédiatrique , Soins pédiatrie puériculture , 269 , 01/11/2012
Type Article
Titre Les difficultés diagnostiques en rhumatologie pédiatrique
Source Soins pédiatrie puériculture
269
Date de parution 01/11/2012
Commentaire Les pathologies rhumatismales pédiatriques sont souvent de diagnostic délicat et demandent une attention particulière sur un ensemble de symptômes pour en distinguer les formes et les traiter au mieux Une prise en charge globale et pluridisciplinaire est nécessaire auprès de l’enfant et de sa famille Entretien avec Alexandre Belot, rhumatologue dans le service de pédiatrie de l’Hôpital femme-mère-enfant, au CHU de Lyon (69).
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Article
La somnolence affecte 1 personne sur 5 , Quotidien du médecin (Le) , Hasendahl S , 20/11/2012
Type Article
Titre La somnolence affecte 1 personne sur 5
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Hasendahl S
Date de parution 20/11/2012
Commentaire L’épidémiologie des troubles du sommeil est un champ relativement jeune, par rapport aux autres disciplines de la médecine », indique Maurice M. Ohayon, directeur du centre de recherche sur l’épidémiologie du sommeil à Stanford (USA). Le « Bulletin épidémiologique hebdomadaire » lui consacre un numéro spécial. L’UNE DES premières études modernes sur l’épidémiologie des troubles du sommeil date de 1979. Plus de trente ans après, cette discipline a progressé « lentement mais sûrement », se félicite Maurice Ohayon (Stanford University) dans l’éditorial du « Bulletin épidémiologique hebdomadaire » (BEH). Faute de consensus sur la manière de définir l’insomnie en population générale, les chiffres de la prévalence de l’insomnie varient toutefois « grandement en fonction de la définition utilisée ». Dans l’étude présentée par François Beck et co., l’insomnie y est définie en termes de fréquence et de sévérité « et au bout du compte, cela fournit un estimé beaucoup plus près de la réalité du nombre d’individus susceptibles de bénéficier d’un traitement pharmacologique et/ou comportemental », constate Maurice Ohayon. À partir du baromètre santé 2010 sur la population générale (portant sur 27 653 individus de 15-85 ans), les auteurs de l’étude ont calculé le temps de sommeil moyen de cette tranche d’âge à 7h13, sachant qu’il est plus élevé pour les femmes que pour les hommes (7h18 contre 7h07). Insomnie chronique. Les personnes présentant une insomnie chronique représentent 15,8 % des 15-85 ans : 19,3 % des femmes et 11,9 % des hommes. La part d’insomnie chronique est stable avec l’âge parmi les femmes tandis qu’elle augmente chez les hommes, de 3 % à 15-19 ans à 18 % à 45-54 ans, avant de diminuer à 8 % au-delà de 65 ans. « Avec un niveau de prévalence de l’insomnie chronique élevé, un temps de sommeil moyen en baisse par rapport à 1995, la mise en œuvre d’actions de prévention et d’éducation à la santé visant à aider la population à préserver un sommeil de qualité apparaît particulièrement opportune », concluent les auteurs. La fréquence des troubles du sommeil, fatigue et somnolence, est également notable comme le montre l’étude de Claire Gourier-Fréry et co. À partir de l’Enquête santé protection sociale (réalisée en 2008 auprès de 12 636 personnes de 16 ans et plus), les auteurs indiquent qu’une personne sur 5 (19 %) présente des symptômes d’insomnie chronique accompagnés de perturbations diurnes (ICPD). La prévalence est plus forte chez les femmes que chez les hommes (22,2 % contre 15,4 %). Elle augmente avec l’âge jusqu’à la classe des 45-54 ans puis diminue légèrement : en effet, après 55 ans, les perturbations du sommeil sont fréquemment déclarées sans retentissement diurne. La fréquence d’un retentissement diurne est maximale entre 25 et 55 ans. Une prise en charge insuffisante. La prise en charge de l’insomnie chronique reste cependant insuffisante en France : moins d’un tiers (27,5 %) des individus manifestant une ICPD a déjà consulté pour leurs problèmes de sommeil. Une personne avec ICPD sur 5 (1 sur 2 après 75 ans) déclare prendre de façon habituelle des médicaments pour dormir, des benzodiazépines ou apparenté dans 82 % des cas « bien que ces thérapeutiques soient déconseillées au long cours ». Les symptômes évocateurs de syndrome d’apnées-hypopnées du sommeil (SE-SAHOS), quoique fréquents, sont également sous-explorés en France (Claire Fuhrman et co.). « Un autre point essentiel en médecine du sommeil est celui de la norme », explique Maurice Ohayon. « Nous tenons tous pour acquis qu’une quantité de sommeil de 8 heures est ce qui est nécessaire à un individu pour être reposé au réveil et fonctionner de manière optimale. D’où vient cette norme ? En réalité, les études polysomnographiques chez l’adulte sain montrent que la norme est plutôt d’environ 7 heures de sommeil ». En ce qui concerne les adolescents, l’étude de Damien Léger et co. indique que, malgré le besoin, le temps de sommeil habituel diminue avec l’âge pour devenir très court à 15 ans, créant tout au long de l’adolescence « une dette de sommeil de plus en plus fréquente ». Selon les données 2010 du volet français de l’étude internationale « Health behaviour in school aged children » ( sur 9 251 élèves de 11 à 15 ans), la dette de sommeil passe de 16 % des 11 ans à 40,5 % des 15 ans. Le sommeil court (< 7 heures) concerne quant à lui 2,6 % des jeunes de 11 ans à 24,6 % des jeunes de 15 ans. L’influence des nouvelles technologies sur la réduction du temps de sommeil (moins 45 minutes sur le temps total de sommeil) « peut jouer un rôle important dans la réussite scolaire », souligne Maurice Ohayon.
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Chutes de la personne âgée , Objectif Soins & Management , 01/11/2012
Type Article
Titre Chutes de la personne âgée
Source Objectif Soins & Management
Date de parution 01/11/2012
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Article
L'endettement des hôpitayux publics facteur d'inquiétude ? , Objectif Soins & Management , 210 , 01/11/2012
Type Article
Titre L'endettement des hôpitayux publics facteur d'inquiétude ?
Source Objectif Soins & Management
210
Date de parution 01/11/2012
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Article
Bienvenue dans l'ère de la fraude intellectuelle , Sciences humaines , Molénat X , 01/12/2012
Type Article
Titre Bienvenue dans l'ère de la fraude intellectuelle
Source Sciences humaines
Auteurs Molénat X
Date de parution 01/12/2012
Commentaire Plagiats, truquages de données, inventions de citations…La vie intellectuelle a connu son lot de scandales en 2012. La course au succès ferait-elle tourner les têtes?? Année 2012, année noire pour la psychologie sociale. Qu’on en juge?: au moins trois psychologues ont dû démissionner après que les établissements universitaires ont ouvert des enquêtes internes sur certaines de leurs publications. Ces investigations démontraient que les données sur lesquelles reposaient ces articles scientifiques avaient été manipulées, qu’elles aient été simplement retouchées pour produire des résultats plus probants ou bien totalement inventées?! ? La psychologie sociale n’a pas été la seule touchée. Les «?publicistes?» américains, ces intellectuels renommés et écoutés cumulant titres universitaires et interventions multiformes dans la sphère médiatique (1), ont dû eux aussi balayer devant leur porte. Pas de trafic de données ici, mais des fautes intellectuelles rédhibitoires?: invention de fausses citations, plagiat, et distorsion de faits. Les carrières des publicistes concernés ne sont pas interrompues, mais leur réputation est sérieusement écornée?: aux États-Unis, on ne plaisante pas avec l’intégrité intellectuelle… ? Simple «?loi des séries?» révélant les pratiques répréhensibles de quelques brebis galeuses?? Cette interprétation rassurante est malheureusement battue en brèche par de nombreux commentateurs. Pour beaucoup, les pratiques injustifiables des psychologues révèlent que l’idée selon laquelle «?la science s’autocorrige?» (par les critiques croisées entre spécialistes) n’est dans l’état actuel qu’un mythe?: les articles frauduleux avaient été validés avant publication par des relecteurs anonymes qui n’y ont vu que du feu. Ces pratiques n’avaient pas non plus été contestées a posteriori. D’où des appels, au sein de la profession, à répliquer de manière plus systématique les études les plus en vue afin de vérifier leur robustesse. Et à s’interroger sur la tendance, avérée, à ne publier que des résultats positifs, c’est-à-dire ceux où les données viennent confirmer l’hypothèse de départ (2). Au-delà, ce sont les évolutions structurelles de la recherche qui sont mises en cause?: la course aux crédits, liée à l’importance accrue du nombre de publications dans l’évaluation des chercheurs, ne peut qu’inciter les chercheurs sous pression à embellir leurs résultats…? ? Public speaking et happy few? Les affaires concernant les publicistes américains traduisent également, selon certains, une nouvelle économie du monde intellectuel. Une «?économie de superstars?», résume le professeur et blogueur Daniel W. Brezner (3), où quelques grands noms squattent les médias (magazines, blogs, Twitter) pour acquérir et entretenir une réputation. Réputation qui leur permet ensuite de publier des ouvrages à succès et de vendre à prix d’or des conférences (public speaking), réservées à un public de happy few. Avant que survienne l’affaire qui l’a concerné, une prestation de l’historien Niall Ferguson (sur des thèmes prédéfinis comme «?Les États-Unis sont-ils un empire???» ou «?La globalisation?: passé, présent et possibles futurs?») se négociait entre 50?000 et 75?000 dollars… ? On comprend mieux, dans cette économie où certains intellectuels deviennent de véritables marques, que le souci du vrai s’efface devant le besoin de raconter (beaucoup) de belles histoires. Et l’on comprend également l’énervement des universitaires qui voient ces publicistes jouer de leurs titres (N. Ferguson est professeur à Harvard, Fareed Zakaria a un doctorat) et en tirer des profits spectaculaires tout en violant l’éthique la plus élémentaire de la vie intellectuelle.? Psychologues contrefacteurs ou publicistes superstars ont néanmoins dû (ou devront) subir la puissance d’Internet?: les informations circulent et nombreux sont les blogueurs prompts à relever une corrélation hasardeuse ou un plagiat éhonté et faire connaître la moindre entorse à l’éthique. Les fraudeurs n’ont qu’à bien se tenir…
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Crise : quel impact sur les vacances ? , Sciences humaines , 243 , CHARTOIRE R , 01/12/2012
Type Article
Titre Crise : quel impact sur les vacances ?
Source Sciences humaines
243
Auteurs CHARTOIRE R
Date de parution 01/12/2012
Commentaire Aussi étonnant que cela paraisse, depuis le début de la crise en 2008, les Français partent plus en vacances?: leur taux de départ est passé de 52?% à 58?%. Il faut dire que 2008 représentait un point historiquement bas, les années 2000 ayant été marquées, sous le poids de la montée des dépenses dites «?contraintes?» (logement, téléphonie…) à la diminution de ce taux. Pour autant, la crise a quand même eu un impact sur leurs vacances. D’une part, ils sont de plus en plus nombreux à limiter leur budget consacré à ce poste de dépenses, en privilégiant par exemple les «?bons plans?», les départs dans la famille ou chez des amis (66?% des nuitées passées hors de son domicile durant les vacances), les voyages dans l’Hexagone (88?% des départs en 2001) et des durées plus courtes. Et surtout, ce sont les catégories modestes qui ont subi le plus fortement les effets de la crise. Ainsi, l’écart de taux de départ en vacances s’est creusé?; si les catégories aisées ont vu depuis 2008 leur taux de départ passer de 79?% à 82?%, celui des ménages pauvres est passé quant à lui de 42?% à 37?%. Les deux tiers de ces ménages pauvres ne partant pas mettent en avant, sans surprise, les difficultés financières rencontrées. Ce n’est cependant pas la seule explication?; ces ménages disposent aussi en moyenne d’un réseau relationnel moins dense et d’un taux de possession d’automobiles plus faible, deux facteurs qui, toutes choses égales par ailleurs, réduisent la possibilité de vacances à bas coût.
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Mariage homosexuel : le projet de loi ouvre une série de nouveaux droits, dont l'adoption , Editions ASH , 2783 , 16/11/2012
Type Article
Titre Mariage homosexuel : le projet de loi ouvre une série de nouveaux droits, dont l'adoption
Source Editions ASH
2783
Date de parution 16/11/2012
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