Les jeunes Maghrébins de France reçoivent de leurs parents une partie du patrimoine symbolique propre à leur culture d’origine. Selon quels modes cette passation s’opère-t-elle ? Comment cette transmission participe-t-elle à l’élaboration d’une identité composite où s’entremêlent les références selon un canevas personnel ? Comment peuvent se combiner fidélité à l’héritage et adhésion à la société cadre de vie ?