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Ouvrage
LE HANDICAP CAUSE POLITIQUE , BAUDOT PY, FILLION E , PUF , 31/03/2021 , 362.4/BAU
Type Ouvrage
Titre LE HANDICAP CAUSE POLITIQUE
Auteurs BAUDOT PY, FILLION E
Source PUF
Date de parution 31/03/2021
Cote 362.4/BAU
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N° Revue
Promouvoir la participation sociale des personnes âgées , SANTÉ EN ACTION (LA) , 443 , 01/03/2018 , http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-443.pdf
Type N° Revue
Titre Promouvoir la participation sociale des personnes âgées
Source SANTÉ EN ACTION (LA)
443
Date de parution 01/03/2018
URL http://inpes.santepubliquefrance.fr/SLH/pdf/sante-action-443.pdf
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Dossier thématique
Transformations de la famille et délinquance juvénile , La Documentation française , 20/07/2001 , POLITIQUE SOCIALE / DELINQUANCE / ADOLESCENCE / FAMILLE / EDUCATION
Type Dossier thématique
Titre Transformations de la famille et délinquance juvénile
Source La Documentation française
Date de parution 20/07/2001
Mots-clés POLITIQUE SOCIALE / DELINQUANCE / ADOLESCENCE / FAMILLE / EDUCATION
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Ouvrage
Santé publique : Du biopouvoir à la démocratie , Lecorps P , Editions ENSP , 04/01/2000 , 353.LEC
Type Ouvrage
Titre Santé publique : Du biopouvoir à la démocratie
Auteurs Lecorps P
Source Editions ENSP
Date de parution 04/01/2000
Cote 353.LEC
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Article
"Pari perdu" pour le RSA, impuissant à réduire la pauvreté, selon le Centre d'études de l'emploi , Editions ASH , 08/11/2013
Type Article
Titre "Pari perdu" pour le RSA, impuissant à réduire la pauvreté, selon le Centre d'études de l'emploi
Source Editions ASH
Date de parution 08/11/2013
Commentaire Rappelons-nous, ce n'est pas si vieux : entré en vigueur le 1er juin 2009, en remplacement du revenu minimum d'insertion (RMI) et de l'allocation de parent isolé (API), le revenu de solidarité active (RSA) "était censé permettre de pallier l'enfermement des allocataires dans une 'trappe' à inactivité, en alliant incitation à la reprise d'emploi et complément de revenus" et, ce faisant, de lutter contre la pauvreté. Qu'en est-il aujourd'hui ? "Pari perdu", répond le Centre d'études de l'emploi (CEE), au fil d'une étude qui confirme que "le RSA s'est révélé impuissant à réduire significativement la pauvreté", dans un constat déjà largement partagé par les acteurs de la lutte contre la précarité et pour l'insertion sociale, qui conduit donc le CEE à plaider pour une réforme du dispositif. Faiblesse du recours "Faute de résultats probants, l'indicateur qui mesure la sortie de la pauvreté a d'ailleurs disparu, signant l'abandon de l'objectif initial", souligne d'ailleurs cette publication, datée de juin dernier mais rendue publique jeudi 7 novembre. Une étude à relativiser cependant dans la mesure où elle s'appuie largement sur des données remontant à 2010, soit en pleine période de montée en charge du dispositif. A cette réserve près, "l'analyse des trajectoires des bénéficiaires du RSA montre que le dispositif n'est performant ni en matière de retour à l'emploi ni en matière d'amélioration des revenus", parce que, d'une part, "69 % des allocataires du RSA 'socle' seul en janvier 2010 y [étaient] toujours en fin d'année" et que, d'autre part, "68 % des éligibles au RSA 'activité' seul ne demandent pas la prestation". Pour le Centre d'études de l'emploi, "la faiblesse du taux de recours au RSA 'activité' s'explique principalement par le défaut de conception d'un dispositif qui a voulu appliquer une logique d'aide sociale (et son cortège de formulaires à remplir et d'intrusion dans les conditions de vie) à des travailleurs à bas salaires". Nécessité d'une réforme Cette logique, "en rupture avec celle qui a présidé au choix, en 2001, d'une redistribution par l'impôt via la prime pour l'emploi (PPE) destinée à des contribuables aux faibles revenus d'activité", se solde donc par un échec qui justifie "la nécessité d'une réforme", comme en a d'ailleurs pris acte le rapport Sirugue en juillet dernier, en proposant "d'instaurer pour les travailleurs à bas salaires une nouvelle prestation, la 'prime d'activité'", évoque le CEE, en espérant "que les modalités d'attribution de cette prestation seront simplifiées pour en faciliter l'accès et la rendre socialement plus acceptable". Remontant en effet aux origines du dispositif imaginé et mis en place par Martin Hirsch, alors Haut Commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, le Centre d'études de l'emploi rappelle encore que "les promoteurs du RSA ont voulu que l'amélioration de la situation des personnes sans ressources passe par le travail et seulement le travail", en refusant "toute revalorisation du revenu minimum garanti". Une "trajectoire vertueuse" illusoire Mais ce "pari risqué qui repose sur la double hypothèse de l'existence d'un fort chômage volontaire (de nombreux emplois ne trouvent pas preneurs faute d'être jugés suffisamment rémunérateurs) et d'un recours massif à la prestation" a été pris en défaut par la réalité, car il tablait sur une sortie de la pauvreté "en suivant une trajectoire vertueuse allant du RSA 'socle' au RSA 'activité'" qui s'est finalement révélée "exceptionnelle". Quant au soutien aux revenus des travailleurs pauvres, il n'a pas non plus produit les résultats escomptés et, au final, "les travailleurs à bas revenus qui devaient trouver dans le dispositif un complément de ressources sont peu présents" : ils étaient seulement 63 000 en 2010 à accéder directement au RSA "activité", rapporte encore le CEE. Bref, "sur les deux volets du RSA 'activité' (incitation à l'emploi et complément de ressources), les performances du dispositif s'avèrent donc mauvaises, comme le constate lui-même le comité national d'évaluation du RSA dans son rapport final de décembre 2011". Dernier point négatif à mettre au passif du dispositif, et qui explique aussi en partie l'importance du non-recours au RSA "activité", il traîne toujours une "image d'assistance" qui l'a desservi et a rebuté nombre de ses bénéficiaires potentiels, contraints de passer du statut de "travailleur pauvre" à celui "d'allocataire de l'aide sociale". "Le pari perdu de la réduction de la pauvreté par le RSA", Bernard Gomel (CEE), Dominique Méda (Irisso, université Paris-Dauphine) et Evelyne Serverin (Centre de théorie et analyses du droit, Nanterre), Connaissance de l'emploi n° 105, juin 2013, disponible sur le site du CEE.
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Article
Les personnes modestes paient plus cher certains produits et services , Editions ASH , 2831 , 01/11/2013
Type Article
Titre Les personnes modestes paient plus cher certains produits et services
Source Editions ASH
2831
Date de parution 01/11/2013
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Article
Cécile Duflot missionne la DIHAL en vue d'élaborer un plan quinquennal pour l'hébergement , Editions ASH , 06/07/2012
Type Article
Titre Cécile Duflot missionne la DIHAL en vue d'élaborer un plan quinquennal pour l'hébergement
Source Editions ASH
Date de parution 06/07/2012
Commentaire Conformément à ce qu'elle avait annoncé le 28 juin, Cécile Duflot, ministre de l'Egalité des territoires et du Logement, a confié jeudi 5 juillet une mission sur la politique d'hébergement et de l'accès au logement à Alain Régnier, délégué interministériel à l'hébergement et à l'accès au logement (DIHAL). Elaborer un plan quinquennal Dans sa lettre de mission, Cécile Duflot fait ainsi part de sa volonté de mettre en place "une politique publique intégrée de l'accueil, de l'hébergement et de l'accès au logement (...), fondée sur les principes d'égalité de traitement, d'inconditionnalité de l'accueil et de continuité de la prise en charge". Cette mission comporte deux objectifs et affiche un "calendrier précis", précise le ministère dans un communiqué : tout d'abord "proposer un mode de concertation qui permettra d'élaborer un plan quinquennal pour l'hébergement et l'accès au logement des personnes sans abri ou mal logées", sachant que les premières mesures de ce plan devront pouvoir être mises en oeuvre dès le début 2013 avant que des dispositions législatives soient soumises au Parlement "au printemps". Mesures prioritaires pour l'Ile-de-France L'autre objectif fixé par la ministre consiste à proposer des mesures prioritaires pour la région Ile-de-France, "où la situation est la plus difficile". Ces mesures, préparées en concertation avec le préfet de région, devront être "lancées dès cet été". Cécile Duflot insiste également sur le fait que "le dialogue et la concertation avec le secteur associatif, les bailleurs sociaux et les collectivités [doivent être] permanents afin que ces mesures recueillent le plus large consensus possible et que la confiance soit rétablie entre tous les acteurs". Un principe que la ministre a réaffirmé aux représentants du Collectif des associations unies pour une nouvelle politique publique du logement des personnes sans abri et mal logées, qu'elle a également reçus le 5 juillet. A l'issue de cette rencontre, le collectif a d'ailleurs salué la "forte volonté d'action" montrée par Cécile Duflot, qu'il s'agisse de "produire du logement très social réellement accessible, renforcer les moyens financiers pour atteindre l’objectif de 150 000 logements sociaux, relever la loi SRU de 20 à 25 %, encadrer les loyers dans le parc privé, mobiliser les logements vacants…". Mise en oeuvre effective Le Collectif des associations unies reste cependant vigilant et indique que "dans l'attente de la mise en oeuvre effective des mesures annoncées", il a rappelé à la ministre "les urgences qui requièrent des réponses immédiates". La priorité consiste en effet selon lui à tout mettre en oeuvre pour que personne ne se retrouve à la rue : "Stopper toutes les expulsions locatives, sortir de la gestion saisonnière des personnes à la rue, mettre fin à la destruction des squats et des bidonvilles, appliquer la loi sur les aires d'accueil des gens du voyage et sur le droit au logement opposable". Avant de rappeler qu'en période d'arbitrages budgétaires, "la défense des plus vulnérables doit rester la priorité et exige des engagements politiques et financiers dans la durée, en particulier dans un contexte de paupérisation croissante des ménages". Les associations indiquent enfin avoir "pris acte" de la mission confiée à la DIHAL et proposent dans ce cadre que ses cinq axes d'engagements et ses 37 propositions pour une nouvelle politique du logement, adressées aux candidats à l'élection présidentielle durant la campagne, soient intégrés au plan quinquennal demandé par la ministre "avec une pluri-annualisation des objectifs et des budgets, à la hauteur de la détresse des personnes"
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Article
Fin de la gratuité dans les transports parisiens pour les personnes âgées ou handicapées , Editions ASH , 06/07/2012
Type Article
Titre Fin de la gratuité dans les transports parisiens pour les personnes âgées ou handicapées
Source Editions ASH
Date de parution 06/07/2012
Commentaire Cure de jouvence cet hiver pour les cartes de transport parisiennes Emeraude et Améthyste, qui "permettent aux personnes âgées ou en situation de handicap d'utiliser les transports en commun RATP et SNCF, respectivement dans Paris intramuros ou en Ile-de- France", et qui vont être "embarquées sur le passe Navigo" à partir du 1er décembre prochain. Mais en contrepartie de cette modernisation, c'en est fini de la gratuité de ces titres de transports, qui concernent les personnes âgées de plus de 65 ans (ou de plus de 60 ans si elles sont reconnues inaptes au travail) et les personnes handicapées adultes, et qui seront désormais délivrés en échange d'une participation financière annuelle, a annoncé la Ville de Paris. Des avantages... Soulignant les divers avantages de cette évolution en termes de maniabilité, de remplacement par la RATP en cas de perte ou de vol (moyennant 8 euros) et d'accès à "l'intégralité des transports desservant soit les zones 1-2, soit les zones 1-5 (y compris le réseau de bus Optile)", la municipalité en relativise aussi le coût annuel. "La participation financière annuelle pour Navigo Emeraude Améthyste 1-2, qui permet de voyager de manière illimitée pendant un an, représente le coût d'achat de moins de deux tickets de métro par mois", indique en effet la Ville sur son site, en détaillant les tarifs applicables. ... qui ont un coût La gratuité reste acquise aux anciens combattants et veuf(ve)s de guerre âgé(e)s de 65 ans et plus, mais les bénéficiaires d'un minimum social et/ou de Paris Solidarité devront s'acquitter, pour la carte Emeraude zones 1-2, d'une somme de 20 euros et les usagers justifiant d'un montant d'impôt inférieur ou égal à 2 028 € (2 287 € en cas de renouvellement) de 40 euros. "Ces nouveaux passes permettent de bénéficier de la gratuité ou de tarifs préférentiels dans les musées, piscines et parcs et jardins municipaux", tient enfin à rappeler la municipalité
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Article
L'Europe se penche sur le sans-abrisme , Editions ASH
Type Article
Titre L'Europe se penche sur le sans-abrisme
Source Editions ASH
Commentaire A l'occasion de la conférence de consensus européenne sur le sans-abrisme organisée à Bruxelles les 9 et 10 décembre, la Fédération européenne d'associations nationales travaillant avec les sans-abri (Feantsa) a préparé une note de cadrage sur cette question. L'association rappelle ainsi les caractéristiques et les causes du sans-abrisme en Europe, avant de détailler le contexte politique européen en matière de lutte contre le sans-abrisme, qui est "devenue une priorité de la stratégie européenne de protection sociale et d’inclusion sociale". Enquête publique L'association précise surtout la méthodologie de la conférence de consensus, celle-ci pouvant être définie "comme une enquête publique au centre de laquelle un jury est chargé d’évaluer une question suscitant une controverse sociale" : des experts du domaine apportent des éléments de preuve au jury, qui a la possibilité de poser des questions avant d’évaluer ces éléments en privé et de produire un rapport de conclusions. "L’objectif est de porter le débat sur la question controversée au-delà de la sphère des experts et des groupes d’intérêt afin de faire progresser l’évaluation de la question et de faciliter ainsi la prise de décision", précise la Feantsa, qui rappelle que la conférence de consensus "est un outil flexible et transférable à de nombreux contextes et objectifs, mais ce n’est que récemment qu’elle a été appliquée à la politique sociale et au sans-abrisme en particulier". Une première dans le domaine social La Conférence de consensus européenne sur le sans-abrisme est d’ailleurs la première dans le domaine social, même s’il existait un précédent en France avec la conférence "Sortir de la Rue" organisée à Paris en 2007. Enfin, une conférence de consensus "exige une phase préparatoire minutieuse". Dans le cas de celle organisée aujourd'hui et demain, un comité d’organisation rassemblant 20 acteurs dans le domaine du sans-abrisme (ONG, chercheurs, autorités publiques,..) se sont partagé la responsabilité de la phase de planification. Les principales missions de ce comité étaient d'identifier les questions clés devant être abordées lors de la conférence, sélectionner les membres du jury chargés d’établir le consensus, et enfin sélectionner les experts chargés d’apporter au jury les éléments de preuves sur les questions abordées
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Article
Plan petite enfance : le gouvernement veut faciliter la garde des tout-petits , Editions ASH , 2477-2478 , 17/11/2006
Type Article
Titre Plan petite enfance : le gouvernement veut faciliter la garde des tout-petits
Source Editions ASH
2477-2478
Date de parution 17/11/2006
Commentaire "Quand on a des enfants, c'est souvent un parcours du combattant pour les faire garder". Un constat du ministre délégué à la famille, Philippe Bas, qui a présenté, mardi 7 novembre, un plan petite enfance visant à permettre à chaque enfant de moins de trois ans de bénéficier d'une "solution de garde adaptée à ses besoins et aux souhaits de ses parents". Pas moins de 40 000 places supplémentaires en crèche doivent ainsi venir s'ajouter aux 72 000 créations déjà programmées entre 2002 et 2008, a annoncé le ministre, en soulignant que cet objectif ne serait atteint qu'en passant, "dès 2007, pour les cinq années à venir, à un rythme de création de 12 000 places par an". La France passerait donc de 250 000 places en crèche, fin 2004, à 362 000 places en 2012. Le coût de cette mesure doit s'élever, pour la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF), à 440 millions d'euros, selon le gouvernement. Le nombre d'assistantes maternelles agréées doit, parallèlement, augmenter de 60 000 nouvelles recrues, au cours des cinq prochaines années, afin de pouvoir accueillir 150 000 enfants supplémentaires. Pour mémoire, ces "nounous", qui étaient 353 000 en exercice au 31 décembre 2004, bénéficient, depuis la loi du 27 juin 2005 réformant leur statut, d'une formation renforcée, d'une rénovation des modalités d'agrément et d'une amélioration de leurs conditions de travail, qui "devraient aboutir à une augmentation significative du nombre d'agréments", selon le ministère, dans son dossier de presse. Pour faciliter la mise en oeuvre pleine et entière de cette loi en 2007, un guide d'accompagnement et des référentiels d'application doivent être diffusés au début de l'année prochaine. Assouplir le congé de maternité Toutes les filières de la petite enfance doivent, également, s'engager dans une démarche de développement de l'emploi, indique encore le gouvernement, qui avance le nombre de 80 000 postes à pourvoir d'ici à 2015. Parmi les actions envisagées, figure notamment la création de "plates-formes de formation aux métiers d'aide à la personne", afin d'encourager les vocations dans le secteur de la petite enfance, à l'instar d'expérimentations menées dans les trois académies de Créteil, Toulouse et Versailles. Les efforts doivent aussi porter sur les qualifications, avec en particulier la rénovation, annoncée pour 2007, du BEP "carrières sanitaires et sociales", en vue d'un meilleur accès aux spécialisations petite enfance. Dernière mesure-phare du plan présenté par Philippe Bas, les conditions du congé de maternité pourraient être assouplies, "après avoir mené à bien une concertation avec les partenaires sociaux", dans le courant de l'automne. Il s'agirait de permettre aux femmes, "dont la grossesse se déroule bien", de pouvoir décaler leur départ en congé de maternité à trois semaines minimum avant la date prévue de leur accouchement, au lieu des six actuellement imposées, tout en restant dans la durée totale de 16 semaines de congé. Cette disposition pourrait entrer en vigueur dès avril 2007, "en fonction des résultats de la concertation".
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