La dépression du sujet âgé demeure sous*diagnostiquée. Elle expose pourtant un risque suicidaire réel, comme une ultime tentative de maîtrise "pour être plus digne et plus fort que la mort".
Le soignant ne doit jamais cesser de reconnaître le sujet âgé comme un semblable et toujours lui permettre, jusqu'au bout, de vivre ce qui caractérise un être humain. Au-delà de la relation de soin, le lien essentiel qui relie deux personnes est notre condition humaine.