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N° Revue
Promouvoir la santé mentale de la population , SANTÉ EN ACTION (LA) , 439 , 01/03/2017 , http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf
Type N° Revue
Titre Promouvoir la santé mentale de la population
Source SANTÉ EN ACTION (LA)
439
Date de parution 01/03/2017
URL http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf
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N° Revue
Santé sexuelle : travailler en réseau, au plus près des populations , SANTÉ EN ACTION (LA) , 438 , 01/12/2016 , http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf
Type N° Revue
Titre Santé sexuelle : travailler en réseau, au plus près des populations
Source SANTÉ EN ACTION (LA)
438
Date de parution 01/12/2016
URL http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-438.pdf
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N° Revue
Les agences régionales de santé, un an après , Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP) , 74 , 01/03/2011 , https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=114
Type N° Revue
Titre Les agences régionales de santé, un an après
Source Actualité et Dossier en Santé Publique (ADSP)
74
Date de parution 01/03/2011
URL https://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Adsp?clef=114
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Dossier thématique
GESTION Data-Driven , Gestions hospitalières , 01/06/2017 , ILE DE FRANCE / PRECARITE / PMSI / HOSPITALISATION / CHU (CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE) / ECONOMIE DE LA SANTE
Type Dossier thématique
Titre GESTION Data-Driven
Source Gestions hospitalières
Date de parution 01/06/2017
Mots-clés ILE DE FRANCE / PRECARITE / PMSI / HOSPITALISATION / CHU (CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE) / ECONOMIE DE LA SANTE
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Dossier thématique
SANTÉ SEXUELLE : TRAVAILLER EN RÉSEAU, AU PLUS PRÈS DES POPULATIONS , SANTÉ EN ACTION (LA) , 01/12/2016 , EDUCATION SEXUELLE / DEPARTEMENT D'OUTRE MER / ILE DE FRANCE / CENTRE PETITE ENFANCE / VIOLENCE CONJUGALE / CENTRE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE
Type Dossier thématique
Titre SANTÉ SEXUELLE : TRAVAILLER EN RÉSEAU, AU PLUS PRÈS DES POPULATIONS
Source SANTÉ EN ACTION (LA)
Date de parution 01/12/2016
Mots-clés EDUCATION SEXUELLE / DEPARTEMENT D'OUTRE MER / ILE DE FRANCE / CENTRE PETITE ENFANCE / VIOLENCE CONJUGALE / CENTRE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE
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Article
Hôtel-Dieu : Martin Hirsch renonce au déménagement du siège , Le Monde , 05/12/2013
Type Article
Titre Hôtel-Dieu : Martin Hirsch renonce au déménagement du siège
Source Le Monde
Date de parution 05/12/2013
Commentaire C'est le dossier très politique de l'Hôtel-Dieu qui avait valu à sa prédécesseure, Mireille Faugère, son éviction de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) à quelques mois des élections municipales. C'est donc logiquement celui-ci que Martin Hirsch, nommé le 13 novembre en conseil des ministres à la tête du plus gros hôpital de France, a choisi de déminer le premier en promettant « un Hôtel-Dieu tout médical ». « Je veux que ce site ait une entière vocation hospitalière », affirme-t-il au Monde. Autrement dit, que « ce lieu formidable, en plein cœur de Paris », n'héberge pas « pour moitié les bureaux de la direction et pour moitié des structures médicales ». L'équipe précédente avait prévu de déménager le siège de l'institution, situé de l'autre côté de la Seine, juste à côté de l'Hôtel de Ville. Il n'en est plus question. Si Martin Hirsch souhaite pour le plus vieil hôpital de Paris « un projet médical ambitieux », il se veut pragmatique. Il ne s'agira pas d'un hôpital classique où l'on opère, mais d'une structure originale. Toutes les idées liées à la santé, dont la prévention, sont les bienvenues. Le projet défendu par l'équipe précédente – un hôpital universitaire de santé publique sans hospitalisation de patients – sera donc retravaillé et complété, mais cette fois « sans arrière-pensée immobilière », selon un document que Le Monde a pu consulter. La vente du prestigieux siège de l'avenue Victoria ne semble pour l'heure plus d'actualité. L'AP-HP doit pourtant financer le projet de reconversion de l'Hôtel-Dieu et bien d'autres encore, alors que le déficit global du groupe pour 2013 était estimé, en juin, à 70 millions d'euros (pour un budget d'environ 7 milliards). Depuis trois semaines, le tout nouveau patron a vu les syndicats, les professeurs de médecine et les politiques de tous bords, tous impliqués dans les débats houleux autour de l'avenir de l'Hôtel-Dieu. Pour affiner le projet, l'ancien haut-commissaire aux solidarités actives du gouvernement Fillon, et ancien directeur de cabinet de Bernard Kouchner au ministère de la santé s'engage à consulter les élus des arrondissements proches. Sur l'épineux dossier de la fermeture des urgences du vieil hôpital de l'Ile de la Cité, il a réussi à remettre tout le monde autour de la table. C'est leur récente transformation en un centre de consultations ouvert 24 heures sur 24 qui avait suscité le blocage, au point d'en faire un sujet de campagne pour les municipales. Ce n'est pas un retour en arrière qu'il a proposé, mais une reprise de la discussion, avec la participation notamment des professeurs Pierre Carli du SAMU de Paris et Bruno Riou de la Pitié-Salpêtrière. PRUDENCE Certes, les pompiers doivent toujours emmener leurs patients vers d'autres hôpitaux, mais des gages ont été donnés. Il a ainsi été décidé de rouvrir des « lits porte », pour accueillir les patients arrivés en urgence à l'Hôtel-Dieu et en attente d'un accueil dans un service de l'AP-HP, et de recruter quatre infirmières. Le Service mobile d'urgence et de réanimation (SMUR), lui, va être directement rattaché au SAMU de Paris. L'idée est par ailleurs de renforcer à l'avenir les autres services d'urgence parisiens. « M. Hirsch fait un exercice de corde raide très difficile », estime Loïc Capron, le président de la commission médicale d'établissement de l'AP-HP, qui s'était prononcé en faveur du projet de la précédente direction sur la fermeture des urgences. « Comment va-t-on financer la restauration de l'Hôtel-Dieu si on n'y met pas le siège ?, demande-t-il. J'attends de voir comment va faire M. Hirsch. A moins de recevoir des aides extérieures spécifiques, je ne connais pas le modèle financier. » « Si on ne vend plus le siège, cela veut dire que tout le projet de l'ancienne direction tombe », veut pour sa part comprendre le médecin urgentiste Gérald Kierzek, qui avait été démis de son poste de chef du SMUR début juillet pour avoir mené la fronde contre le projet de réorganisation. Il admet que les annonces du nouveau directeur « sont des signes positifs qui vont dans le bon sens » mais reste néanmoins circonspect. « Si ce n'est que ça, on ne va pas aller très loin. » La CGT Santé se félicite dans un communiqué de la « volonté d'ouverture et de dialogue » du nouveau directeur, ajoutant qu'« il y a loin de la coupe aux lèvres ». La prudence reste donc de mise.
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Article
Urgences de nuit dans l'hôpital privé de Seine-Saint-Denis , Le Monde , 28/11/2013
Type Article
Titre Urgences de nuit dans l'hôpital privé de Seine-Saint-Denis
Source Le Monde
Date de parution 28/11/2013
Commentaire Des hurlements venus de la salle d’attente déchirent la routine d’une garde de nuit aux urgences de l’Hôpital privé de Seine-Saint-Denis, situé sur les communes du Blanc-Mesnil et de Drancy. Il est 20h50, vendredi 8 novembre. Un homme d’une vingtaine d’années, soutenu par les deux amis qui l’ont amené, se tord de douleur. D’un coup d’œil, le Dr Amar Amrane a compris. Il l’emmène sans passer par la case « admissions » pour lui prodiguer les soins d’urgence. Une sorte de grosse ficelle blanche d’une trentaine de centimètres pendouille de son doigt, la chair à vif. C’est un tendon. Il a été arraché avec une partie de son annulaire. Victor, l’infirmier, lui installe une perfusion de morphine pour calmer la douleur avant de lui injecter un vaccin contre le tétanos. Le médecin urgentiste nettoie la plaie puis fait consciencieusement un petit tas du tendon avant d’emballer le tout par de la gaze protectrice imbibée de sérum puis une bande. « S’il est opéré dans les 6 heures, il pourra sauver son doigt », explique, serein, M. Amrane. Reste à lui trouver une place dans un établissement spécialisé dans la chirurgie de la main. La procédure normale veut qu’une personne arrivant aux urgences s’inscrive au secrétariat. En notant le motif de la venue aux urgences, Michèle prend la carte Vitale et vérifie l’adresse. C’est elle qui, à la sortie du patient, donnera l’ordonnance du médecin et éditera la facture du ticket modérateur (la partie des soins non prise en charge par l’Assurance-maladie). Le temps moyen écoulé entre ces deux passages au guichet a été, sur la semaine du lundi 4 au vendredi 8, de 1h29. Une grande fierté pour l’équipe d’urgentistes qui compte prochainement mettre en ligne la durée d’attente en temps quasi-réel. Un argument commercial ! Certes, le privé ne traite pas les mêmes urgences que le public. Le SAMU n’envoie quasiment personne dans cet établissement situé sur les communes du Blanc-Mesnil et de Drancy. Il n’a pas de service de réanimation. La police, elle, évite de déposer les poivrots agressifs et autres rescapés de bagarres qui compliquent souvent le travail des services d’urgences. « Il y a plus de patients dans les urgences d’Avicenne [l’hôpital public voisin, à Bobigny] mais également beaucoup plus de personnel », analyse Ertu Gungorvez, interne, qui fait régulièrement des gardes dans cet hôpital privé. « Ici, le travail est mieux organisé, mais surtout plus dense et plus rapide. » A 400 euros les douze heures, c’est aussi plus de deux fois mieux qu’une garde dans le public. Amar Amrane a quitté le public pour monter en 2007 une équipe d’urgentistes dans cet établissement appartenant à la Générale de santé. Il a triplé ses revenus, sans augmenter son temps de travail ni pratiquer le moindre dépassement d’honoraire. Avec ses trois associés, ils se sont organisés avec une escouade de médecins de garde pour faire tourner le service 365 jours par an avec, en permanence, deux médecins. Ils accueillent 70 patients par jour, en moyenne. Les urgences privées qui ne traiteraient que les petits « bobos » ou la chirurgie la plus rentable, c’est de l’histoire ancienne. Ce soir, une femme de 88 ans, arrivée en ambulance, s’avère souffrir d’une infection pulmonaire. Le traitement commence aux urgences, le temps qu’un bilan biologique soit fait. Elle sera hospitalisée dans la nuit dans le service de médecine de la clinique. Il est 21h30, la radio de cet homme de 24 ans, d’origine polonaise, arrivé une demi-heure plus tôt, révèle des poches de gaz dans l’abdomen (un pneumopéritoine). Il va falloir l’opérer rapidement. Le chirurgien de garde est appelé chez lui, en plein repas familial, tout comme l’anesthésiste. Un scanner est demandé pour préciser le diagnostic. 22h05, le chirurgien est dans le bureau du Dr. Amrane pour préparer l’intervention. Sur l’ordinateur des urgentistes, s’affichent les images du scanner et le compte rendu du radiologue : c’est un ulcère perforé. Ce travailleur immigré proteste. Il ne veut pas se faire opérer, de peur de devoir être arrêté trop longtemps. Mais le médecin le convainc qu’il n’a pas vraiment le choix. Babette, l’autre infirmière de garde, remet les vêtements du patients à la jeune femme qui l’accompagne et le « prépare » pour l’intervention. Faute de brancardier, c’est elle qui l’emmène au bloc opératoire. « On fait un peu tout ici », sourit Babette. Pendant tout ce temps, l’interne est resté pendu au téléphone. Le patient au doigt décapité se trouve être un immigré clandestin. Il ne bénéficie même pas de l’Aide médicale d’Etat pour laquelle une adresse et une justification de présence sur le territoire sont nécessaires. Une clinique privée spécialisée dans la chirurgie de la main n’en a pas voulu. L’hôpital Georges-Pompidou dit ne pas avoir de place, tandis que le téléphone sonne dans le vide à la Pitié-Salpêtrière. Les urgences de Saint-Antoine expliqueront que le bloc est pris par une fracture ouverte de la jambe… « Cela se voit que nous sommes à la veille d’un week-end de trois jours avec le 11-novembre », peste Amar Amrane. A tirer sans arrêt sur sa cigarette électronique en espérant oublier les deux paquets de Marlboro light qu’il grillait chaque jour jusqu’à cet été, il refuse de faire le procès des urgences dans le public. Mais on sent que ça le démange… Urgentiste parce qu’il a toujours voulu l’être, il va tenter d’expliquer la situation à ce clandestin, Egyptien, qui ne parle pas un mot de français. Pas plus que ses deux compères égarés dans le service, en nu-pieds alors que fraîchit cette nuit d’automne. « UNE QUESTION D’ARGENT » Cela fait un moment que la tension montait. Malgré la morphine, les hurlements n’ont pas cessé. Amar Amrane, nous assure qu’ils ne sont plus de douleur. D’un coup, l’homme se dresse sur son brancard et se lève, menaçant le médecin, droit dans les yeux. L’échange en arabe est bref mais très vif. Avec sa carrure imposante et ses quelques mots, le Dr Amrane parvient à le faire se rallonger. « Il m’accuse de refuser de l’opérer pour une question d’argent », traduit le médecin, dépité, avant de décrypter : « Il comprend qu’il risque de perdre son doigt. » « Ca y est ! » Ertu Gungorvez lui a trouvé une place au centre hospitalier de Saint-Quentin (Aisne). Soulagement… de courte durée. Aucun ambulancier n’acceptera d’emmener gratis un patient sur une telle distance. Le médecin se fait une nouvelle fois interprète et prend le téléphone qu’on lui tend pour expliquer à « un ami » qu’il faut de l’argent pour payer l’ambulance. Dans la salle d’attente, lasse d’attendre depuis plus d’une heure, une patiente venue pour une conjonctivite repart chez elle. Le jeune sportif, avec son arcade sourcilière explosée à l’entraînement de rugby sur le terrain du Blanc-Mesnil, aura attendu quarante minutes pour que quelqu’un lui pose ses cinq points de suture. Mocassins blancs, pantalon de cuir noir et gabardine légère, « l’ami » égyptien, le visage émacié, a l’assurance d’un homme qui sait négocier et décider. « On paiera, quel que soit le prix » ! Sauf que… d’argent, il n’en a point. Il est 23h15. Cela fait près de trente minutes que l’ambulance ronge son frein, le malade déjà embarqué avec sa perfusion et la radio de sa main. Un « cousin » providentiel arrive et fait le chèque de 750 euros. « Un prix d’ami, car le vrai tarif serait plutôt 1300 euros », assure le transporteur avant de filer dans la nuit, le GPS cap au nord. Le « cousin », lui, possède la carte Vitale et avait, plus tôt dans la soirée, proposé par téléphone de prêter son identité et sa couverture Assurance-maladie au blessé. Une tentative de fraude poliment rejetée par le médecin, malgré la pression du moment. « CE N’EST PAS AU PATIENT DE JUSTIFIER DE SON URGENCE » Le calme revient. Amar et Ertu peuvent discuter tranquillement du diagnostic porté sur cet homme souffreteux, né en 1928. Déposé deux heures plus tôt par une ambulance, il a une paralysie de la moitié gauche du visage. Le scanner ne montre rien. Après l’hypothèse d’un accident vasculaire cérébral, celle d’une tumeur auriculaire est évoquée. L’IRM qui permettrait de savoir ne peut être fait sur un patient muni d’une valve cardiaque mécanique. « On va l’hospitaliser et faire un scanner de contrôle dans 48 heures », décide l’interne. Le reste de la nuit sera sans incident. Entre un ouvrier boulanger, blessé à la main en déplaçant une étagère (quatre points de suture), et cette femme, venue pour un engourdissement du côté gauche, qui repartira rassurée avec sa fille. Un jeune de 21 ans, de la cité voisine des Tilleuls, se présente avec l’IRM que le Dr Amrane avait demandé il y a huit jours. C’est bien une histoire de ligaments croisés. Il repart avec une attelle, un rendez-vous à prendre chez un orthopédiste et une leçon de morale pour avoir continué à faire de la moto-cross malgré les mises en garde du médecin. Amar Amrane rejette le débat sur ces urgences qui seraient encombrées de pathologies non urgentes. « Un patient n’est pas en mesure de faire la différence entre une urgence ressentie et une véritable urgence médicale. Ce n’est pas à lui de justifier de son urgence, mais à moi d’adapter mon équipe médicale. »
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70 % des personnes travaillant en Ile-de-France se plaignent de « fatigue nerveuse » , Quotidien du médecin (Le) , Archimède L , 21/10/2013
Type Article
Titre 70 % des personnes travaillant en Ile-de-France se plaignent de « fatigue nerveuse »
Source Quotidien du médecin (Le)
Auteurs Archimède L
Date de parution 21/10/2013
Commentaire À l’occasion de la semaine européenne de la sécurité et santé au travail qui débute ce 21 octobre, l’Observatoire régional de santé (ORS Ile-de-France) publie les résultats de l’étude « Santé et travail des Franciliens », issus de l’exploitation régionale du Baromètre santé 2010 de l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES). Environ 40 % des Franciliens déclarent des conditions de travail avec des postures pénibles ou fatigantes et 15 % un temps de travail moyen hebdomadaire supérieur à 48 heures. Parmi les actifs, 36 % estiment avoir des difficultés à respecter les objectifs et les délais imposés par leur entreprise ou institution, et 22 % déclarent ne pas bénéficier d’un soutien satisfaisant dans les situations difficiles au travail. Près de 43,5 % rencontrent des situations de tension avec le public. « En Ile-de-France, la pression psychologique n’est pas significativement liée à l’âge, certainement par manque de puissance statistique. Cependant, les situations semblent se détériorer à mesure que l’âge augmente », soulignent Claire Sauvage et Nathalie Beltzer, auteurs de la synthèse. Pression psychologique Elles notent par ailleurs, que bien que les types d’emploi occupés en Ile-de-France et dans les autres régions ne soient pas les mêmes, « les situations de pression psychologique sont déclarées dans les mêmes proportions » par les Franciliens et les autres. Quant à leur état de santé lié au travail, 69,3 % des actifs occupés ressentent une fatigue nerveuse, 46,7 % une pénibilité physique et 26,7 % éprouvent des difficultés à s’endormir du fait de leur travail. En Ile-de-France, il n’y a pas de différence entre les hommes et les femmes, contrairement à ce qui est observé hors de l’Ile-de-France où les hommes sont plus nombreux à éprouver une fatigue physique que les femmes. L’Ile-de-France se caractérise par une proportion d’actifs hommes et femmes à déclarer une fatigue nerveuse plus élevée que dans les autres régions de France. Parmi les 829 actifs interrogés en 2010, 43,2 % indiquent que leurs conditions de travail n’ont pas changé depuis 5 ans, 28,6 % estimant qu’elles se sont dégradées, 28,2 % qu’elles se sont améliorées.
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Le référentiel de formation en soins infirmiers en Île-de-France , Revue de l'infirmière , 191 , 01/05/2013
Type Article
Titre Le référentiel de formation en soins infirmiers en Île-de-France
Source Revue de l'infirmière
191
Date de parution 01/05/2013
Commentaire En 2009, les changements induits par le référentiel de formation en soins infirmiers ont révolutionné le cursus des infirmiers. Des partenariats se sont organisés dès sa mise en œuvre. Un premier cycle de trois ans s’est achevé et l’expérience acquise ouvre une nouvelle phase pour approfondir la réflexion et renforcer les évolutions.
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Article
Enquête sur l'enseignement de l'éducation thérapeutique auprès de 30 instituts de formation en soins infirmiers de la région Ile-de-France , Education thérapeutique du patient , 2 , 01/12/2012
Type Article
Titre Enquête sur l'enseignement de l'éducation thérapeutique auprès de 30 instituts de formation en soins infirmiers de la région Ile-de-France
Source Education thérapeutique du patient
2
Date de parution 01/12/2012
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